“Le développement du Moi et son maintien, dans un état d’équilibre permanent, requiert un ego mentalement libre, c’est-à-dire en plein contrôle de la qualité de ses pensées. Lorsqu’un tel contrôle a été atteint, l’ego devient conscient du Moi et bénéficie créativement du contact de la pensée avec les plans du mental à partir desquels le double, ou le principe cosmique s’actualise à travers le Moi conscient, ou le centre de l’âme vers le bas, par l’ego transparent ou la personne réelle, par opposition à la personnalité.” BdM
PAR-DELÀ LE MENTAL
Ch.14 – L’ego
En Français vous lisez la traduction professionnelle du texte anglais de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette traduction, donc le résultat est à interpréter avec discernement.
L’ego peut être qualifié de sommation de toutes les attitudes psychologiques qui entravent son expérience multidimensionnelle. Il se nourrit d’impressions servant au développement de la personnalité inconsciente et qui l’affaiblissent ou la renforcent, selon le statut évolutif de l’âme, dont il capte l’énergie psychique. Il est contaminé de pensées infiltrées astralement à partir du plan de l’âme, dans un mouvement descendant depuis les circuits du mental. La mémoire de l’âme infuse la personnalité de courants d’énergie qui la confinent à une expression diminuée du mental créatif, et prive le Moi de l’éveil à un contact conscient de la pensée avec des sources d’intelligence, dont le rôle est de forger l’unité de l’ego, de l’âme et de l’esprit, afin de mettre un terme au cycle de l’incarnation. L’ego inconscient ne participe pas à la réelle nature de sa conscience. Il exprime une conscience de soi réduite, qui se voit sacrifiée aux opérations mécaniques de la conscience subjective qui façonne la personnalité.
La personnalité est l’accumulation totale d’impressions marquant l’expérience égoïque. Elle confronte le Moi à de fausses prémisses portant sur la réalité de son expérience et le refoule vers un état d’esprit ne lui permettant pas de porter assistance consciemment à l’union de l’ego, de l’âme et de l’esprit. L’ego ne peut facilement entrevoir la nature occulte de la réalité du Moi, et encore moins celle de son lien causal, ou du principe de son Moi supérieur. Parce que sa conscience est voilée, l’ego opère à travers une mémoire stéréotypée qui réprime la personne, ou le Moi réel au profit de sa personnalité ou identité fictive, maintenue par le processus réfléchi de l’ego.
La conscience est née des couches internes de la réalité du Moi. Elle amoindrit les impressions réflectives de l’ego, selon des proportions relatives à sa réalisation objective, au cours de l’expérience de la vie. Elle n’est guère de nature égocentrique mais plutôt fluide, pouvant participer au processus créatif issu des plans mentaux, qui sécurisent le lien entre l’esprit, ou source de la pensée, l’âme, ou le système mémoriel, et le niveau intellectuel, où divers degrés de réflexion sont vécus par l’ego. La conscience est un état d’être qui s’accroît proportionnellement à la non interférence de l’ego avec la pulsation créative du mental supérieur, ou du plan mental d’où elle puise les plus hautes vibrations de la pensée. Lorsque l’ego porte une réflexion subjective sur sa réalité interne, il perd l’avantage d’une compréhension de la mécanique de la conscience et devient de plus en plus isolé de son Moi intérieur. Une dichotomie se crée dans la conscience à travers des habitudes de pensée et, par conséquent, leurs actions.
Alors que l’ego épouse les contours d’une conscience correspondant peu à la réalité du Moi, il ne peut être imprégné d’une résonance mentale supérieure pouvant accroître le niveau d’éveil et permettre que la radiation de formes créatives de la pensée puisse élever le Moi et libérer l’ego de la réflexion subjective qui brouille son état mental. L’ego est une résultante du lien Moi-âme 3. Lorsque le Moi supérieur est adjoint au lien par la compréhension des lois de la conscience, une puissance créative émane [alors] de l’être entier, entamant son rôle dans l’évolution de l’homme et de son monde.
