RG-01 De l’Univers et de l’Homme
“BdM : Le mental est une dimension cosmique, c’est un mental très personnel qui ajuste les pensées humaines. Maintenant, l’Homme pour le moment est incapable – parce que le cycle de cette évolution n’est pas commencé – d’organiser son matériel psychologique par lui-même. Lorsque ce travail sera fait, son cerveau, …”
En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.
la première vidéo de Bernard de Montréal, par Richard Glenn en 1977
Bernard de Montréal (BdM) : Le mental est une dimension cosmique, c’est un mental très personnel qui ajuste les pensées humaines. Maintenant, l’Homme pour le moment est incapable – parce que le cycle de cette évolution n’est pas commencé – d’organiser son matériel psychologique par lui-même. Lorsque ce travail sera fait, son cerveau, les cellules de son cerveau seront changées de ton, c’est-à-dire que l’Homme pourra entendre des sons au niveau de son cerveau et aussi pourra voir la lumière du supramental par sa vue physique et ceci lui donnera la possibilité d’entrer en contact physique avec le supramental.
Richard Glenn (RG) : Les extraterrestres, est-ce qu’ils sont dans le supramental ?
BdM : Les extraterrestres font partie de la division créative du supramental, il n’y a aucune différence entre l’Homme et les extraterrestres. L’Homme est un être en évolution sur une planète physique, les extraterrestres sont des êtres en évolution sur d’autres planètes physiques mais aussi sur des plans invisibles. Ce qui fait la confusion concernant les extraterrestres, c’est que l’Homme aujourd’hui ne connaît pas la nature de l’infinité.
Lorsque les changements vibratoires au niveau de son cerveau seront faits, l’Homme pourra comprendre exactement la dimension psychologique des extraterrestres comme l’Homme connaît la dimension psychologique de l’Homme. Et c’est à ce moment-là qu’on entre dans la confrontation des idées cosmiques. Les idées cosmiques sont pluralistiques dans ce sens qu’elles viennent de différents plans et qu’elles affectent l’Homme sur le plan vibratoire de son intelligence.
L’Homme naturellement ayant un intellect qui est conditionné par son corps astral, qui est le véhicule lui permettant d’avoir contact avec la forme matérielle, ne peut pas facilement engendrer les ondes nécessaires pour comprendre la pensée interne de son atome mental. Et à cause de ça, il lui devient presque impossible de pouvoir juger avec ce qu’on appellerait “concurrence”, la validité de tout ce qui provient du cosmos.
Je vous donne un exemple. Si une civilisation supérieure entre en contact physique avec l’Homme, par vibration ils transmutent – eux – le psychisme collectif humain qui est individualisé, dans les neurones de l’Homme qui sont directement attachés à sa mémoire cosmique dont il n’a aucune prise de conscience, et ils peuvent facilement créer dans son mental inférieur des modèles de temps qui deviennent pour lui de la connaissance.
La connaissance est une illusion, l’Homme ne peut pas comprendre ça encore parce que l’Homme pense. Tant que l’Homme pense, il est sujet aux influences de ces modèles de temps, et il ne peut pas lui-même travailler avec ces modèles de temps. Quand je dis que la connaissance est une illusion, je ne dis pas que la connaissance n’a pas une valeur psychologique sur le plan humain. Par exemple, on a sur la Terre la science physique.
Dans le fond de la réalité psychologique universelle, il n’y a pas de science sur la Terre encore. Il y a une forme de science et cette forme de science provient du fait que l’Homme, à cause de son corps astral et à cause de sa faculté de penser, qui est une vibration inférieure au supramental, peut facilement corriger les erreurs de la nature et éventuellement arriver à des conclusions pour une projection supérieure de ce développement-là. C’est ça qui a permis le développement de la science.
Dans le vingt-et-unième siècle, l’Homme n’aura pas à étudier pour connaître, il se servira de son cerveau éthérique et ce cerveau éthérique là commandera directement au cerveau physique, et c’est de là que la science viendra sur la planète. Maintenant, c’est évident que les extraterrestres sont en avance sur l’Homme depuis des milliers d’années, parce qu’ils ont compris depuis longtemps la nature même de la connaissance.
Si les extraterrestres communiquent par télépathie, ce n’est pas pour rien. Quand on communique par télépathie, on ne communique pas des idées, on communique de l’énergie. L’énergie elle, éventuellement, devient programmée, et elle sert d’enregistrement dans le corps mental inférieur. Tant que l’Homme ne peut pas communiquer par télépathie, il est incapable de communiquer la nature même de la réalité, parce que la nature de la réalité se cache derrière la forme.
