PE-026 Dépassement des craintes [fr]

PE-026 Dépassement des craintes

“On vient de soulever un point intéressant concernant mes conférences. J’avais donné le titre de “Psychologie Évolutionnaire” pour toutes mes conférences, puis la raison pour laquelle je ne donne pas de titre à mes conférences, c’est parce que si je donne un titre à mes conférences, puis j’arrive en fin de semaine pour donner ma conférence, puis je n’ai pas la vibration pour parler de tout ça, ça fait que ça me crée comme un …”

 

En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.


On vient de soulever un point intéressant concernant mes conférences. J’avais donné le titre de “Psychologie Évolutionnaire” pour toutes mes conférences, puis la raison pour laquelle je ne donne pas de titre à mes conférences, c’est parce que si je donne un titre à mes conférences, puis j’arrive en fin de semaine pour donner ma conférence, puis je n’ai pas la vibration pour parler de tout ça, ça fait que ça me crée comme un stress, je pourrais le faire, mais ça va me créer quand même un stress.

D’ailleurs, quand je commence ma conférence, je suis obligé de me “ploguer” (se brancher) avec eux autres, puis des fois, ça ne vient pas tout de suite, je fais ça, puis je fais ça, puis je fais ça, des fois je dis : “Grouillez-vous là, amenez-les, de quoi vous voulez parler”… Finalement là, ça sort, ça commence. OK. Là, je commence à avoir une idée de ce que je vais parler, puis ça m’arrive de donner un titre après ma conférence, mais pas avant, comprenez-vous ? Parce que je ne sais pas de quoi je vais parler, puis ça ne me force pas à parler dans un certain domaine.

Des fois, il y a des gens qui vont venir me voir en conférence, puis je vais parler dans cette direction-là, parce que je peux développer dans n’importe quelle direction. Ça fait que, sans prendre ça trop trop au sérieux là, peut-être pour aider ma secrétaire… Si vous venez à une conférence, prenez-vous un petit morceau de papier, puis donnez-en un ici. Puis elle, elle prendra le meilleur de tout ça.

Je dis ça là, je ne vous demande pas de faire ça, je dis : les gens qui veulent le faire, un petit morceau de papier, puis donnez-lui ça, puis elle, elle pourra prendre le titre qui convient le mieux peut-être, puis les gens plus tard (pas vous autres parce que vous l’avez entendu en conférence, ça fait que vous n’avez pas besoin de titre), mais s’il y a des gens plus tard qui veulent faire référence à la conférence, ils auront ce titre-là au moins.

Mais j’aime mieux donner un titre après la conférence parce que je ne sais pas ce dont je vais parler. Puis ça ne me force pas à parler dans un certain domaine. Des fois en conférence, je vais me laisser aller parce que je suis bien dans la vibration, puis là, je vais aller dans des domaines que je n’aime pas, mais là, je suis en vibration alors c’est facile.

Mais si vous m’arrivez là pour me faire parler de ça… Par exemple, je n’aime pas parler des extraterrestres, je pense que c’est un des sujets que je hais le plus. Mais je peux être dans une conférence puis amener un côté un petit peu occulte à ça, puis là, je vais en parler. Mais en parler si on me le demande d’avance, je n’aime pas ça, parce que je n’aime pas ce sujet. Ça fait que donner un titre après la conférence, ça peut être utile. Je continue… Oui monsieur ?

Question : (concernant le titre).

BdM : Je vais laisser ça dans les mains de Yolande. Yolande, elle me connaît assez pour donner un titre, elle sait que ce titre-là, il irait bien avec moi. OK. C’était intéressant la première partie, puis la première partie, elle démontre que l’Homme a une capacité chez lui qui est réellement cachée, voilée, mais que pour atteindre ce niveau de conscience là, cette faculté-là, pour être en puissance à ce niveau-là, ce qui fait partie d’être conscient ou d’avoir une conscience intégrée, ça demande réellement un profond respect de soi.

C’est ça dont je veux parler, puis il vient le titre là, ça demande un profond respect de soi. Il y a trois niveaux au respect de soi, il y a le niveau astral, il y a le niveau mental et il y a le plan occulte. Le niveau astral du respect de soi, c’est le niveau que la personnalité a dans le monde du respect de soi, le respect que vous avez de vous-mêmes, ça, ça fait partie du niveau astral du respect de soi.

Le niveau mental du respect de soi, c’est une certaine prise de conscience qui vous permet, en tant qu’individus, de vous donner une sorte de priorité dans la vie, par rapport à tout ce qui peut être autour de vous autres, en tant qu’individus. Ça, c’est le niveau mental du respect de soi. Puis, il y a le niveau occulte du respect de soi, c’est cette façon pour l’Homme de savoir dans la vie, dans une capacité, toujours dans une capacité.

Un Homme qui a un grand respect de soi au niveau occulte se voit toujours dans la vie comme étant dans une capacité, alors que dans les deux autres niveaux, astral et mental, vous n’êtes pas nécessairement dans une capacité, comprenez-vous ce que je veux dire ? Être dans une capacité, ça veut dire essentiellement… Pouvoir manifester votre essence quand vous voulez, où vous voulez, sous toutes les conditions qui existent. Ça, c’est être dans une capacité.

