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LE SAVOIR-FAIRE
En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.
François Payotte (FP) : Alors, dans la deuxième partie de cetteconférence, au Cégep de Maisonneuve, Bernard,j’aimerais qu’on aborde un sujet trèsintéressant, puisque c’est celui du savoiret de son application concrète. On distingueprincipalement trois sortes de savoir, lesavoir à proprement parler, le savoir-vivre,et le savoir qui serait au niveau de l’action,qui serait exprimé au niveau de l’action.
Est-ce que vous faites un lien dans ces troissavoirs, est-ce qu’il y a une prioritéou une étape évolutive entre ces trois savoirs
Bernard de Montréal (BdM) : Oui, il y a une relation entre les troissavoirs, seulement qu’il y a une sorte desavoir qui est purement vibratoire, qui n’estpas psychologique, qui n’est pas mémoriel,qui se sert du psychologique ou qui se sertdu mémoriel, pour donner à ces deux aspectsun comportement quelconque créatif, sur leplan de la vie. Et c’est ce troisième savoir,ce nouveau savoir qui fait partie de l’évolution,par exemple, de la conscience supramentalesur la Terre, qui va à l’Homme de bienintégrer les deux autres.
Si l’Homme possède simplement un savoird’expérience, s’il possède simplementun savoir mémoriel, s’il possède simplementun savoir qui fait partie de l’actualisationen lui de mécanismes d’attitudes, ce savoir-làn’est pas suffisant parce qu’il n’estpas intégré aux forces de vie. Que l’Hommepuisse vivre sur une planète et bénéficierparfaitement de ces savoirs, ces différentsniveaux de savoir, il faut que ces niveauxde savoir soient intégrés.
Et pour qu’ils soient intégrés, il fautque sa vibration, son énergie créative,cette partie de lui qui n’a pas été encoretouchée, qui n’a pas encore été éveillée,il faut que cette énergie puisse transpirerà travers les autres niveaux de ces savoirs,et donner à ces savoirs des valeurs qui sontréelles.
FP : Ça, ça deviendrait, à ce moment-là,le savoir-faire, ce troisième savoir ?
BdM : À ce moment-là ça devient le savoir-faire,ça devient le savoir-créer, ça devientle savoir qui, au lieu d’être expérimental,est instantané, créatif ; il n’est plusexistentiel, il n’est plus assujetti auxlois accidentelles de l’erreur, il n’estplus assujetti aux lois psychologiques dudoute, il n’est plus assujetti aux loispsychologiques de l’impuissance. C’estun savoir qui est créatif, qui est toujoursen puissance dans l’Homme.
FP : Alors, au départ, il y a le savoir àproprement dit, mais vous, déjà, vous faitesune nuance, il y a donc un savoir qui estmémoriel, il y a un savoir qui n’est pasle produit de la mémoire, est-ce que vouspouvez faire la différence plus en profondeurde ces deux savoirs ?
BdM : Le savoir de l’Homme, c’est un savoirmémoriel à tous les niveaux.
FP : Toutes ses connaissances, toutes sesattributions ?
BdM : Le savoir de l’Homme, qu’il soitintérieur ou extérieur, c’est un savoirqui est fondé sur la mémoire, qui est fondésur des impressions. Alors les impressions,elles ont bonnes parce qu’elles permettentà l’Homme de se constituer ce que l’onpourrait appeler une personnalité égoïque,et cette personnalité égoïque, elle estbonne, elle nécessaire, elle fait partiede l’involution ; et l’Homme a toujoursvécu avec ce savoir.
Cependant, ce savoir, il n’est pas suffisantparce qu’il y a dans l’Homme des forces créativesqui n’ont jamais été utilisées, et ellesn’ont pas été utilisées parce que justement,ce savoir mémoriel les bloquait. La grandedifférence entre le savoir mémoriel et lesavoir pur, c’est que le savoir pur, il peutenglober le mémoriel, il peut travailleravec le mémoriel, utiliser le mémoriel,le mettre en perspective, le mémoriel.
Et à partir de ce moment-là, l’Homme peutbénéficier de ce savoir ; prenons par exemplele savoir sur le plan de la science, sur leplan de la technologie, ainsi de suite ; dansun labo, le scientifique il fait quelque chose,il étudie, il travaille, il fait des observations,il développe une technique, ensuite il développeune technologie.
Mais à partir du moment où son savoir mémorieldevient vitalisé dans le cadre d’une société,ou il devient utilisé par les gouvernements,par l’Homme, par la société, par des forcessociales, il perd de sa valeur originale,c’est-à-dire qu’il commence à être pollué.
On fera par exemple, on construira des industries; et de ces industries, tout, sur le plantechnique, mathématique, représente un savoirmémoriel, bien organisé, qui a du sens,ça fera des industries qui pollueront unerivière, qui détruiront les forêts, quidétruiront la santé des Hommes, ainsi desuite.
Et souvent, dans certains milieux, pas tellementen Amérique, parce qu’il y a des contrôles,mais dans d’autres pays, on verra que cesindustries, pour toutes sortes de raisonsqui, souvent, sont de l’ordre du pouvoir financier,ces industries ne seront pas marquées dusceau de la réprobation de la part des gouvernements.
Les officiels iront voir les officiers d’industrie: Écoutez monsieur, dans la charte, dansnotre constitution, l’industrie doit nettoyerl’environnement, elle doit s’assurer qu’ily ait un équilibre entre elle et l’environnement
Et pourtant, la première chose qui se passe,c’est qu’on va donner au bonhomme, à l’officierdu gouvernement, on va lui donner de l’argent,on lui dit : On va vous ouvrir un compte enSuisse, et vous ne parlez pas. La nature sepollue, il y a infection, il y a perte devitalité dans l’écosphère ; alors ce savoirqui est mémoriel, il n’est pas soutenu parde l’intelligence créative.
Si vous aviez un industriel, un scentifique,qui travaille à l’intérieur d’une composantementale inférieure, mémorielle, mécanisée,mais qui serait supporté par une énergiecréative, et qu’il verrait l’officier dugouvernement venir vers lui, et lui dire : Bonécoutez, il y a quelque chose qui coule dansvotre industrie, qui pollue nos lacs, il polluenos rivières, il ferait quelque chose. Iln’accepterait pas de donner à l’officielde donner de l’argent pour ouvrir un compteen Suisse, pour lui, ne pas trop dépensersur la rénovation de son industrie.
Et c’est ça le reproche que je fais au savoirinvolutif de l’Homme, au savoir mémoriel,au savoir qui constitue le fond de la personnalitéhumaine. J’ai déjà dit dernièrement dansune de mes conférences que l’Homme possèdetrois personnalités en potentiel. Il a unefausse personnalité, il a une vraie personnalité,et il possède une personnalité réelle.
La personnalité réelle ne peut pas êtrecréée que par la synthèse, la réformation,la transformation des deux autres.
Une personnalité vraie, c’est aussi dangereuxqu’une personnalité fausse. Le fanatisme,par exemple, les gens qui sont fanatiques,ils ont des personnalités vraies, ils croientréellement dans la chose, ils sont réellementsincères dans leur affaire. Mais ils peuventmener les Hommes à des actes qui vont contrela nature de l’Homme, c’est-à-dire contrel’évolution.