Jusqu’à ce que le Moi ait vu au travers des habitudes égocentriques qui minent sa réalité, l’ego ne peut accéder à l’état d’esprit nécessaire à la pleine compréhension de la vie et à l’acquisition d’une paix d’esprit permanente, le parfait équilibre entre l’énergie émotionnelle et mentale qui compose la réalité d’une personne.
La personnalité masque le Moi et les illusions de l’ego. Alors que le Moi s’éveille, la personnalité cède de plus en plus de place au développement de la personne, actualisé par un ego transparent et un Moi plus actif. Avec le développement d’une conscience supramentale, la véritable personne commence à transparaître. Une tendance plus permanente dans le processus de croissance de l’être entier se fait sentir, soulageant l’ego des gymnastiques du passé et lui permettant d’acquérir enfin de plus en plus de certitude envers le nouvel état d’esprit qui évolue à travers une conscience élevée des illusions ayant constitué son image miroir. La personnalité est fort intéressante en ce qu’elle off re à l’ego la marge de manœuvre nécessaire à ce qu’il puisse se mesurer à d’autres egos par l’assertion de ses propres illusions. La personnalité est l’image que requiert l’ego dans le monde lorsqu’il traite avec des ennemis ou amis. Il s’agit d’une fausse assurance à laquelle l’ego confie sa sécurité, puisqu’elle est constituée des reflets égocentriques de l’intellect qui aident à entretenir l’image qu’il se fait de soi.
La psyché est façonnée, à un degré avancé, par son lien avec le plan astral. En raison de notre ignorance des lois astrales et de leurs imperfections, nous sommes victimes dans la recherche de notre réelle identité. Par le cours infini de la désinformation subtile et moins subtile qui assaillit notre mental, les entités jouissent de notre défaut de connaissance de soi et maintiennent un pouvoir non apparent mais affligeant sur nos psychés. L’identité ne peut jaillir que de notre éveil à la source de nos pensées, suivi de la désastralisation du processus de la pensée. Lorsque l’ego a atteint une réelle identité, il cesse d’être affecté par son énergie astrale ou celle des autres. L’âme doit être renouvelée dans son énergie si elle doit devenir libre de ses pensées astrales périphériques, ou égrégores. Ceci n’a lieu que lorsque les habitudes égocentriques de la pensée, formées au cours de la phase inconsciente du développement du mental, ont été éliminées.
L’ego inconscient est un facteur limitatif dans l’évolution vers la conscience. Il engage son potentiel pour combler des besoins qui offrent une mesure de sa force fictive ou faiblesse, selon le statut spirituel de l’âme. Il ne peut dominer les forces internes de l’âme à travers un Moi affaibli, dépourvu d’un éveil aux puissances à l’œuvre qui cherchent à le dominer par le lien astral, totalement occultées et pourtant constituant l’élément le plus important de la vie mentale inconsciente. Une condition si accablante est suffisante pour miner le plein développement de la conscience et de court-circuiter l’intelligence créative. Elle est la cause derrière l’ignorance fondamentale de la science de la vie et de l’expérience karmique qui nous confine à jamais à la souffrance existentielle. Le niveau de la conscience psychique de l’ego doit être élevé afin qu’il puisse être soutenu au cours de la période difficile où la conscience commence à signifier bien plus que ce qui apparaît à la surface. La mémoire est le seul soutien du savoir égoïque qui bénéficierait de la communication supramentale pré-personnelle avec des plans de vie intelligente et qui favoriserait l’éveil au lien commun unifiant l’ego à la source de la pensée.
L’ego fait usage de la mémoire pour soutenir son illusion de la compréhension de sa réalité expérientielle, laissant le Moi impuissant de par son isolement de sa source. Un mur d’opinions égocentriques rend l’accès à la réalité du mental impossible. Le Moi, en substance, est le centre de l’âme ; il est le centre même de son énergie, l’essence dont nous sommes faits. Lorsque l’âme se voit appesantie de trop de mémoires obstructives et inutiles, le Moi est incapable de canaliser les forces émanant de sphères supérieures qui tentent l’union avec lui afin que l’ego reçoive l’impulsion créative nécessaire à l’accomplissement d’un destin conscient.