Un être conscient, l’Homme conscient, ou plus l’Homme deviendra conscient, plus il sentira qu’il a cette capacité d’être. Et cette capacité d’être là, fait partie de la manifestation de son Esprit beaucoup plus que la manifestation de son âme. Dans l’âme il n’y a pas d’intelligence, il y a seulement de la mémoire de l’expérience accumulée. Dans l’Esprit vous avez de l’Intelligence intégrale, de l’Intelligence pure, vous avez de la Lumière, vous avez un contact instantané avec soi, ce qu’on appelle soi, c’est-à-dire avec votre moi universel ou votre autre partie que vous pouvez sentir par vibration, intuiter spirituellement ou entrer en télépsychie avec, sur le plan mental. Cette quantité-là, ce quantum de conscience là, qui est à l’extérieur de votre plan matériel, qui est à l’extérieur de votre espace-temps fait partie de votre multidimensionnalité.

Et plus l’Homme deviendra conscient, plus ce quantum-là, autrement dit cette personnification-là ou cette personnification cosmique de votre être pourra être expérimentée par l’Homme, c’est-à-dire vue, rencontrée, atteignable. Mais rendu là, l’Homme aura une conscience morontielle, c’est-à-dire qu’à ce moment-là l’Homme ne sera plus régi par les lois de la mort quand il laissera son corps matériel, il ira directement sur le plan morontiel, il n’ira pas sur le plan astral, l’Homme sera totalement en dehors de sa personnalité et l’Homme, techniquement, ne sera plus humain dans le sens involutif du terme, il sera totalement transformé, c’est-à-dire qu’il n’y aura plus en lui de mémoire de son animalité, il aura simplement conscience de son universalité.

Quand je parle de l’animalité de l’Homme, je ne dénigre pas cette catégorie de conscience, je veux simplement dire que l’animalité chez l’Homme, c’est la source profonde de son inquiétude existentielle causée par le fait que l’âme est impuissante à lui donner les clés de son propre paradis, qui est sa conscience mentale ; l’âme étant la sommation de son expérience, autant sur le plan matériel, que dans les sphères astrales avant l’incarnation.

Dans un cas ou dans l’autre, l’Homme n’a pas contact véritable, intégral, absolu avec son Esprit, autrement dit il n’a pas une conscience en fusion qui fait partie du nouveau contrat entre l’invisible et le matériel au cours de l’évolution. Pendant l’involution, ce contrat-là n’était pas faisable, n’était pas possible, parce que le corps mental de l’Homme n’était pas suffisamment développé et l’Homme n’était pas arrivé à l’âge du Verseau.

Là, on rentre dans l’âge du Verseau qui est techniquement l’âge de la communication, donc l’ouverture avec les circuits universels, donc la possibilité éventuellement chez l’Homme, de non pas reprogrammer sa conscience mais prendre contrôle de sa programmation. Que la programmation chez l’Homme soit-elle, ça, ça fait partie de son incarnation, ça fait partie des choix de vie avant l’incarnation.

Mais une fois que l’Homme sait, s’aperçoit, perçoit que sa programmation commence à étouffer sa vie, que sa programmation commence à nuire à sa liberté, que sa programmation n’est plus le glas d’une liberté mais plutôt le glas d’un arrêt et d’une limite, à ce moment-là, l’Homme doit prendre contrôle de sa programmation, c’est-à-dire établir un lien avec l’invisible suffisamment conscientisé, donc “dé-émotivé” pour pouvoir finalement avoir le pouvoir de corriger sa programmation.

Corriger veut dire mettre une fin à des conditions qui lui enlèvent en tant qu’être, sa noblesse, mais pour ça, il faut que l’Homme devienne de plus en plus libre de la crainte, et elle va très très loin, la crainte, elle va très loin parce que la crainte elle est unie, elle fait partie de l’âme, elle est conjointe à l’âme. Vous parlez d’âme : vous parlez de crainte. Vous parlez d’Esprit : vous parlez d’absence de la crainte. Et l’Homme va voir la différence un jour.

L’Homme va sentir la différence, va voir la différence, l’Homme va voir un jour que lorsqu’il est dans de la crainte, il exprime de l’âme et quand il exprime l’absence de crainte il exprime de l’Esprit. Il va voir la différence. L’Homme pour la première fois va voir la différence entre l’âme et l’Esprit et quand il va voir cette différence-là, il va commencer à s’annoncer sur la Terre.

S’annoncer sur la Terre veut dire : établir une manière d’être et de vivre qui va correspondre avec la volonté de son moi, mais avec, ou à l’intérieur des assises de son Esprit. C’est comme si son Esprit va acquiescer à sa domination, son Esprit va acquiescer à son annonciation. Quand l’Esprit de l’Homme va acquiescer à l’annonciation de l’Homme, la fusion du mortel va être suffisamment avancée pour que l’Homme commence à reconnaître qu’il est immortel en conscience, même s’il est mortel en matérialité.

À partir du moment où il doit reconnaître qu’il est immortel en conscience, même s’il est mortel en matérialité, l’Homme va perdre le souvenir de la mort. En perdant le souvenir de la mort, il va avoir conscience de la vie en mourant ou en laissant son enveloppe matérielle en forme astrale, il va aller directement sur le plan morontiel, parce que le plan morontiel, pour lui, va avoir une atmosphère, une vibration qui va faire partie de son Esprit.