E dans le même cas de la personnalité fausse,il faut qu’il y ait une synthèse chez l’Homme,et cette synthèse qui crée une personnalitéréelle, ne peut pas être crée qu’à partird’une intelligence réelle, c’est-à-direune intelligence qui vibre en dehors du mémoriel,qui se sert du mémoriel pour donner au mémorielde la vitalité, de la composante créative,au lieu que ce mémoriel soit simplement dela mécanicité ou un produit de l’intellectde l’Homme qui peut être facilement séparéde sa réalité, ce qui cause, dans notresociété, toutes sortes de choses.
FP : Ça revient à dire que ce savoir mémorielest un petit peu comme s’il a la capacitéde mettre au monde l’action, c’est un petitpeu la genèse de l’action, mais ensuite,il n’y a pas de suivi dans le développementde l’action qui prévoit les conséquences
BdM : Exactement, exactement, c’est trèsjuste. Le mémoriel met au monde, transformel’énergie en action, mais il n’y a pas desuivi parce que le mémoriel n’est pas conscient,le mémoriel c’est simplement de l’impression; le mémoriel fait partie des aptitudes psychiquesde l’Homme, des attitudes mentales de l’Homme.
Et si l’Homme ne possède pas une force enlui qui est continue comme la conscience l’est…
la conscience c’est continu, la consciencepose un geste aujourd’hui qui va durer desmilliers d’années, à ce moment-là, la conscienceelle peut donner au mémoriel une continuité; donc le mémoriel, au lieu de s’éteindreéventuellement dans une catastrophe, il continueà donner à la civilisation, à la société,à la culture, à l’Homme, une vitalité quicoïncide avec son organisation, avec sa production,avec sa technologie, ainsi de suite. Et là,vous avez une belle science humaine, vousavez quelque chose de bien.
FP : Est-ce qu’il y a des lois ou des mécanismesde l’action par rapport à l’énergie, àpartir du moment où l’énergie se manifeste,où l’idée va naître, il y a accouchementd’une idée après une période de gestation,comment, par la suite, suite à l’acccouchementde cette idée-là, la conscience va prendreen main le bébé, l’élever, le faire grandir
BdM : La conscience, elle travaille d’unetrès drôle de façon. La conscience ellea des vues très longues, la conscience del’Homme travaille avec le temps, selon sonactivité ; bon, je vous donne un exemple,simplement un exemple.
Supposons que, moi, on me demandait par exemple,de construire un centre de recherches scientifiques,et que.. bon… pour le début de l’évolutionde la science, pour le début de l’évolutionde notre civilisation, je dis : Bon, ben,disons qu’on va construire un système detéléportation pour que l’Homme puisse êtredématérialisé dans un espace limité, etensuite reconstruire sur le plan de sa structureatomique dans un autre espace.
Ça, sur le plan de la conscience, la conscienceelle dirait : Non, pas tout de suite, il fautattendre, parce qu’avec les conditions politiquesd’aujourd’hui, la situation polarisée dela poltique mondiale, le très haut niveaud’espionnage, la grande tension politiqueentre les Russes et les Américains, et aussila Chine, ainsi de suite, malgré que la Chinec’est pour plus tard, à ce moment-là, laconscience dirait, ou cette intellligencedirait à l’Homme, que vous ne pouvez pastravailler sur ce plan tout de suite, parceque vous auriez des pays qui enverraient dansd’autres pays les rebus de leur civilisation.
Par exemple, les Russes dématérialiseraientdes Hommes dans les asiles psychiatriques,ils les enverraient en Amérique ; nous, nousprendrions nos criminels et nous les projetterionsdans un autre endroit, dans un autre pointgéographique du monde, ce serait réellementune enfreinte totale aux lois politiques,aux frontières, ainsi de suite. Ça créeraitun débalancement total dans l’écologie psycho-humainede notre planète. Ça créerait un désastre.
Mais si vous arrivez à un scientifique etvous lui dites : Écoutez, nous avons la sciencequi puisse donner naissance à une technologiequi puisse dématérialiser l’être humain,ainsi de suite, et que vous mettez ça dansles mains d’une société qui est capablede fabriquer du “hardware” comme on dit,à ce moment-là, vous venez automatiquementde créer dans le monde une catastrophe.
Alors, pourquoi la science cosmique, la nouvellecivilisation, la nouvelle science ne peutpas devenir active avant un certain temps? Parce qu’il faut qu’il y ait la créationd’un nouvel équilibre après le déséquilibre.
Et à ce moment-là, il y aura des chosesque l’Homme, le scientifique créatif, conscient,pourra créer, pour le bénéfice de notrecivilisation, parce qu’à ce moment-là, lascience ne sera plus contrôlée par des forcespolarisées, qui sont, dans le fond, les forcesmêmes qui consituent la dégradation ou laprogression de notre société.
Et c’est ça le problème de l’Homme, c’estça le problème de la science, c’est pourça que je dis souvent à des individus quisont des scientifiques, qui ont un très trèshaut niveau d’intuition, qui sont réellementcapables de mettre au point une nouvelle technologie,je leur dis toujours : Si vous faites ceci,si vous travaillez à cette œuvre, vous verrezque d’ici trois, quatre, cinq ans, vous serezobligés de laisser tomber ! Parce que lesforces sociales voudront s’emparer de ce quevous avez fait, soit les neutraliser parceque ça bouscule l’économie mondiale, oules neutraliser parce que ça crée un déséquilibredans la sphère politique.
Et c’est à vous de le savoir, de le comprendre,ça. Si l’Homme n’est pas suffisamment dansson intelligence créative, il veut se “toquer”à une intuition, à une capacité d’utiliserson écran mental, pour vérifier la “scientifisation”d’une technologie avec les apports que nouspouvons lui donner aujourd’hui, sur le plantechnologique, à ce moment-là il se trouvedans l’eau chaude ! Et éventuellement, iIsouffre tellement des pressions, sur le planpsychologique, qui viennent des différentscoins du monde, qu’il devient paranoïaque,et éventuellement, il peut devenir fou.
Et moi-même, j’ai eu dans mon expérience,à rencontrer de ces hommes de science quisont réellement de très grands hommes descience, et qui ont pour, et pendant une certainepériode de temps, réalisé qu’effectivement,la science nouvelle, cette science qui estréellement créative, qui ne vient pas dumémoriel, qui vient de l’intelligence créative,cosmique, de l’Homme, qui passe à traversle mémoriel et qui se sert du mémoriel,et qui compose un nouveau mémoriel pour l’utilisationde cette énergie, que ces hommes ne sontpas capables de travailler ici. Ils commencentaujourd’hui à le réaliser.
FP : Donc toutes les inventions n’auraientpas la même source, la même origine, d’aprèsvous il y aurait…
BdM : Non, il y a des inventions qui sontdéjà… c’est intéressant cette question.