La forme est une collusion d’idées, la forme est une programmation d’idées, et elle sert simplement à permettre le début d’une évolution cérébrale chez les planètes ou dans les planètes, afin d’éventuellement amener les êtres en évolution à la connaissance de l’infinité. Autrement dit, je dirais que la forme et l’infinité sont frère et sœur. Si je parle d’infinité, je ne parle pas de symbole, je parle d’un état d’esprit, parce que l’infinité c’est un état d’esprit, mais dans lequel tous les aspects de l’Homme, tous les niveaux de sa conscience jusqu’au supramental, sont actifs.
Les mathématiciens aujourd’hui ont développé le concept de l’infinité, le symbole de l’infinité parce que ce concept-là devenait nécessaire pour eux, afin de projeter ce qu’ils connaissaient vers une dimension qu’ils ne pouvaient pas reconnaître. Alors ils ont développé ce symbole-là et c’est un symbole extrêmement important en sciences ou en mathématiques. Mais au niveau de la science cosmique, au niveau des forces de la lumière, l’infinité n’est plus une projection mentale ou un symbole, l’infinité devient un pouvoir de déplacement.
Le déplacement dans le cosmos se fait de plusieurs façons. Si on part du niveau le plus élevé qui serait le niveau du supramental, le déplacement se fait par la lumière. Si on part du niveau physique extraterrestre, le déplacement se fait par la conjonction de la lumière avec le mental organisé de ces êtres, c’est-à-dire que s’ils ont besoin de se déplacer, ils créent une forme qu’on appelle nous : “une soucoupe volante”, et ils organisent cette forme suivant la programmation cosmique de leur entendement – parce que les extraterrestres, autant ils sont variés, autant ils ont de soucoupes volantes différentes – et ça c’est normal parce que dans la nature il y a de l’ordre. Sur les plans inférieurs il y a du désordre, mais le désordre provient simplement du fait que l’Homme ne peut pas créer l’ordre.
Et dans le cosmos, lorsque les extraterrestres ont besoin de se déplacer d’une planète à une autre, ils n’ont pas besoin de passer par l’espace. La plus grande erreur scientifique du vingtième siècle, c’est de croire que l’espace est nécessaire pour véhiculer des formes et aussi pour engendrer le mouvement. En science, on croit que le mouvement, c’est la relativité en relation avec un élément de temps de la forme qui se déplace, ce n’est pas ça.
Le mouvement c’est une illusion, et dans le cosmos il n’y a pas de mouvement, il y a simplement une vibration et c’est cette vibration qui crée ce qu’on appelle le mouvement. Pour percevoir le mouvement il faut avoir certains corps, alors suivant qu’on a tel corps ou tel corps, on a du mouvement. Si on change de niveau vibratoire, on change de corps, et ce qu’on appellerait le mouvement sur un plan inférieur devient sur l’autre plan une instantanéité.
Alors pour répondre à la question d’un certain nombre de scientifiques : Comment est-ce possible que des extraterrestres partent d’une planète qui est à des millions d’années lumière et qu’ils viennent ici ? La réponse elle est très simple : C’est qu’ils ne se servent pas de l’espace pour voyager. Lorsque les scientifiques auront compris ça, à ce moment-là ils auront compris la science, ils seront dans la science, et ce que l’on parle aujourd’hui deviendra simplement une antiquité.
RG : Ils se servent finalement du temps ?
BdM : Ils voyagent dans le temps, mais quand je dis dans le temps, je dois l’expliquer en relation avec la connaissance qui est dépassée, c’est-à-dire que tous les concepts humains, quels que soient ces concepts, sont sujets au conditionnement humain. Si je demande par exemple, si je demande à quelqu’un qu’est-ce que c’est de l’espace, qu’est-ce que c’est du temps, qu’est-ce que c’est la gravité, on va me répondre en relation avec les données que l’on a au niveau de l’expérience humaine.
Mais le temps dans le cosmos, ce n’est pas la même chose, et l’espace dans le cosmos, ce n’est pas la même chose. L’espace, cosmiquement, c’est un engendrement instantané de la vie, l’espace c’est une limite imposée par la vie pour contenir la forme. Le temps dans le cosmos, c’est une réorganisation aussi instantanée de la matière supramentale à travers les différentes vibrations lumineuses. C’est pour ça que dans la science extraterrestre, on se sert du temps pour voyager, on se sert de l’énergie de la lumière à l’intérieur du temps pour créer les formes nécessaires au déplacement, et on se sert de l’espace pour matérialiser la forme, on se sert de l’espace.