Alors qu’avant, le plan astral avait une vibration qui faisait partie de son âme, l’Homme étant plus près de l’âme que de l’Esprit, l’Homme s’amenait automatiquement à la mortalité astrale. Alors que dans l’évolution, l’Esprit étant plus près de l’Homme, l’Homme ira vers la mortalité morontielle. Mais pour que l’Homme aille vers la mortalité morontielle il faut que, sur la Terre – qui est un laboratoire d’expériences autant pour l’Humanité que pour lui en tant qu’individu – il faut que l’Homme en arrive éventuellement à maîtriser sa nature animale. Et la maîtrise de sa nature animale, c’est fondamentalement la maîtrise de ses craintes à n’importe quel niveau.

Ce serait intéressant si je vous disais, si je vous expliquais vos craintes, puis vos craintes, puis vos craintes, puis vous verriez que je connais plus vos craintes que vous autres vous les connaissez. Pourquoi ? Parce que je suis en contact télépathique avec le plan mental. Alors il faut que l’Homme en arrive à connaître ses craintes lui-même, et une fois que l’Homme connaîtra ses craintes, il pourra graduellement les éliminer et c’est ça que fait “l’initiation solaire”.

Le but… Même je pourrais dire, réellement simplifier l’initiation de l’Homme, le but de l’initiation solaire ou la fonction de l’initiation solaire, éventuellement, ou le travail que fait le double avec l’Homme ou avec le mortel, ça sera essentiellement d’éliminer la crainte.

Autrement dit, de repousser de la conscience de l’ego les forces de l’âme qui nuisent à l’Esprit parce que les forces de l’âme sont accouplées aux forces de l’involution, c’est-à-dire à tous les royaumes, tous les royaumes qui ont été responsables pendant des millions et des millions, et des millions d’années de la construction de l’âme, de l’évolution de l’âme, de la pérégrination de l’âme et de la déchéance temporaire de l’âme, pour éventuellement permettre à ce que l’ego fasse une prise de conscience et redonne à sa conscience matérielle, à la conscience de ses cellules, le Feu nécessaire pour éliminer, ÉLIMINER de son expérience le passé involutif, et donner et permettre à son expérience future la création d’un nouvel égrégore qui est la fusion.

La fusion c’est un égrégore, la fusion c’est un lien qui peut être extrêmement – je ne dirais pas rigide – mais extrêmement présent entre ce qu’on appelle le mortel et le plan immortel de sa conscience, appelez ça comme votre grand moi, votre ajusteur de pensée, pour moi c’est secondaire, parce que les mots sont secondaires, ils servent simplement à expliquer un principe ; mais la réalité de la fusion devient intrinsèque à partir du moment où l’Homme a commencé à prendre conscience de l’illusion de la crainte.

C’est la crainte en nous et ses illusions attenantes qui nous empêchent d’avoir une perception de ce qu’on appelle “la fusion”, autrement dit de l’unité entre ce principe-là et le mortel, alors que quand on est dans un état de fusion, c’est-à-dire dans un état de lien entre l’Esprit et l’Homme, on s’aperçoit que les forces de l’âme prennent un recul, qu’il y a moins de crainte dans l’ego, et qu’à ce moment-là il y a une prise de conscience beaucoup plus expansive.

C’est pour ça que quand vous rencontrez un Homme qui a une certaine conscience, qui a un certain taux vibratoire, qui a une certaine puissance, il y en a qui vont dire, pour utiliser une expression populaire, ils vont dire : “Il est accoté, lui”. Un Homme qui est conscient, il est accoté, tu ne l’accotes pas, il est accoté. Tandis qu’un être qui est inconscient, c’est remarquable par le fait qu’il n’est pas accoté.

Puis quand je parle de conscience ou d’inconscience, je ne parle pas simplement de grandes consciences supramentales, je parle des Hommes, même tu prends des Hommes dans le monde, on pourrait prendre l’exemple de Mandela, le Président Mandela en Afrique du Sud, des Hommes qui ont fait des grandes choses, Mère Teresa, les êtres qui ont fait des grandes choses qui sont reconnus par l’Humanité comme ayant fait des grandes choses parce qu’ils sont passés à travers de grands obstacles, ils sont accotés.

Ce n’est pas une fusion dans le sens de l’évolution mais c’est un dépassement des forces astrales de l’âme à un point où ils deviennent reconnaissables par les Hommes. On reconnaît Mandela, on reconnaît Mère Teresa, on reconnaît ces êtres-là et on reconnaît autant les êtres négatifs comme Hitler parce qu’il y a eu dans ces êtres-là un dépassement de la crainte, un dépassement de l’obstacle.

Par contre, ça ne fait pas partie de l’évolution, ça fait encore partie de l’involution, les “Napoléon”, les “César”, les grands Hommes, même dans nos vies de tous les jours, les grands êtres qu’on ne connaît pas, qui ne seront jamais mentionnés dans les journaux parce qu’ils ont des vies privées, ainsi de suite. Alors il y a un dépassement, et le dépassement ça crée chez l’être humain, ça permet à l’être humain de sentir un petit peu plus son Esprit et c’est ça qui crée l’accotement que ces êtres-là de l’involution, qui sont encore inconscients, possèdent.

Vous autres, vous allez dire : “Bon, il y a du charisme, il rentre dans le salon puis… C’est lui, il place le ton au party”. Bon, au niveau de l’évolution, c’est la même chose. L’Homme, en ayant dépassé ses craintes, en ayant transmuté les forces de l’âme avec l’aide d’une science qui est neuve, une science qui est fondée réellement sur le rapport télépathique entre l’Homme et l’invisible, à ce moment-là on sort de la spéculation, on sort de la philosophie, on cesse de traiter la réalité comme étant une émancipation psychologique de notre moi intellectualisé.