Il y a deux niveaux d’invention, il y a desinventions qui sont connues et il y a desinventions qui ne sont pas connues sur leplan de ce que nous pouvons appeler l’astral.
L’astral, c’est un monde parallèle qui représentela totalité des possibilités créativesplanétaires de l’Homme ; donc si vous allezsur ces plans, vous pouvez très bien voirune invention qui sera créée dans cinq ans,dans dix ans, ou dans quinze ans.
Mais elle viendra dans son temps et elle seraapportée à la Terre, par l’expérience d’unHomme qui peut connecter à ce taux vibratoireet l’amener sur le plan matériel, parce quetout existe sur les autres plans avant qu’ilssoient conçus dans la matière ; ça, c’estsur le plan de l’involution. Mais sur le plande l’évolution, où l’Homme ne travailleplus avec l’astral, où il travaille avecle plan mental pur, les connaissances, lessciences ne font pas partie des archives del’humanité, elles font partie des archivesd’autres civilisations dans le cosmos.
Mais elles ne font pas partie des archivesde l’humanité, c’est pourquoi, par exemple,un Homme qui irait sur le plan astral pouressayer de voir comment se crée, par exemple,un système de téléportation ou commentfonctionne par exemple, ce que vous appelezun OVNI, il ne pourrait pas trouver dans l’astralcette science parce qu’elle ne fait pas partiede la substance mentale de l’humanité. Ellefait partie de la substance mentale d’autrescivilisations et elle fera partie de la substancementale de l’Homme qui vient, l’Homme nouveau.
Donc, à ce moment-là, sur le plan de lascience cosmique, il n’y a pas de problème,l’Homme ne pourra pas développer sur cetteplanète une science qui est cosmique, c’est-à-direune science qui donne le pouvoir de voyagerdans le temps, se déplacer d’une planèteà travers la galaxie, dans une période detemps très courte, parce que le temps n’estpas venu pour ça ; parce que l’Homme possèdeencore trop d’émotion dans le mental, autrementdit, il est encore trop subjectif dans sascience.
Et la science étant subjective, elle doitse corriger graduellement, et si elle ne secorrige pas, elle crée d’affreux désastres,et ces désastres font partie du karma del’humanité, c’est-à-dire qu’ils font partiede ce que l’Homme doit vivre, pour apprendreà reconnaître la polarité dans ses émotionset dans ses pensées qui créent, d’une façonprobable, le désastre sur sa planète.
Jusqu’au jour où l’Homme sera suffisammentconscientisé, où il y aura des Hommes surla Terre suffisamment conscients pour pouvoirutiliser tous les outils de leur conscience; pour permettre que les scientifiques quisont inconscients, qui travaillent dans uneorganisation mondiale puissent être mis encontact avec cette science, mais sous le contrôled’une conscience qui est cosmique, c’est-à-diresous le contrôle du gouvernement invisible; c’est-à-dire “gouvernement” qui a lacapacité de s’autogénérer, de s’auto-mécanisercontre tous les mécanismes techniques, mécaniques,que nous avons aujourd’hui.
Autrement dit, un gouvernement invisible estun gouvernement qui a la capacité, sur leplan éthérique, de se localiser dans unechaîne de montagne, sous une mer, à la vuede tout, parce qu’il a la capacité de créerautour de son espace matériel, un vide, unvacuum éthérique qui empêche toute mécanisationde l’énergie de pénétrer jusqu’à lui.
Et ce gouvernement invisible, il peut travailler,il peut travailler pour l’évolution de l’Homme.
Il peut travailler à l’évolution de l’humanitésur une très très longue échelle de temps; il peut travailler avec des civilisationsqui viennent d’autres espaces, qui peuventpénétrer dans son éther ; et à ce moment-là,aider l’Homme à résoudre les problèmesqui, dans un certain cycle de karma, aurontété extrêmement pénibles, comme le problèmede la pollution, par exemple, ou le problème,probablement, des déchets atomiques s’ily avait débalancement dans ces forces…
Pour qu’ensuite, l’Homme puisse, sur le plande son inconscience, sur le plan des nations,sur le plan des Nations Unies, travailleravec ces forces, mais d’une façon qui soitcontrôlée créativement par des intelligences,par des Hommes intelligents qui ont le pouvoirde savoir que, s’ils font des gestes aujourd’hui,ce geste, dans cinquante ans, dans cent ans,dans cinq cents ans, sera égal en valeurcréative qu’il l’est aujourd’hui. Et ça,c’est la nouvelle évoution.
FP : Il y aura donc, à un moment donné,dans l’évolution de l’Homme, une catégoried’Hommes qui aura une conscience à donnerà la science ?
BdM : C’est juste. Il y aura une catégoried’Hommes qui aura la capacité de donner àla science une conscience, et cette catégoried’Hommes, naturellement, pourra donner àla science cette conscience, parce que déjà,eux, possèderont ce que nous appelons uncerveau éthérique, c’est-à-dire qu’il yaura une connexion parfaite entre tous leursneurones, tous les neurones de leur cerveauet cette énergie.
Et cette connexion se fait graduellement,elle se fait selon les Hommes ; ils sont éparpillésun peu sur la Terre, et un jour, ils se rencontrerontces Hommes, et ces Hommes, à cause de leurcapacité de se dédoubler, de rematérialiserle corps éthérique, pourront aller où ilsvoudront sur la planète, ils pourront rencontrerles Hommes de science, ou les Hommes qui manipulentla finance, ils pourront parler avec ces Hommes; mais parce qu’ils seront dans un état totalementnon-matériel, mais formés, opaques, capablesde se livrer à l’investigation de l’œilet à se soustraire de l’investigation del’œil à volonté, ces Hommes pourront fairequelque chose pour la planète, pour l’évolutionde la civilisation, qui soit très grand,qui fait partie des secrets de la nouvelleévolution.
FP : Mais supposons qu’un Homme comme vous,par exemple qui, par ce niveau mental supérieur,supramental, supposons qu’un Homme comme vousait de l’information du plan éthérique,on ne peut pas l’utiliser ?
BdM : Non, parce que si un Homme, par exemple,qui a une connexion avec cette énergie, s’ilva sur le plan éthérique, il y aura deslimitations, on l’empêchera de s’approcherde la technologie. Par exemple, si vous allezsur le plan éthérique, et que vous voyez,par exemple, cette machinerie, dont je parlais,ou si vous voyez des automobiles de l’an 2050,2070, ou si vous voyez des centres d’énergisationpour les nouveaux besoins de l’humanité future,au lieu que ce soit le pétrole, ainsi desuite, à ce moment-là vous allez… on vavous permettre d’approcher peut-être à cinqpieds, quatre pieds de l’objet, selon votretaux vibratoire, selon votre conscience, selonce que vous pouvez rapporter ou non, ainside suite.
Il y a effectivement un contrôle absolu,et vous pourrez peut-être vous rapprocherde deux pieds, mais si vous vous rapprochezde deux pieds, déjà, vous verrez l’objet,vous pourrez le regarder de près, mais vousne pourrez pas ouvrir le capot, regarder dedans,vous ne pourrez pas le pénétrer, vous nepourrez pas non plus vous instruire dans leslaboratoires de ces plans qui ont construitsur le plan de la forme, cet objet. Donc ily aura des limites.