RG : Pour limiter la forme ?
BdM : Ben oui, parce que si on ne limite pas la forme, à ce moment-là il y a le conflit entre l’invisibilité et la matière, et ce serait absolument impossible à ces êtres-là de venir sur le plan ici.
RG : Lorsqu’on parle de la quatrième dimension, est-ce que c’est en référence avec ce que vous nous dites ?
BdM : La quatrième dimension, c’est une intuition intellectuelle humaine qui permet à l’Homme de réaliser qu’il y a quelque chose d’autre en dehors des trois dimensions de l’espace. La quatrième dimension, elle est valable en tant que concept et elle existe en tant que réalité, mais elle n’est pas compréhensible au niveau humain parce que l’Homme pense.
Pour comprendre la quatrième dimension qui est d’ailleurs directement liée à l’infinité, il faut être dans un état de réception vibratoire au niveau du cerveau, de telle sorte que le cerveau sert à ce moment-là à véhiculer l’énergie nécessaire pour comprendre les relations qui existent dans ces dimensions entre la conscience pure et la créativité qui doit prendre place. Autrement dit, la quatrième dimension c’est une infinité de possibilités mais qui sont instantanément arrêtées pour permettre une concrétisation de l’expérience.
Le problème de l’Homme aujourd’hui, je dis “problème” dans ce sens que l’Homme ne peut pas encore voir ou comprendre, c’est que tout ce qui existe en dehors de la conscience humaine, quand je dis “la conscience humaine”, je dis de la conscience intellectuelle de l’Homme, tout ce qui existe en dehors de cette conscience ne peut lui parvenir que par intuition. Mais on ne peut rien faire avec l‘intuition parce que l’intuition elle est trop lente, l’intuition n’est pas assez compacte, et la raison pour laquelle elle n’est pas assez compacte, c’est parce que le corps mental humain n’est pas en harmonie vibratoire totale avec le supramental qui est la conscience universelle, qui est ce que les gens appellent la conscience cosmique.
C’est très facile à l’Homme de se buter sans le savoir et avec de bonnes intentions, à l’influence des mots. Tant que l’Homme se sert de mots pour comprendre, il ne peut pas comprendre parce qu’il n’y a rien à comprendre. Tout est là, il s’agit simplement de recevoir par vibration l’énergie nécessaire pour manifester ce qui doit être manifesté.
RG : Vous aborderiez dans le sens : il faut savoir et non chercher à apprendre et à comprendre, et à analyser et à étudier, il faut savoir les choses ?
BdM : C’est-à-dire je ne peux pas dire “il faut”, parce qu’il y a l’évolution, il y a des êtres sur la Terre, il y a des êtres qui cherchent. Ça, ça fait partie de leur niveau vibratoire, c’est normal qu’ils cherchent. Mais ils viendront ces êtres, un jour, à réaliser que lorsqu’ils auront réalisé, ils auront cessé de chercher. Parce que chercher, ça fait partie d’une attitude mentale humaine, c’est normal, c’est très bon. Les êtres qui cherchent éventuellement trouveront, c’est ça qu’on dit, et c’est juste.
Mais ce que j’avance, c’est que les êtres qui cherchent devront éventuellement réaliser qu’il n’y a rien à trouver. TOUT EST LÀ. Tout est là et on ne peut pas forcer le supramental, le cosmique, à descendre dans l’Homme, parce que si on forçait, on se détruirait automatiquement. Si un Homme est programmé pour entrer en vibration harmonique avec ces forces dans cette vie, ça se produit. C’est automatique. Au début, il souffrira certainement parce qu’il y a tout le problème de la confrontation entre l’esprit humain et le cosmique, mais éventuellement ça se stabilise et ça se normalise. Alors c’est très normal que ces êtres-là cherchent… RG : D’où vient ce mystère qu’on entretient presque avec les extraterrestres, au sujet des extraterrestres ?
BdM : Il y a plusieurs raisons. D’abord cosmiquement, ce n’est pas le temps, il y a des efforts qui sont faits plutôt localisés, mais sur le plan planétaire, sur le plan international, ce n’est pas le temps parce que les lois cosmiques dictent que les Hommes ne doivent pas être influencés. Alors la chose la plus importante que je peux dire dans cette conversation, c’est que les Hommes ne doivent pas être influencés. Les Hommes doivent réaliser en eux le cosmique et travailler avec le cosmique.