Et on commence à traiter la réalité comme étant une genèse de vie, c’est-à-dire une façon pour l’Homme de finalement mettre le doigt tout seul sans l’aide de personne, seul, sur sa réalité, c’est-à-dire sur l’essence de son moi, quel que soit son moi, qu’il soit Chinois, Arabe, Français, Allemand, “whatever” ! Qu’il soit de n’importe quelle race, ça, ça n’existe plus, ça n’a plus d’importance parce que c’est l’Esprit qui devient le facteur ou le paramètre fondamental de son essence.

Ce n’est plus l’âme, ce n’est plus la personnalité, ce n’est plus la programmation, ce n’est plus le choix de son incarnation qui compte, c’est sa capacité de traiter avec l’opposition qui engendre la crainte, qui engendre l’impuissance et qui fait de lui un être techniquement supérieur à l’involution, c’est-à-dire plus avisé. Quand je parle de supériorité, je ne parle pas de supériorité dans le sens “Nietzschéen” du terme, je parle de supériorité dans le sens plus avisé du terme.

C’est dangereux d’utiliser le terme “supérieur” parce qu’un être peut se croire supérieur et faire des erreurs fondamentales. Moi j’ai connu un être dernièrement, d’ailleurs depuis plusieurs années, qui se croyait réellement supérieur et qui finalement s’est suicidé. Si tu es supérieur, tu ne te suicides pas. Ça fait qu’utiliser le terme “supérieur” pour une conscience en évolution, ce n’est pas le terme juste parce que la supériorité n’implique pas nécessairement de l’intelligence.

Ça peut impliquer une fausse force, ça peut impliquer une fausse puissance, dans le cas de Hitler, par exemple, ainsi de suite. Donc l’Homme doit être avisé, et être avisé en conscience, c’est nettement supérieur à l’illusion de l’involution. Nettement supérieur parce que ça amène l’Homme finalement à être bien accoté, c’est-à-dire à pouvoir par lui-même, à volonté, seul, soutenir son propre combat, combat avec les forces internes qui font partie de son alliance avec l’invisible, et techniquement le combat avec le monde si le monde veut l’affronter dans son intégralité, mais toujours d’une façon sage, toujours d’une façon intelligente.

Il ne s’agit pas pour l’Homme de partir en croisade. Ça, c’est une grosse illusion spirituelle, mais il s’agit pour l’Homme d’être son propre croisé, d’être bien accoté, c’est-à-dire ne pas avoir de crainte. Mais vous ne pouvez pas en arriver à ne pas avoir de crainte en étant, en passant par l’absolution de quelqu’un d’autre. Vous ne pouvez pas être sans crainte en passant par l’aide de quelqu’un d’autre, vous pouvez être sans crainte en brûlant en vous votre nature “inquiéteuse”, anxieuse, animale, c’est-à-dire en maîtrisant les forces de votre âme. Et pour maîtriser les forces de votre âme, vous devez reconnaître un jour que techniquement, a priori, l’Homme est en puissance.

C’est comme si tu disais : “Bon, je ne vois pas le soleil, il y a des nuages”. Quelqu’un peut te dire : “Bon, inquiète-toi pas, il y en a un en arrière”… “Je ne l’ai pas vu depuis trente ans le soleil”… “Inquiète-toi pas, il y en a un en arrière”. Si vous n’êtes pas capables d’en arriver un jour par vous-mêmes à réaliser qu’il y en a un en arrière, et que vous vivez simplement sur la promesse de quelqu’un d’autre qui vous dit qu’il y en a un en arrière, peut-être que celui qui vous dit qu’il y en a un en arrière vit une illusion, un mirage, vous n’êtes pas plus avancés.

Mais si vous êtes capables, en tant qu’individus, de reconnaître qu’il y en a un en arrière, parce que vous avez suffisamment d’Esprit pour dompter vos craintes, dompter votre impuissance, non pas en fonction d’un choix dans le sens que j’aimerais ça qu’il y en ait un de soleil en arrière, ou non pas dans le sens que j’aimerais ça avoir mon guide en arrière, ou j’aimerais ça avoir contact avec mon ajusteur de pensée, j’aimerais ça savoir comme Bernard de Montréal, qu’il en a un de double, ça, ça ne vous aide pas ; mais vous-mêmes, en aiguisant votre propre sens de puissance !

L’Homme découvre sa puissance en aiguisant son sens de puissance. Bon, là je peux dire… Là, il faut que je fasse un arrêt puis que je dise… Ou vous pouvez le faire, vous pouvez dire : “Toi, c’est bien correct, tu as fusionné en 69, avant la fusion tu étais aussi sans-dessein que nous autres, tu n’as pas de mérite”. Ça, c’est vrai, je n’ai pas de mérite.

Par contre, j’ai vécu un trajet, j’ai vécu une initiation, si vous voulez, ou un calvaire suffisamment atroce pour pouvoir en arriver éventuellement à équilibrer ma réalité avec celle-là, pour qu’éventuellement je sois capable de dire au monde : “Bon, cette réalité-là, c’est correct, elle est là, elle existe, elle s’est mis en contact avec moi”… Bababa bababa. Puis pendant des années, je n’avais pas l’expérience de cette réalité-là, ça fait que je l’ai astralisée un petit peu, je l’ai spiritualisée un petit peu, je les aimais, eux autres, les écœurants !