Vous êtes exactement dans la même situationoù, si aujourd’hui, vous allez dans un plande recherche scientifique secret, et qu’onvout dit : Vous pouvez regarder d’ici, vouspouvez regardez de là, mais vous ne pouvezpas toucher à l’objet, vous ne pouvez pasvous rapprocher de lui, vous ne pouvez pasprendre de phtographie, ainsi de suite. Doncl’Homme, aujourd’hui, est à un stage oùil est limité dans sa conversion de l’imagementale en réalité, donc il est limitésur le plan de la science parce que ce n’estpas le temps.
Mais il y a des Hommes sur la Terrre, aujourd’hui,qui ont la capacité d’investiguer la sciencede demain, de la science qui va se développersur une échelle de centaines d’années, maisselon leur position hiérarchique dans cetteénergie, dans ce gouvernement, ils ne peuventpas approcher trop de cette science, et lorsqu’ilsreviennent dans leur corps matériel, ilssont obligés de laisser derrière eux lamémoire de cette techologie.
FP : Et comment se fait-il, par exemple, qu’ily a des gens qui font la même découverte,en même temps, dans deux points éloignésde la planète, c’est quoi ce phénomène
BdM : C’est simplement pour, comment on diten français… pour “taquiner” l’Homme
FP : L’aiguillonner !
BdM : Oui, l’aiguillonner ! C’est pour faireréaliser à l’Homme… vous savez, les sphèressont subtiles. De l’esprit… je n’aime pasle mot “esprit”, le mot esprit, c’estun mot qu’on devra un jour éliminer de notrevocabulaire ; mais l’activité des intelligencessur les plans parallèles, elle est trèssubtile, parce que de l’intelligence c’estsubtil. L’Homme n’est pas subtil, il est grossier,parce que son intelligence n’est pas totale.
Et si un Homme découvre une loi et qu’unautre Homme, dans un certain endroit, dansun autre temps, découvre une loi, on dit: Ah ! Là il y a un phénomène de synchronicité,on peut simplement dire ça, donc on va dire: Il y a un phénomène de synchronicité,on ne comprend pas trop pourquoi… papapapapapa…
Mais dans le fond, c’est pour démontrer àl’Homme, l’être humain, qui est encore envoie de développement d’une conscience expérimentale,autrement dit qui a encore quelque chose àapprendre de la réalité des sphères, enfonction ou en relation avec la sphère matérielle,le globe terrestre, qu’effectivement, derrièrele mur de l’espace et du temps, derrièrele mur de ses sens, il y a de l’activitéextrêmemement importante qui se fait !
Et que cette activité dirige l’évolutionsur la Terre jusqu’à tant que l’Homme puisseprendre en main sa propre évolution, oùces phénomènes existeront, naturellement,en plus grand nombre, mais où ça fera partiede la conscience normale de l’Homme.
FP : Ça lui fera réaliser, peut-être, quece n’est pas lui qui “rune” le show ?
BdM : Oui, dans le cas présent, oui, dansl’avenir ce sera normal. Un Homme qui… entout cas, moi je le vis dans ma vie, si jevais chez Eaton, je parle toujours de Eaton…
Si je vais dans un magasin, je vais en ville,et que je rencontre une personne, la personneme dit : Ah ! J’ai pensé que je te rencontrerais! Moi, ça ne me surprend pas, c’est normal.
Mais pour lui, ça le surprend. S’il étaitsuffisamment conscient, ça ne le surprendraitpas ; et s’il était très très conscient,quand je suis chez moi, et que lui est chezlui, il me dirait : Viens t’en, on va se rencontrerà telle date, et nous nous rencontrerionslà.
FP : C’est une espèce de crédit télépathique
BdM : Oui, exactement. Mais l’Homme c’estun être qui n’a pas encore goûté de lui-même,il n’a pas encore goûté à sa réalité,il a simplement goûté à une sorte de phénoménologie,à une sorte de paranormalité, de temps àautre. Et il essaie, de toutes les façons,avec son mental subjectif, avec ses yeux ousa vision colorée, de jeter de la lumièrelà-dedans, et ce n’est pas par son intellectqu’il jettera de la lumière dans ses mécansimes,c’est par sa lumière qu’il jettera de lacouleur sur ses mécanismes.
FP : Pour revenir sur le plancher des vaches,comment se fait-il qu’on passe un tiers denotre vie quasiment à poser des gestes, àfaire des actions, puis un autre tiers àles corriger ?
BdM : Parce qu’on est des vaches ! (riresdu public). Parce qu’on est des êtres quin’avons pas encore suffisamment de consciencepour comprendre les lois de l’action. Nousvivons les lois de l’action en fonction denotre émotivité, nous ne vivons pas leslois de l’action en fonction de notre vibration.
FP : On ne peut donc rien faire sans avoirtoujours à revenir, puis après à corrigercette action dans le temps ?
BdM : Oui, et ceci nous donne de l’expérience,et ceci nous donne de la souffrance, ainside suite. Et ceci fait partie des impressionsqui sont accumulées dans ce que nous appelonsla mémoire humaine qui est, dans le fond,l’âme de l’Homme. Et sur les autres plans,cette énergie, elle est récupérée pourperfectionner l’Homme, ainsi de suite, etça, ça dure pendant des millénaires.
FP : Mais ça prendrait quoi pour poser uneaction qui soit pure, immédiatement ?
BdM : Pour poser une action qui soit puredans l’immédiat, il faut que l’action coïncideparfaitement avec la vibration, c’est-à-direqu’il faut que l’action soit dans le tempsde l’énergie. Si l’action, elle est dansle temps de l’énergie, elle est parfaite.
Si l’action, elle est un peu en dehors dutemps de l’énergie, à cause de l’émotion,à cause de l’impatience de l’Homme, à causedu mental de l’Homme, à cause de la personnalitéde l’Homme, ainsi de suite, qui veut que l’actionsoit mise à point avant le temps, à ce moment-là,il y a interférence, et les systèmes planétairesentrent en jeu ; et automatiquement, créentdans cette action, une dissonnance.
Et cette dissonance, elle est vécue sur leplan de la vie comme une erreur, elle estvécue comme un accident, elle est vécuecomme ci, elle est vécue comme ça. Maissi l’Homme vivait son action dans le tempsde l’énergie, à ce moment-là, il sauraitqu’il ne doit pas poster la lettre aujourd’hui,il doit la poster mercredi à trois heures.
FP : Et comment est-ce qu’il peut savoir,quand est-ce que c’est le temps de l’action
BdM : Ça fait partie de sa conscience. Sil’Homme est dans sa conscience, sa consciencepeut facilement lui dire : Non, aujourd’hui,ce n’est pas le temps de placer la lettre…
tu la placeras la semaine prochaine à miditrente, parce que le type qui va la recevoirmardi à telle heure, il sera dans un bon“mood” (ambiance), tandis que si tu laplaces avant, le type va recevoir la lettredans un temps où il vient de perdre son enfant,il est malheureux, il ne peut pas mettre touteson énergie à la lettre.