La conscience peut être qualifiée de Moi psychique lorsqu’elle a délaissé l’égocentricité qui filtre les courants subtils de la pensée se déversant depuis les plans psychiques. Il est essentiel à l’équilibre psychologique de l’ego qu’il puisse éventuellement utiliser cette énergie mentale en vue de maîtriser la désinformation qui magnétise l’ego et qui accroît ses illusions spirituelles. Ceci est le dernier pont que nous devons franchir avant le contact avec les plans mentaux supérieurs du mental conscient. L’ego n’est guère familier avec la pensée consciente et a tendance à colorer son expérience en raison de sa naïveté spirituelle. L’univers est un vaste sous-terrain occulte de forces devant être contrôlées à travers un éveil pouvant prémunir contre les méandres naïfs d’une conscience emplie de désirs pour l’élévation spirituelle. L’homme est un être intelligent. Il doit être vigilant dans les affaires de ce monde, et encore plus dans celles de la psyché. La pensée psychique supplée la conscience humaine.
Elle est difficile d’accès, par défaut d’une compréhension des failles astrales du mental. Une fois éveillé à l’intelligence pré-personnelle, l’ego doit apprendre à traiter avec eux par une communication semblable à son expérience physique. Les forces à l’œuvre sur les plans psychiques doivent être maîtrisées. Jusqu’à ce que l’ego ait été éveillé à la conscience de son contact, il demeure un pion dans une joute cosmique, où les caprices de l’astral ont écarté l’humanité de la communication consciente pendant des millénaires.
L’ego conscient est une force en soi. Il perçoit une vision globale ayant l’habileté d’entrevoir la composition astrale de la conscience planétaire. Le problème que posent les courants de la spiritualité, autant modernes qu’anciens, réside dans ce fait que nous avons tendance à les prendre pour acquis alors qu’en fait elles représentent des formes subtiles de manipulation astrale ne pouvant être esquivées que par un éveil accru aux failles psychiques qui sous-tendent la construction des visions spirituelles. La conscience évolutionnaire contrecarrera le processus astral du mental. La collaboration avec les forces de la communication mentale intelligente constituera la base d’un équilibre créé par une lutte interne pour une réelle liberté. L’être passif spirituel, ignorant les lois astrales du mental, sera transformé.
Reprendre contrôle de son Moi psychique impliquera l’accroissement de son éveil aux lois qui gouvernent l’astralité spirituelle de sa conscience.
La conscience astrale n’appartient pas à la vie mais au monde de la mort. La conscience humaine doit être libérée d’une telle condition involutive afin d’accroître le libre partenariat créatif avec tous les plans de réalité d’où l’énergie est issue. Lorsque les manières et les moyens de la manipulation spirituelle ont été mis en lumière, l’ego commence à comprendre le Moi réel. Le développement du Moi et son maintien, dans un état d’équilibre permanent, requiert un ego mentalement libre, c’est-à-dire en plein contrôle de la qualité de ses pensées. Lorsqu’un tel contrôle a été atteint, l’ego devient conscient du Moi et bénéficie créativement du contact de la pensée avec les plans du mental à partir desquels le double, ou le principe cosmique s’actualise à travers le Moi conscient, ou le centre de l’âme vers le bas, par l’ego transparent ou la personne réelle, par opposition à la personnalité.