Mais là, ma haine de tout ce qui est au-dessus de l’Homme est tellement grande, tellement perfectionnée, tellement avancée que je suis probablement le seul Homme sur la Terre qui a la capacité d’affronter tout ce qui est matérialisation à partir des plans, sans vibrer spirituellement. Ça, c’est suffisant pour me permettre de vous dire : “OK. Je n’ai pas de mérite, mais j’ai tellement souffert pour que finalement l’Homme en arrive un jour à bénéficier de mon expérience, mais sans croire à ce que je sais, pour que lui puisse aller lui-même dénicher ce que possiblement quelqu’un a déniché, et se l’approprier”.

Parce que la vie, la conscience, l’intégralité, la puissance, ce n’est pas simplement quelque chose qui appartient à un Homme, mais c’est quelque chose qui appartient à tous les Hommes. Puis vous allez dire : “Ben, pourquoi ça appartient à tous les Hommes”… Parce que dans tous les Hommes, dans le moindre des Hommes, dans la plus inconsciente des races, il y a un petit peu de lumière, il n’y a pas un Homme sur la Terre qui n’a pas un peu de lumière dans le fond de son être.

Il peut avoir beaucoup d’âme, mais il n’y a pas un Homme qui n’a pas un petit peu de lumière. Et la preuve… Vous allez dire : “C’est quoi la preuve”… Il n’y a pas un Homme sur la Terre, même un pygmée, qui n’a pas un petit peu de lumière, puis je vais vous en donner la preuve : Tous les Hommes sur la Terre, absolument, ont la capacité de penser. À partir du moment où tu as la capacité de penser, ultimement tu as la capacité de confronter ce que tu sais aux pensées qui t’ont été envoyées, et c’est ça la genèse du réel.

C’est ça la conséquence de la psychologie évolutionnaire, c’est ça la nature de l’évolution et c’est ça qui permettra à l’Homme de revenir à sa source et de finalement constater que la divination ou la divinisation des forces invisibles, c’est simplement le résultat de son impuissance. Ça n’a rien à voir avec les structures cosmologiques des mondes parallèles. Ça fait partie de ses illusions spirituelles du mensonge cosmique.

Et lorsque l’Homme aura finalement intégré sa nature, repris en main la possession de son territoire psychique, c’est-à-dire compris que la pensée vient d’ailleurs, qu’elle n’est pas simplement réflexion, qu’elle peut être objective, qu’elle peut être en télépsychie, qu’elle peut être matérialisée, qu’elle peut faire partie des continents occultes de dimensions et de civilisations qui ne peuvent pas apparaître à l’Homme – parce qu’elles n’ont pas le droit, parce qu’elles détruiraient sa conscience animale – à ce moment-là, l’Homme commencera un jour à reconnaître qu’il y a une indivisibilité dans son être, une indivisibilité dans sa projection, une indivisibilité dans sa réalité, et que l’Homme, techniquement, est capable à distance, par volonté, par conscience, d’établir les normes d’évolution de n’importe quelle race sur la Terre, de n’importe quel individu sur la Terre, dans la mesure où il participe consciemment à une pensée qui est cosmique, c’est-à-dire universelle, c’est-à-dire systémique, c’est-à-dire télépsychique, télépathique, et non plus réfléchie comme elle fut pendant l’involution.

À ce moment-là, son moi est transparent, il ne fait plus partie de la mémoire de la race, on ne peut plus le considérer comme terrestre dans le sens involutif astral du terme, il fait partie d’un mouvement supérieur des forces de vie, plus avancé des forces de vie qui, au cours de l’évolution, donnera ou apportera à la Terre des révélations, des visions ou des manifestations aussi étonnantes que la première fois que l’Homme s’est incarné sur la Terre et qu’il a donné naissance à la Race Adamique.

Si on est capable aujourd’hui, de reconstituer à travers notre intellect, des mondes aussi invisibles que le monde de l’atome, que le monde moléculaire, qu’on a été capable à travers notre conscience astrale, mentale, de développer des sciences qui nous permettent d’arriver plus loin aux confins de la matérialité stabilisée, imaginez-vous – puis ça, on a fait ça en cent, cent-cinquante ans, les computers c’est nouveau, les avions c’est nouveau – imaginez-vous ce que l’Homme va pouvoir faire dans deux-cents ans, trois-cents ans, quatre-cents ans, mille ans, dix-mille ans !

Imaginez-vous ce que des Hommes font maintenant après quarante, cinquante, soixante-mille ans d’évolution, il n’y en a plus à ce moment-là de différence entre l’invisible puis le matériel, il n’y a plus, à ce moment-là, l’existence purement phonétique du concept de l’âme, vous avez réellement des cristaux de lumière, vous avez réellement des structures morontielles, vous avez réellement des espaces-temps qui sont réductibles par volonté à des espaces-temps psychiques, qui font partie de ce qu’on appelle “les mondes parallèles”.