Donc la conscience, l’énergie, le doublede l’Homme, la partie cosmique de l’Hommesait ceci ; parce qu’elle est en dehors dutemps psychologique de l’Homme. Si l’Hommeest suffisamment ajusté à sa vibration,sans nécessairement être obligé de vivrele contact télépathique que très peu d’Hommesvivent en relation avec cette énergie, maissimplement le contact vibratoire, à ce moment-là,l’Homme s’aperçoit qu’effectivement, uneaction, ça se pose dans un certain temps,et ça ne se pose pas dans un autre.
Et si l’Homme la pose dans un autre, il faitinterférence avec l’énergie, donc il s’assujettitaux lois planétaires, donc il vit une dissonance,donc, ce que vous appelez une interférence,une alarme quelconque… La vie, qu’est-ceque c’est la vie ? La vie c’est la parfaiteorganisation dans le cosmos de l’énergieutilisée par les sphères d’influence, pourle bénéficie d’une sphère d’influence,en relation avec des êtres qui évoluentsur cette sphère.
Autrement dit, la vie c’est une énergie dansle cosmos utilisée par des sphères, autrementdit des gouvernements invisibles, qui manipulentcette énergie, qui la dirigent vers une planètepour l’évolution d’un Homme ou de plusieursHommes… (Coupure)…
(Reprise en cours) (…) Et éventuellement,ces Hommes qui sont sur la planète en arriventau stage de l’immortalité, c’est-à-direau stage de la continuité de conscience,c’est-à-dire un stage où ils sont capables,à un certain moment de leur vie, de se séparerde leur corps matériel, d’utiliser leur nouveauvéhicule de lumière, et d’entrer en contactavec des intelligences qui sont dans des sphèresinvisibles qui, dans le passé, organisaientla vie de l’Homme.
FP : Ça revient à dire que l’action, elleest déjà programmée ?
BdM : L’action est déjà programmée parles intelligences qui font partie de l’Homme.
Chaque Homme possède une intelligence. Vous,vous avez un double, moi j’ai un double, tousles Hommes ont un double ; c’est ce doublequi nourrit la matériel, l’astral, mental,c’est ce double-là, et ce double, c’est lapartie cosmique de l’Homme, c’est la personnalitécosmique, et un jour, il faut qu’il y aitfusion entre cette partie cosmique et la partiematérielle de l’Homme, ou le psychisme del’Homme.
Ça, c’est la nouvelle évolution, c’est cequi va se produire, donc ce double, il évoluesur des sphères, il n’est pas chez Eaton,il est dans des sphères, il est dans sonpropre monde, il est dans sa propre galaxie.
L’univers cosmique, il est matériel, il estinvisible ; nous sommes habitués à l’universmatériel parce que nous avons simplementdes sens matériels, nous n’avons pas développénos autres sens, mais il y a des mondes quisont parallèles.
Et ces mondes parallèles sont les mondesqui, dans le fond, ont la fonction d’instruireà travers la manipulation de l’énergie quifait partie de leur organisation, ce qui estdans le matériel et qui doit être amenépetit à petit à la lumière, et c’est çal’évolution. Donc, pendant des millénaires,l’Homme a vécu l’involution qui est la descentedans la matière ; aujourd’hui il est prêt,il a le corps mental développé.
Et l’évolution le ramènra vers la lumière,le ramènera vers ces sphères qui, de touttemps, ont existé ; mais qui, de tout temps,ont été considérées par les Hommes commedes dieux qui influaient sur lui, mais surlesquels il n’avait pas le contrôle. Tandisqu’avec l’évolution, ces sphères agirontà réabsorber l’Homme, à absorber le doublede l’Homme, à retravailler avec l’Homme ; etl’Homme vivra une continuité dans sa conscience.
Et ces sphères sont puissantes, parce quece sont ces sphères qui sont créatives,ce sont ces sphères qui donnent au cosmosplanétaire que nous connaissons, matériel,toute sa vitalité, sa forme, son organisation,sa synchronicité, sa chronologie, son évènementiel; il n’y a pas un évènement sur une planètequi soit accidentel, c’est une illusion.
FP : Où placez-vous le savoir-vivre, malgré…
BdM : Je reviens queques petites minutes,rien que pour dire… bon, moi je dis ceciaujourd’hui, bon, mais ce que je dis, çaa toujours été dit. Si vous avez des Hommesdans le passé qui ont dit : Bon, ben dansdeux cents ans, il va se produire tel chose,dans trois cents ans, dans quatre semaines,nous savons, tous les Hommes savent, autantdans le monde occidental, que dans les payssous-développés, qu’il y a effectivementde la voyance dans l’Homme, et qu’effectivement,nous avons des cas de voyance qui sont extrêmementprécis.
Pourquoi est-ce que… si nous savons qu’ily a de la voyance dans l’Homme, que des hommes,des femmes peuvent dire : Bon, ben il va seproduire telle chose à telle date, il y ades Hommes qui ont cette faculté à un trèshaut degré, pourquoi ne sommes-nous pas suffisammentintelligents, en tant que scientistes, entant que personnes qui vivons dans une sociétémême scientifisée, pourquoi nous ne sommespas suffisamment intelligents pour dire : Ouieffectivement ça existe.
Si le scientifique, le cartésien, le rationaliste,était suffisamment épuré de son orgueilintellectuel, et regardait dans le monde,dans tous les pays du monde, regardait dansla biographie de certains Hommes, et voyait,qu’effectivement, de la voyance ça existe,que des évènements sont prédits par desHommes parce qu’ils reçoivent de l’information,même s’ils sont inconscients de la sourceou de la mécanicité de ce phénomène, àce moment-là, déjà, la science pourraits’ouvrir un petit peu plus.
Mais ce qui se produit, c’est que, souvent,comme aujourd’hui c’est le cas, il y a certainsmilieux scientifiques aux États Unis, enRussie, des centres de recherche en parapsychologie,mais cela veut dire que ces Hommes qui travaillentdans ces milieux extrêmement restreints,sont conscients du phénomène “para”.
Et ils font une recherche à tire d’aile dansle domaine de la parapsychologie, alors queles autres scientifiques qui font aussi partiede “l’establishment” scientifique, quisont des Hommes intelligents, mais qui viventde la crainte de ce que leurs collègues,dans les départements, vont croire.
Donc ces Hommes restreignent non pas l’évolutionde la science parce que l’évolution de lascience, ce n’est pas dans leurs mains. Cene sont pas les petits scientifiques qui secachent et qui se bornent, qui font l’évolutionde la science ; ce sont ceux qui ont réellementla capacité de dépasser les limites psychologiquesdu mémoriel humain, et de voir qu’il y a,effectivement, selon la preuve, selon la statistiquedans le monde, de l’évènementiel qui doitêtre réellement pris en considération,parce qu’un jour, peut-être ça peut êtreintégré dans notre science.
Les Russes le font, Américains le font…
et dans nos universités… dans nos maisons,dans nos familles, on se refuse de le croire.