L’ego est une lentille à travers laquelle les pensées mentales ou astrales façonnent la conscience. Lorsque cette lentille a été suffisamment polie par la vie et par l’éveil aux pièges astraux qui accompagnent la pensée subjective, il développe une habileté accrue à percevoir les fi ns registres de l’intelligence pré-personnelle, libre de la manipulation astrale. L’intelligence pré-personnelle est l’essence du génie créatif et indique la qualité ultime du développement conscient de la pensée. L’ego objectif constitue la voie d’accès à la conscience créative lorsqu’il commence à réaliser la nature multidimensionnelle de la réalité du mental. Jusqu’à ce point, il n’est qu’une personnification de réactions subjectives, une addiction aux habitudes mécaniques de la pensée, une incapacité à différentier la pensée véritable de l’indulgence envers soi. La conscience objective de la pensée est fondamentale et révolutionnaire. Elle accroît le niveau d’éveil, bien au-delà de celui que connaît l’humanité actuelle.
L’évolution de la conscience est reliée à des facteurs pouvant être saisis par la maîtrise des forces astrales qui dominent une intelligence enracinée dans un sol émotif. L’ego, étant à la base une masse informe d’émotions et d’opinions, est la source de la duperie du Moi, jusqu’à ce que le choc de l’étendue de la programmation de l’âme ait été constaté. Il n’a jamais été un agent libre à travers une relation équilibrée avec les plans supérieurs, demeurant ainsi constamment affligé et plaintif dans une expérience de vie qui soutient les forces de l’âme et affame la conscience. L’âme, en tant que système énergétique, doit être déprogrammée à travers les perceptions de l’intelligence pré-personnelle portant sur l’ego. Jusqu’à ce qu’une telle vision ait été acquise, il est impossible que l’ego puisse atteindre la connaissance de soi et de sa source, n’ayant aucun contact avec une réalité englobante.
La communication mentale est un point de mire unique pour le développement compréhensif de l’ego. Une fois cet aspect de la réalité du Moi saisi, l’ego cesse de faire opposition à ses dynamiques créatives et à son objectivité psychique. Dans son inconscience, il n’est qu’un véhicule d’expression pour l’âme, cet esclave inutile du monde astral dont il est issu et auquel il retournera. L’âme est mémoire et l’ego inconscient est son canal. Lorsque l’ego devient conscient des lois occultes du mental, il cesse d’être esclave de l’âme.
Il commence à utiliser ses propres forces pour le développement d’un partenariat créatif avec les plans supérieurs du spectre invisible de l’intelligence. La destinée consciente réside dans l’évolution supérieure de sources psychiques, sinon latentes, correspondant à l’architecture du mental.
L’univers est peuplé d’intelligences qui se distinguent par leur niveau d’expérience par rapport à la nôtre, en raison de la qualité des mondes qu’ils habitent. Notre myopie rationnelle rend difficile le fait d’imaginer que la réalité soit autre que ce que nous croyons.
Or, nous nous permettons aisément de communiquer avec ces mondes interdimensionnels à travers la formulation mécanique de la prière. Si nous étions plus près de notre Moi réel, la prière se convertirait rapidement en une forme surannée de communication inconsciente substituée par un contact direct par le réseau psychique de la communication. Nous serions introduits à la nature intelligente de la réalité de l’univers. Tout le fondement de l’expérience de vie subjective est relié à l’incapacité qu’éprouve l’ego à extraire une forme de communication supérieure de son expérience mentale, un savoir qui coexiste avec les fonctions mentales inférieures, ou de l’intellect.
L’ego en soi ne pose pas problème car il ne représente qu’une part du développement psychique de la conscience. Il devient une entrave lorsqu’il y a réflexion portant sur des données psychologiques, ce qui forme les illusions du fondement de la personnalité plutôt que d’objectiver le cours pré-personnel de la pensée qui jaillit de la relation créative avec des forces qui soutiennent la réalité, au-delà de l’expérience psychologique.
La suprématie de l’évolution psychique sur l’expérience psychologique se trouve dans sa nature multidimensionnelle.