Vous avez à ce moment-là des mondes qu’on appelle le monde de la mort qui n’est simplement qu’une réflexion de toutes les mémoires, de toutes les âmes qui existent et qui ont été créées ; vous avez à ce moment-là des institutions dans des mondes systémiques locaux tellement avancés, tellement perfectionnés, que la sommité, la sommation, la totalité de ces institutions-là correspondent à ce que spirituellement on appellera “l’île du Paradis”.

Et l’île du Paradis, à ce moment-là, quand on en convient d’une manière morontielle, quand on en convient au-delà de la crainte, au-delà de la crainte spirituelle, quand on a réellement ou quand l’Homme aura réellement le pouvoir de la parole et que l’Homme sera réellement capable de s’installer sur une planète, et de s’élever la colonne, et de crier dans le monde des mots qui ont simplement une vibration, et dont la forme n’a aucune utilité, l’Homme commencera à comprendre son mystère.

L’Homme commencera à pénétrer son mystère, l’Homme se révélera dans son mystère et en révélant son mystère, l’Homme révélera le mystère de la vie, de la planète, des mondes, et il n’y aura plus devant la conscience de l’Homme, devant les yeux de l’Homme, devant l’Esprit de l’Homme, de voiles. Et quand il n’y aura plus de voiles devant l’Esprit de l’Homme, il y aura simplement un Homme individualisé. Il y aura simplement une lumière dans une matérialité.

Il y aura simplement une intégration de principes universels avec des principes planétaires, il y aura simplement une âme unifiée à un Esprit, il y aura simplement un ajusteur de pensée essentiellement en harmonie avec un ego qui n’aura plus peur de l’infinité. Ça fait que c’est important que l’Homme commence à comprendre ça et que l’Homme commence à expliquer à l’Homme, et à pouvoir finalement rendre à l’Homme ce qui lui est dû.

Et ce qui est dû à l’Homme pour la première fois depuis l’involution, c’est sa capacité de détruire les yeux de Dieu, non pas dans le sens sacrilège du terme que l’on voit sur le plan spirituel, mais dans le sens de la puissance de l’Homme de déchirer les voiles de l’infinité, de déchirer les voiles de ce qui est tellement grand que, lui en tant qu’être incarné, en a peur parce qu’il n’est pas en puissance. Elle est là la puissance de l’Homme, elle est là la science de l’Homme, elle est là la lumière de l’Homme.

Et quand l’Homme sera rendu à cette conscience-là, l’Homme ne sera plus en opposition avec son Esprit. Son Esprit pourra lui parler d’une façon très très claire. Là, l’Esprit ne pourra plus créer en lui des doubles façons, c’est-à-dire contrefaçonner sa pensée et d’un côté lui faire dire une chose, et dans un même mouvement, lui créer la crainte de ce qu’il a dit. C’est important que l’Homme parle et qu’il ne vive pas dans le même moment, dans le même instant, la crainte de ce qu’il a dit parce que ça, ça équivaut à une forme de culpabilité.

Et la culpabilité c’est essentiellement “the crucible” – je ne sais pas comment est-ce qu’on dit ça en français – le “p’tit” bol à l’intérieur duquel le plan astral, le monde de la mort broie l’âme, fait souffrir l’âme constamment. Et tant que l’Homme n’aura pas éliminé la culpabilité de sa conscience qui est nettement une forme subtile de crainte, l’Homme ne pourra pas crever les yeux de Dieu. Et si l’Homme ne crève pas les yeux de Dieu, l’Homme ne pourra pas connaître le mystère de Dieu.

Parce que le mystère de Dieu, autrement dit le mystère de la vie infinie, le mystère de la conscience systémique, le mystère des mondes universels qui ont créé les âmes, les Hommes, les animaux, les papillons, la matière, ainsi de suite, les nébuleuses, ces forces-là doivent être identifiées, non pas par émotion mais par puissance. Si l’Homme identifie l’absolu ou les Éternels, ou l’infinité, par émotion, l’Homme va automatiquement être forcé de mettre sur le mur de sa perception le visage de Dieu.

Et c’est ce que l’Homme a fait pendant l’involution en utilisant les religions pour cacher le vrai mystère de sa science. Lorsque l’Homme aura compris ça, l’Homme ayant crevé les yeux de Dieu, c’est-à-dire l’Homme ayant éliminé de sa conscience humaine mortelle la crainte de l’infinité, la crainte du courroux, la crainte de la mort spirituelle, la crainte de la non-renaissance dans des hauts lieux cosmiques qu’on appelle “le ciel”, une fois que l’Homme aura éliminé ça de sa conscience, l’Homme sera un être libre, c’est-à-dire qu’il ne sentira plus jamais devant lui la mort, c’est-à-dire l’impuissance, c’est-à-dire cette façon d’être qui n’est pas à la mesure de sa lumière.

Demain, on ne pourra plus se gargariser avec des mots. Les mots ne serviront plus à rien, c’est la vibration dans la forme qui servira à l’Homme pour l‘amener plus loin dans la reconstruction psychique de son être. Vous allez entendre des gens, des Hommes dans le monde parler des beaux mots, des belles paroles, mais il n’y aura pas de vibration dedans, ça sera simplement une belle poésie, ça sera simplement enchanteur, ça sera simplement bien dit. Des mots bien dits sont les structures, les blocs, les matières qui servent à la construction du temple universel du mensonge cosmique, c’est une cathédrale extraordinaire.