C’est terrible ! Autrement dit, si nous avonsdes doctorats, si nous sommes des Hommes descience, si nous sommes des Hommes qui sontintelligents, parce qu’ils ont la capacitéde bien utiliser leur mémoriel, ces Hommesdoivent être aussi suffisamment ouverts d’esprit,pour voir qu’effectivement, la vie n’est pasfinie, l’évolution de l’Homme n’est pas finie; et que ce que nous avons retenu de l’histoire,sur le plan statistique, les “Nostredame”,les Hommes qui ont été des grands voyantscomme il en existe aujourd’hui, que s’il ya quelque chose là, les Hommes ne sont pastous fous.
FP : On peut même rendre à César ce quiappartient à César, si on regarde tout simplementau niveau d’un texte de la Bible, dans l’Ecclésiaste,il est dit qu’il y a un temps pour tout etun temps pour chaque chose, un temps pourla paix, un temps pour la guerre…Un tempspour l’action, un temps pour… etc. C’estun texte qui va fondamentalement à l’encontredu libre arbitre.
BdM : Très juste. Très juste parce que…
en tout cas, je sais que les Hommes que jeconnais qui se conscientisent aujourd’hui,leur plus grande souffrance, c’est le temps.
Ils savent, ils ont la vision, ils comprennent,mais le temps, pour eux c’est leur souffrance.
Et l’Homme ne peut pas faire autrement parcequ’un Homme conscient, en “contradistinction”avec un Homme inconscient purement cartésien,c’est un Homme qui est capable de travailleravec le temps.
Vous imaginez ce qu’un être peut faire s’iltravaille avec le temps pendant vingt-cinqans, trente ans, quarante ans, cinquante ans! Mais pour travailler, pour se donner unplan de vie ou de destinée d’action sur unebase de cinquante ans, soixante ans, il fautavoir une conscience, il faut être en relationétroite avec sa conscience. Sinon, les “fuses”(fusibles) sautent, sinon les fusibles ennous, ne peuvent pas tenir le coup, parceque le nouveau, lui, il est toujours… ilveut aller vite, on veut corriger… papapa…
papapa…
Il y a un temps pour chaque chose, et la Biblea raison, il y a un temps pour chaque chose,et lorsque l’Homme saura ceci : “il y aun temps pour chaque chose”, et le savoirc’est le savoir, quand je dis “savoir, jesais ce que je veux dire, savoir c’est savoir; ce n’est pas penser le savoir ! Lorsquel’Homme saura ceci, il vivra ceci, mais lorsqu’ilvivra ceci, il prendra le temps qu’il a besoinpour faire. Et à ce moment-là, il ne souffriraplus des conditions psychologiques planétairesde son ego, il fera de grandes choses dansle temps.
Donc il ne fera pas d’erreurs, il ne se mettrapas dans une situation dépourvue de sens,parce que lui-même aura donné à cette situationun sens qui lui est siplement personnel etsubjectif, et c’est ça de l’intelligence.
Ce n’est pas de la sagesse ! La sagesse neva pas si loin que ça, l’intelligence oui! Parce que la sagesse fait encore partiede l’ego, tandis que l’intelligence, ellene fait pas partie de l’ego, elle passe àtravers l’Homme comme l’énergie.
L’Homme devient un canal de cette énergie,et avec le temps, il y a synthèse, synthèse,fusion, fusion Et un jour, l’Homme, lorsqu’ilsera suffisamment dans cette énergie, ilfera le même phénomène que Ezéchiel afait, il se retirera dans le temps, dans unchamp de feu.
FP : Quelle importance accordez-vous au savoir-vivre
BdM : Savoir vivre, c’est extrêmement importantparce que savoir vivre, ça veut dire êtrecapable de bien vivre, être capable de bienfaire vivre les autres, être capable de secomporter dans la vie avec un équlibre. Savoirvivre, c’est avoir de l’équilibre dans lavie, et ça touche tout, ceci ! Ça toucheêtre propre, ça touche être en santé,ça touche manger une nourriture saine, çatouche avoir une maison propre, ça touchetout. Savoir vivre, ça fait partie de laconsience, ça fait partie de la conscience
C’est intégral la conscience, parce que laconscience se manifeste chez l’Homme, ellene peut pas faire autrement que de déployerà travers lui de l’équilibre, de la hautenature de l’esthétique, de la beauté, del’harmonie, l’absence de bruit, l’absencede ce qui détruit. La conscience, elle estcréative, et elle est absolue la conscience! Donc, lorsqu’elle est dans l’Homme… c’estpour ça que je parle souvent du mental individualisé,parce que cette conscience, quand elle passedans l’Homme, à ce moment-là, il n’est plusinfluençable.
Donc, si vous m’arrivez chez moi, et vousme dites : Écoutez, Monsieur Bernard, j’aiun disque de “The Animals”… je ne saispas moi, il y a des titres de musique aujourd’huidans le monde, il y a toutes sortes de choses,alors vous m’arrivez, vous me dites : Écoutez,Monsieur Bernard, c’est The Animals qui ontfait ça, il faut que vous écoutiez, moicomme je sais bien vivre, je vais vous dire: Je vous remercie, je vais le mettre surla table, merci.
Ensuite vous allez partir, je vais vous laissersur l’impression que je vais écouter The“Animals”, mais rendu à la maison, jevais le garder dans la filière, parce queje ne voudrais pas, moi, écouter The Animals,parce que pour moi, écouter les “Animals”,c’est trop dur sur mon oreille, c’est tropdur sur mes corps, mais je respecte. Je dis: Merci Monsieur.. je ne sais pas commentvous vous appelez… monsieur François, etje dis : Monsieur François, merci, vous êtestrès gentil.
Donc vous, vous partez, vous m’avez fait uncadeau, vous avez essayé de me bien fairevivre, et moi, je m’assure de me bien fairevivre.
FP : Vous savez que fusionner un esprit tropcartésien, le fait que vous oubliez mon nomtrès souvent, je penserais ou je ferais lerapport avec la maladie d’Alzheimer… (riresdu public).
BdM : Oui très juste (rires du public), maissi vous regardez ça du point de vue de laconscience créative, la conscience créativeelle est à l’œuvre dans l’Homme, moi jesais votre nom, je le sais votre nom, maissi je suis coupé par mon énergie d’utiliserle mémoriel, ce n’est pas parce que votrenom n’est pas enregistré dans mon mental,c’est que l’énergie bloque le mémoriel.
Si moi, parce que mon énergie est créative,bloque le mémoriel, je deviens tout “croche”,à ce moment-là, je ne suis pas conscient,et si vous, vous devenez “croche”, vousn’êtes pas conscient, mais elle a servi,cette suspension de mon mémoriel, ça faitrire la salle, ça crée une petite atmosphèrede dégagement, ça fait chaleureux, maisça, encore, dégage la réalité de la consciencede l’Homme ; c’est que l’Homme, quand il estdans l’alliance de son énergie avec son ego,son énergie créative, elle fait ce qu’elledoit ; et elle fait toujours créativementce qu’elle doit.