L’évolution psychique est la prochaine étape du développement de la conscience égoïque. On ne peut vivre indéfiniment dans l’absence d’une conscience fermement enracinée dans le mental. Il ne s’agit guère d’une question de choix mais de nécessité évolutive. La vie est, à la base, un processus infini de développement de la part physique et subséquemment psychique de la nature humaine. Elle devient psychique à la jonction de la matière génétique avec la conscience cellulaire. L’ego subjectif est temporairement déficitaire du lien naturel entre ces deux strates de force vitale en développement. La psyché est la sommation des forces qui alimentent et maintiennent l’harmonie entre la matière génétique et la conscience cellulaire.
Lorsque cette harmonie est détruite pour des motifs soit karmiques ou accidentels, elle cesse d’opérer à l’aide d’énergie provenant des plans supérieurs. La conscience astrale prend alors le dessus et interrompt la ligne de vie reliant l’ego à la réalité.
La science supramentale de l’ego est créative et utile lorsqu’elle accentue l’éveil du Moi et de sa conscience sous-jacente. Elle peut être appliquée à partir d’un point d’observation ne pouvant être coloré, car elle démontre le rapport de forces psychiques actualisées de manière à manipuler selon le degré de maturité de l’ego. A titre d’outil créatif pour l’investigation interne, elle prend en considération non seulement la contrepartie humaine mais aussi sa contrepartie astrale, tel que révélée par le pouvoir de l’âme sur l’ego, dans les phases inconscientes de l’expérience de vie. L’incapacité d’entrer en relation consciente avec des plans d’intelligence supérieure, dont le rôle est de véhiculer l’énergie à travers le mental avec toujours plus d’efficacité,
crée l’expérience du doute et de l’incertitude, limitant la conscience de la vie à des bases primitives. Ceux-là même qui jouissent d’une certaine liberté de leur personnalité subjective, à travers un contact psychique avec d’autres plans, ne comprennent pas les lois des ces plans. Ils sont influencées de manière telle à ébranler leur fascination s’il prenaient conscience des pièges qui correspondent à l’étendue de la naïveté que connaît tout être psychique qui persiste à traiter avec des forces, sans mettre en cause leur origine ou leur lumière.
L’Homme nouveau défiera toutes les forces qui se dressent au-dessus de lui dans les sphères psychiques, et portera son ego à un état de transparence qui le séparera nettement de la conscience de la masse. Le prix à payer sera grand, car il n’a jamais fait l’expérience de ce qui lui appartient, c’est-à-dire la liberté créative totale du mental.
Celle-ci ne lui sera donnée que lorsqu’il s’en sera lui-même emparé.
Il y a moins d’amour dans le monde invisible que nous n’aimerions le croire, de par notre nature spirituelle émotionnelle et naïve. Nous ne pouvons imaginer à quel point la réalité est fondée sur le pouvoir et la conscience humaine est loin d’en comprendre les lois. L’univers ne partage pas, à parts égales, les idéaux spirituels humains. Les forces psychiques qui sous-tendent l’activé mentale humaine sont beaucoup plus astrales que nous n’avons été amenés à croire, et le rôle futur de l’humanité dans l’évolution du mental sera de restaurer son ordre naturel. Ceci requerra un degré minimal d’intelligence objective créative, qui ne peut être obtenu que par la dissolution du lien émotif avec la spiritualité. Jusqu’à ce que la spiritualité ait été libérée de l’émotion et comprise intelligemment, elle demeurera le plus puissant outil astral sur Terre. Le regain du plein contrôle de la pensée consciente et de la liberté créative implique que soient rompus les liens entre le plan de la mort et le Moi réel.
La réalité humaine ne peut être divisée indéfiniment. Si nous devons accéder à notre partenariat créatif avec des plans d’énergie qui constituent notre entière réalité, à titre d’êtres évolutionnaires, nous ne pouvons renier un savoir appartenant à une ère nouvelle. Nous sommes complets en nous-mêmes mais partiels en dépit de nous-mêmes. Nous ne pouvons retrouver le plein usage de nos facultés que par la réévaluation des habitudes de la pensée, qui ont forgé une personnalité se révélant inconvenante à notre identité unique.
mise à jour le 25/03/2024