Et tous les pieux, les gens pieux de la Terre, les Hommes de l’involution qui ne sont pas arrivés au stage de crever les yeux de Dieu, quand ils rentrent dans ce sanctuaire, dans cette cathédrale, ils frissonnent devant la beauté parce que la beauté est à l’extérieur d’eux, parce que la beauté est plus grande que ce qu’ils peuvent concevoir qu’un Homme est capable de construire, alors que l’Homme doit construire sa propre cathédrale, l’Homme doit construire sa propre beauté, l’Homme doit établir les règles de la construction, l’Homme doit matérialiser sur la Terre les chefs-d’œuvre de l’architecture de son mental.

L’Homme doit découvrir par sa propre fonction humaine qu’il a la capacité, le pouvoir, le devoir de devenir et de maintenir l’immortalité de sa conscience, même quand il est dans la matérialité imposée à son âme pour le petit passage de cinquante, soixante-dix, quatre-vingts ans sur une planète expérimentale, dont le rôle est simplement d’apporter un peu à l’humanité un éclaircissement de toutes les valeurs fondamentales de la vie, et qui permettent ultimement de mettre en ordre les différentes vagues de vie qui épousent la matière et qui, au cours de l’évolution, permettront à des races d’être plus grandes que d’autres, à des Hommes d’être plus puissants que d’autres.

Quand vous comprendrez que ce n’est plus les titres de mes conférences qui sont importants, quand vous comprendrez que toutes mes conférences sont importantes, quand vous comprendrez que c’est rien que la vibration de la conférence qui est importante, vous n’aurez plus besoin de titre. Vous n’aurez plus besoin de titre parce que vous saurez que quand je crée un titre, c’est simplement pour créer à votre ego un attachement émotionnel à une forme.

Et aussitôt que je vais commencer à parler, je vais sortir du titre, je vais sortir du sujet, je vais sortir de la limite pour créer une nouvelle limite ou une nouvelle absence de non limite, afin de toujours libérer l’Homme, afin de toujours faire réaliser à l’Homme que c’est lui le chevalier, que c’est lui qui porte l’arme, que c’est lui qui porte, comment est-ce qu’on appelle ça… L’épée ! Et que ce n’est pas Michel Archange qui porte l’épée, que c’est l’Homme qui la porte.

Et quand l’Homme aura fait la transmutation de Michel Archange en humanité, quand l’Homme aura matérialisé Michel Archange, quand l’épée sera partie des mondes convolutés de l’astral spirituel et qu’elle sera descendue dans la Terre pour faire éclater les formes, à ce moment-là l’Homme sera finalement son propre guerrier. Et l’Homme aura tellement de puissance dans la lame qu’il sera invulnérable à toutes les armées astrales qui viennent vers lui, à toutes les forces astrales qui viennent vers lui.

Autrement dit, à toutes les forces qui font partie du monde de la mort et qui s’occupent, et dont la fonction est de garder l’Homme dans l’ignorance, alors que l’Homme doit se sortir de cette ignorance pour finalement faire, rendre valable son existence, rendre valable son expérience et finalement faire reconnaître au monde de la mort que l’Esprit prime sur l’âme ; autrement dit que la puissance prime sur l’impuissance, que la puissance prime sur la crainte et que l’absence de crainte c’est réellement le sceau du chevalier. Et que l’Homme dans sa conscience messianique, c’est-à-dire que l’Homme, dans sa conscience absolue, a le droit de regard sur tout ce qui, dans le passé, a été conçu pour lui comme étant absolu, mais toujours dans l’enveloppe d’une spiritualité.

Et ça, automatiquement, ça a fait de lui un être absolument impuissant. Moi j’aime ça vous parler, mais j’aime ça vous parler dans la mesure où je m’aperçois, au cours des années, que l’Homme est capable de s’occuper simplement de la vibration, de moins en moins de la forme, parce que je sais qu’à partir du moment où l’Homme aura une conscience vibratoire, l’Homme entrera dans son Esprit.

Ça serait totalement inutile pour moi de vous parler avec trop de mots en utilisant trop de mots, autrement dit en descendant la vibration des mots, où à un certain point vous pourriez comprendre ce que je dis, il ne faut pas que vous compreniez ce que je dis au niveau des mots. Il faut que vous sachiez ce que je dis au niveau de la vibration. Sinon, si vous comprenez au niveau des mots, vous allez… Ou ensemble on va simplement créer un autre système, on va simplement créer d’autres philosophies, on va simplement créer d’autres ésotérismes.

Alors que si vous êtes capables de me comprendre au niveau de la vibration, à ce moment-là vous commencez à participer à votre propre science, et avec le temps, vous vous habituez, vous allez vous habituer à reconnaître que ce que vous comprenez, ça fait partie de votre savoir, ça ne fait pas partie du mien, ça fait partie du vôtre. “Mes amis” ont simplement servi à mettre le vôtre en vibration.

Quand tu fais vibrer quelque chose, ça vibre, éventuellement ça vibre au même diapason, et quand les Hommes vibreront au même diapason, quand les initiés de la Terre vibreront au même diapason que les Hommes, ou que les Humanités vibreront au même diapason que les initiés, il n’y aura plus de hiérarchie, il n’y aura plus d’initiés, et l’Homme rentrera dans la septième conversion de son énergie fondamentale. L’Homme rentrera dans l’évolution de la septième race-racine, entrera dans l’évolution de la conscience jupitérienne.