Et si l’Homme, souffre, lui, subjectivementde ce qu’elle fait, c’est qu’il n’a pas larésistance de l’absorber, donc il n’a pasla résistance pour aller encore plus loindans sa fusion avec elle. Mais c’est ça leproblème de l’Homme.
FP : Dans la manifestation du savoir-faire,il y a aujourd’hui une nouvelle facette trèsrécente qui est le “faire-savoir”, savoir-faireet faire-savoir, c’est généralement la réussitepour les grands hommes d’affaires, les publicistes,etc. Vous-même, quelle est votre conceptionde la publicité ou du “faire-savoir”
BdM : Je n’aime pas la publicité, non pasparce qu’elle n’est pas nécessaire, non pasparce qu’elle ne peut pas être bonne, maisparce que… bon, prenons mon cas, mon casc’est mon cas ! Moi, je viens dans un monde,dans un public qui a été, pendant trèslongtemps, utilisé par les pouvoirs ; soitles pouvoirs extérieurs ou les pouvoirs internes,autrement dit je sais très bien que l’Hommea été manipulé pendant des siècles.
Donc je viens dans un public avec des donnéesqui sont neuves, qui sont en dehors du mémorielet je m’avance lentement vers l’Homme pourlui parler. Mais je ne peux pas demander àl’Homme, qui suis-je moi ? Je ne peux pasdemander à l’Homme de me faire confiance,je ne peux pas demander à l’Homme de dire: Ah ! Bernard de Montréal il est réellementbien ! L’Homme il a été vexé à tous lesniveaux, il a été vexé dans la spiritualité,il a été vexé dans la vie psychologique,il a été vexé dans l’éducation !
L’Homme a subi des contrecoups toute sa vie,il a été déçu toute sa vie ; l’Homme,c’est l’histoire de la déception. Donc, vientun bonhomme tel que moi dans un public, etje ne peux pas dire à l’Homme, je ne peuxpas fairede la publicité et dire dans un journal : Bernardde Montréal, il va parler à tel endroit,parce que si je fais ceci, je demande à l’Hommede prendre ou de donner à ma personne unevaleur, et je ne peux pas faire ça.
Donc, je suis obligé de travailler ou dem’amener vers l’Homme par des voies indirectes,de bouche à oreille, lentement, avec le temps; je dois donner à l’Homme de l’espace, jedois donner à la civilisation du temps pourabsorber ce que j’ai à dire, et ce que j’aià dire, je n’ai pas encore commencé à lefaire.
Donc, je dois donner à l’Homme énormémentde temps, pour pouvoir s’habituer à une nouvelleconscience, à une nouvelle vision des choses,à une nouvelle façon d’expliquer, à unenouvelle façon de parler, à une nouvellefaçon de mettre en perspective ce que nousappelons le mémoriel ; c’est-à-dire toutce que nous savons. Donc je dois respecterl’Homme, je ne peux pas faire de la publicité.
D’ailleurs, ce ne serait pas bon, parce quesi je faisais de la publicité, je me brûlerais.
Moi j’ai tant de jours, tant de minutes, tantd’heures par jour à vivre, j’ai tant de joursdans une année à vivre, je dois vivre mavie personnelle, j’ai des choses personnellesà faire, je dois écrire… Et aujourd’hui,regardez mon horaire, je fais des conférences,je fais des séminaires, je fais de la télévision,je suis comme une queue de veau, je contrôlela queue de veau.
Mais viendra un moment dans les mois qui viennentoù je voudrai lentement commencer à prendredu recul pour faire autre chose. Si je faisde la télévision, si je fais… commentvous appelez… si je fais de la publicité,ce ne serait pas intelligent. Je me créeraisdes demandes et je ne peux pas faire ça.
FP : Donc, on ne peut pas annoncer que vousêtes en concurrence au Cegep de Maisonneuveà tous les mois, on ne peut pas le faire,ça ? On ne le fera pas, alors !
BdM : Si vous l’annoncez, vous l’annoncezdans une salle, mais si vous l’annoncez dansun public, il faut que ce soit intelligent; moi je ne suis pas un produit, je me produismoi-même, vous comprenez ? Je ne suis pasun produit, je me produis moi-même. Doncje n’ai qu’à parler, je n’ai simplement qu’àparler, donc si je me produis moi-même, jene suis pas un produit.
À ce moment-là… moi je ne suis pas toujoursau courant de ce qui se passe autour de moi,mais s’il y a des gens qui se servent de mapersonne, de ma personnalité publique dansun public québécois qui est très vaste,et qu’on utilise ma personne sur le plan dela publicité, d’une façon qui n’est pasintelligente, c’est moi qui vais en souffrir.
Parce que c’est moi qui vais être obligéde remplir cette forme énorme, et ce n’estpas intelligent, ce n’est pas créatif, cen’est pas…
FP : Vous avez un contrôle, une mesure durythme de votre action ?
BdM : Voilà !
FP : Il y a quelque chose d’important au niveaude l’énergie à contenir ?
BdM : Très juste, c’est pour ça, souventon me dit : Pourquoi vous ne parlez pas dececi en public, pourquoi vous ne parlez pasde cela ? Je ne peux pas parce que si je parletrop, si je vais trop loin, trop vite, jecrée trop d’énergie. Si je crée trop d’énergie,il faut qu’elle soit absorbée cette énergie-là; et je ne peux pas être dans un public…
moi je le sais, parce que j’ai le pouvoirde créer ce que vous pourriez appeler une“psychose collective”, je l’ai le pouvoirparce que j’ai le pouvoir de transmuter lemémoriel humain.
J’ai la capacité de parler de tout, autantde la science que de la philosophie, que dela métaphysique, je peux parler de n’importequoi, donc si je parle de n’importe quoi,en dehors des limites psychologiques du mémorielhumain, je crée tellement d’énergie dansun public, que ce public-là n’a pas le tempsde récupérer ; et ce n’est pas bon, ce neserait pas intelligent, et c’est là que jesuis contrôlé.
Mon énergie me contrôle, c’est pour çaque j’ai souffert pendant quinze ans la fusionpour que chaque mot qui sort de ma bouchesoit toujours un mot qui possède une résonancequi sert créativement à amener une énergiedans le monde, mais non pas un mot qui sertsubjectivement et psychologiquement à donnerà l’Homme l’impression de ce que je dis ; parceque ce n’est jamais ce que je dis qui compte,c’est ce que je veux dire.
Et ce que je veux dire, ça fait partie dumouvement de l’énergie à travers la forme.
Nous sommes habitués sur le plan psychologique,surtout les cartésiens, à prendre la formepour ce qu’elle représente. Et nous verronsdemain que dans le domaine du savoir, dansle domaine de l’intelligence, dans le domainede la science, nous sommes obligés de prendrela forme à un autre niveau.
Moi je sais très bien, je pourrais aujourd’hui,par exemple, faire une analyse de l’équationeinsteinienne, je serais capable de parlerde l’énergie, de la masse, de la lumière,et je serais capable aussi de transformertotalement cette équation pour lui donnerune nouvelle vibration, c’est-à-dire unenouvelle résonance qui permettrait à l’Homme,au scientifique suffisamment sensible, pourconcevoir finalement que la lumière ne commencepas dans l’espace.
Et un Homme, un scientifique qui prend samachinerie, qui regarde dans l’espace, pourlui, la lumière elle vient de l’espace ; etun jour, l’Homme réalisera que la lumièrene vient pas de l’espace, que ce que nousdonnons de l’espace n’est que l’échange vibratoireentre différentes couches de conscience atomiquesqui fait partie de l’espace, que nous appelonsl’espace interplanétaire, qui est un espacesuffisamment battu de vacuum.
Et c’est le fait de l’échange constant dela vibration à travers les différentes stratesd’énergie éthérique de la conscience atomiquede ces espaces vides qui créeent le mouvementde la lumière ; le mouvement de la lumièrene vient pas de l’espace, ceci est une formulationd’optique astralisée par le système nerveuxde l’Homme pour lui donner, sur le plan del’ego, la conscience d’être dans un universinfini.
FP : Alors E= MC… 5… cinquième dimension! (rires)
BdM : Je ne veux pas parler de ceci.
FP : Mais dans son application pratique, auniveau du contrôle de l’énergie, pour poserune action, qu’est-ce que vous pourriez nousdonner comme conseil, au niveau de la personnequi commence à se conscientiser, pour nepas avoir à corriger son action ? Vous avezparlé du temps déjà, la notion du temps; maintenant ce temps, on doit le ressentir,d’après vous, intuitivement ? Est-ce qu’ona une indication quand est-ce que c’est lemoment, le temps, pour quelqu’un qui n’a pasun contact télépathique ?
BdM : Dans son action, l’Homme ne doit passe presser, il doit développer une sortede patience, une sorte de sensibilité autemps. De la patience, c’est de la sensibilitéau temps… de la patience ! Et l’Homme estpoussé, il est poussé par sa conscienceastrale, c’est-à-dire par sa conscience animale,il est poussé par ses émotions, il est pousssépar ce qui est instestinal, à faire une actionavant le temps, c’est pour ça qu’il perd.
Nous avons, les Hommes, à cause de notremanque de conscience, nous avons l’incapacité,nous souffrons de l’incapacité de réaliseret de savoir que tout ce qui nous est dû,doit venir. Tout ce qui nous est dû ! Çac’est un aspect. Et d’un autre côté, noussommes incapables de réaliser que nous avonsune volonté d’intelligence créative quiest capable de nous amener, de nous rendredans ce qui nous est dû.
Autrement dit, la vie c’est comme les probabilités,c’est comme si vous diriez, il y a des probabilités,mais les probabilités sont toujours en fonctionde notre impuissance. Moins il y a d’impuissancedans l’Homme, plus les probabilités s’éliminent,plus la vie devient présente dans l’Homme.
Les initiés l’ont toujurs su, ceci. Si noussommes inconscients, bon d’accord, la vieelle est encadrée dans des probabilités.
Plus nous devenons conscients, moins il ya de probabilités dans notre vie, plus notrevie devient certaine, c’est-à-dire plus nousentrons dans la destinée de l’action, plusnous sommes capables de travailler avec letemps. Il y a des actions que vous pouvezconnaître demain, que vous ne pouvez pasconnaître aujourd’hui. Il y a des chosesque je peux dire dans cinq ans, que je peuxfaire dans dix ans, dans quinze ans, dansvingt ans, que je ne peux pas faire aujourd’hui.
Donc, si je travaille avec les forces de lavie, à travers ma propre conscience, et queces forces sont suffisamment présentes etintégrées à l’ego, c’est évident que moi,en tant qu’Homme, en tant qu’ego, en tantque personne humaine, je ne peux pas allercontre les lois de cette énergie, je ne suispas capable, à cause de la fusion.
Mais l’Homme lui, il reçoit un peu de cetteénergie, elle est astralisée dans sa conscience; et il fait, avec cette énergie, des chosesqui ne devraient pas être faites. Et il lesfait, parce qu’il possède un corps de désir,il possède de l’émotion dans son mental,c’est ça le corps de désir, c’est de l’émotiondans le mental. L’Homme ne fait pas des chosesen fonction de son intelligence et de sa volonté; il fait des choses en fonction de son intellectet de ses émotions.
FP : Les Américains disent : “Sois sûrd’être sûr et après, vas-y, passe à l’action”.
Est-ce que c’est un peu ça ?
BdM : Oui, c’est bien ça ! Être sûr d’êtresûr, mais vous savez qu’est-ce que ça implique“être sûr d’être sûr” ? Si vous êtessûr d’être sûr, si vous mettez en gageurdix cents sur une table de poker, vous êteslibre, vous pouvez vous permettre d’êtresûr de gagner, et si vous perdez, vous allezdire : Ah ben, je pensais que j’étais sûrd’être sûr, mais plus tard ! Mais si vousmettez un million sur la table de poker, vousêtes mieux d’être sûr, d’être sûr, d’êtresûr, d’être sûr ! (rires du public).
Vous êtes mieux d’être sûr, d’être sûr,d’être sûr, comme moi… je ne gageraispas, mais si je faisais ceci, je serais sûrd’être sûr, d’être sûr ! À ce moment-là,je gagnerais ! Je mettrais un million, jemettrais cinq millions sur la table, je gagnerais,mais je ne peux pas le faire parce que cen’est pas le temps de le faire ; c’est lavibration, il faut qu’elle passe.
FP : Il y a quelqu’un qui l’a vérifié récemment,il a gagné près de huit millions en étantsûr d’être sûr, puis après il a perdu,en étant sûr d’être sûr aussi, alors lesprobabilités, c’est quoi pour vous, la loide probabilité ?
BdM : Les lois de probabilité sont des loisde l’âme, ce sont des lois de l’âme, cesont des lois expérimentales qui ont la fonctionde démontrer à l’Homme, de par son impuissance,qu’il possède une conscience assujettie àun monde, et là, selon sa domination, sareligion, sa philosophie, mais à un mondeplus puissant que lui. Ceci fait partie del’involution.
Dans l’évolution, les lois de la probabilitén’existeront plus pour l’Homme, et à causede ceci, l’Homme aura accès à sa destinée,il aura accès à son avenir, l’Homme pourrradire : Dans vingt ans, je ferai telle chose,tel jour, telle heure, telle étape. Maispour que l’Homme puisse en arriver à créersa vie, à programmer sa vie, au lieu quesa vie soit programmée par les forces del’âme, les forces astrales, pendant le cyclede l’évolution, il faut qu’il soit en connexionavec sa propre énergie ; il faut qu’il soitlié avec sa lumière, il faut qu’il soitdans sa lumière, c’est ça la nouvelle évolution.
FP : Alors ces forces, à ce niveau-là, leslois de probabilité, c’est tout ce qu’onne connaît pas par définition ?
BdM : Les lois de probabilité sont l’expression,dans le monde de l’Homme, d’une vitalitéqui est planétaire, qui n’est pas sous soncontrôle… FIN
mise à jour le 16/06/2024