L’Homme aura mis de côté totalement son cycle saturnien, l’Homme n’aura plus besoin de s’incarner sur la Terre, l’Homme vivra sur un plan morontiel, l’Homme pourra se matérialiser, se dématérialiser et non simplement s’instruire lui-même parce qu’il n’aura plus besoin de tout ça, mais il pourra commencer à instruire le royaume animal, l’Homme pourra finalement faire comprendre au royaume animal, au monde astral des animaux que la nature de leur âme est totalement compatible avec la sienne.

Et quand les animaux auront une nature compatible avec l’âme de l’Homme, les animaux seront capables de commencer à être en relation totalement harmonisée avec l’Homme. Et l’évolution, la civilisation animale se fera très rapide, la domestication des animaux se fera à tous les niveaux, et il n’y aura pas un animal sur la planète avec lequel l’Homme ne pourra pas entrer en conversation télépathique, en conversation vibratoire, en sympathie vibratoire.

Et c’est là qu’on aura au niveau de la septième race-racine, au niveau de l’évolution jupitérienne, la chance de l’expérience fondamentale de toute planète, c’est de vivre un paradis terrestre. Et à ce moment-là, lorsque l’Homme vivra un paradis sur la Terre, c’est-à-dire que l’Homme en conscience morontielle sera totalement libre de la gravité, totalement libre de la mort, totalement libre de la matière en soi, l’Homme pourra voyager dans le cosmos avec des vaisseaux séraphiques.

Et le temps du contact avec les autres civilisations sera depuis très longtemps établi et il n’y aura plus sur la Terre… Il n’y aura plus sur la Terre d’âge ! Il n’y aura plus d’âge sur la Terre parce que la Terre sera simplement un lieu dans un espace magnifique de haute vibration qui sera localisé proche de la matière. Mais ce n’est plus sur la matière que l’Homme vivra, ce n’est plus sur le plan de la matière que l’Homme vivra, l’Homme vivra sur le plan morontiel.

Et quand l’Homme regardera la Terre, quand il regardera le minéral, quand il regardera le diamant, quand il regardera la Terre, quand il regardera le calcium, il pourra altérer la vibration atomique de l’élément. Quand l’Homme pourra altérer la vibration atomique de l’élément, l’Homme sera capable de recristalliser la Terre qui a été cristallisée pendant dix millions d’années mais mécaniquement. L’Homme pourra donner à la Terre une nouvelle chaleur qui n’existe pas aujourd’hui.

Et en donnant une nouvelle chaleur à la Terre qui n’existe plus aujourd’hui, la Terre deviendra dans le cosmos local un nouveau centre de Feu, et la Terre sera tellement importante dans l’équilibre du monde actuel mais systémique, qu’on la regardera à grande distance avec des instruments astronomiques qui n’existent pas sur notre monde, et la Terre deviendra un nouveau Soleil.

C’est évident que si je vous parle comme ça, je ne peux pas vous parler pour des raisons philosophiques, je vous parle parce que c’est la vibration, je vous parle et aussi je pleure, c’est parce que c’est la vibration. Mais si je pleure, ce n’est pas par amour que je pleure, je pleure parce que je suis fatigué de savoir des choses que l’Homme ne sait pas par lui-même. Je pleure parce que je suis fatigué d’être seul, je pleure parce que je suis fatigué d’essayer de transmettre des choses qui ne peuvent pas être transmises au niveau de la forme, c’est pour ça que je pleure.

Et un jour l’Homme pleurera pour les mêmes raisons, l’Homme pleurera pour les mêmes raisons, parce qu’un jour il sera obligé de s’habituer à sa solitude, il sera forcé de s’habituer à sa solitude. Et pour compenser à sa solitude, il s’entourera d’êtres qui sont suffisamment proches de sa vibration pour qu’il n’ait pas à utiliser les mots pour les convaincre de la genèse du réel, simplement par vibration.

Et quand l’Homme sera arrivé à ce stage où il rencontrera des êtres, où il gardera autour de lui ces êtres, un peu comme la mère garde autour d’elle ses poussins, ça ne sera pas pour créer une famille, ça sera pour empêcher que les jeunes qui n’ont pas encore la science soient dévorés par les loups de l’involution. Dans un sens, je devrais vous dire tout de suite : “Bon, je vous ai assez parlé, je devrais m’en aller”, mais j’aime tellement ça vous parler… J’aime tellement ça vous parler, je pourrais vous parler pendant des jours, je pourrais vous parler pendant des semaines tant j’aime ça vous parler !

Mais quand je deviens trop vibrant, quand je deviens trop sensible à cette conscience morontielle là, à ce moment-là je deviens… Je pleure trop, puis trop pleurer, ce n’est pas bon. Le monde écoute ça sur des cassettes, ça s’en va en France, ça s’en va tout partout. Et le monde va dire : “Qu’est-ce qu’il a le gars”… Ça fait que… Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise !

Mais je veux vous faire comprendre, je veux vous faire saisir que vos craintes sont réellement des illusions. Puis il faut que vous “dealiez” avec à votre niveau, je les comprends, je vous les accorde, on est nés dans différentes familles, dans différentes sociétés, on a toutes sortes de craintes, mais je vous dis qu’elles sont toutes illusoires, qu’elles font partie des forces de l’âme, qu’elles font partie de votre conscience astrale, et ne laissez pas vos pensées prendre le contrôle de votre vie ! Bye ! (Applaudissements).

mise à jour le 23/06/2024

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