Tant qu’ils ne sont pas arrivés au niveau où ils puissent faire cela, ils sont en état de danger, parce que ces êtres, les extraterrestres, comme vous les appelez, ont un pouvoir vibratoire qui est trop puissant. Et automatiquement l’Homme deviendrait esclave, même l’Homme du vingtième siècle deviendrait esclave de leur science, de leurs connaissances et de leur relation avec la planète. Alors s’il y a contact avec les extraterrestres, ça fait partie d’abord de l’expérience de l’individu, mais aussi ça fait partie de l’expérience de la planète Terre.
RG : Et pourtant il y a des contactés ?
BdM : Oui, il y a des contactés et ces contactés remplissent un rôle important. Le problème, lorsque l’on discute au niveau du supramental, c’est qu’on est obligé constamment de réajuster l’absolu avec le relatif. Le relatif c’est ce qui se passe, les contactés, ceux qui ont contact avec les extraterrestres. Et l’absolu c’est la dimension cosmique imposée sur la conscience humaine pour pouvoir avec discernement réaliser la valeur intrinsèque de ces contacts.
Il y a plusieurs personnes qui sont contactées et il y en a qui sont connues publiquement et elles font un travail. Parce que cosmiquement, on ne peut pas juger. Juger c’est humain, juger c’est astral, juger c’est incomplet, juger c’est en dehors des lois cosmiques, mais c’est difficile de ne pas juger quand on on est humain, quand on pense ! Parce qu’automatiquement on est sujet aux lois de polarité, l’émotion et le mental. Ce qui crée chez l’Homme l’insuffisance psychologique et vibratoire, c’est le fait que ses émotions et son mental sont mélangés, il n’y a pas de séparation, un corps empiète sur l’autre. C’est pour ça que l’Homme juge.
RG: Maintenant, ces contactés reçoivent un enseignement, reçoivent des révélations, et pour quelles raisons n’ont-ils pas plus d’influence sur l’évolution de la société ?
BdM : Parce que, d’abord il y a quatre réponses à ça. La première réponse c’est celle-ci, c’est que lorsque ces gens sont contactés, ils sont contactés pour faire un travail en particulier, à une certaine échelle. Deuxièmement, pour influencer, pour avoir une influence au niveau de la société, c’est l’influence qui dicte, seulement les influences se vitalisent au niveau des contacts qui sont déjà sympathiques à ces idées-là. Autrement dit, si vous prenez un grain et que vous le mettez sur la pierre, il ne va pas pousser, mais si vous le mettez dans la terre il poussera. Alors ces contacts permettent d’influencer un certain nombre de personnes qui sont déjà sensibilisées par vibration à cette réalité.
Troisièmement, aucun Homme ne peut changer la destinée d’une civilisation à moins qu’il soit lui-même cosmique. Et quatrièmement, lorsque cet Homme viendra, s’il doit venir, il sera reconnu automatiquement, parce qu’automatiquement il transcendera tout ce qui est humain.
RG : Le Christ ?
BdM : Bon, ce que vous appelez le Christ, le Christ fait partie de la hiérarchie, il est le maître de la Galaxie, il est l’être le plus complet dans la galaxie, mais il y a derrière le mot “Christ” des mystères que même les initiés ne comprennent pas. Parce que pour révéler la dimension du Christ, il faut automatiquement entrer en contact avec le mental christique, et le mental christique c’est une puissance vibratoire qui détruit automatiquement, sur le plan humain, l’émotionnalité renversée par toutes les forces lunaires.
Si les gens entraient en contact avec le mental christique, automatiquement ils seraient transformés, simplement par vibration, parce que le Christ représente les forces de vie, il représente la relation entre le feu cosmique et le feu interne de la Galaxie. Il représente les quatre coins cardinaux vibratoirement organisés de telle sorte qu’il pulse en même temps en relation avec l’univers central. Le Christ c’est un mot, mais aucun Homme ne peut en conscience cosmique prononcer “le Christ” sur le plan physique – prononcer le mot “Christ” sur le plan physique – parce que le mot “Christ”, c’est une vibration, c’est une énergie. Et l’Homme n’a pas la capacité encore de se servir de ce mot-là.
RG : Voulez-vous dire que c’est presque un mantra ?
BdM : C’est un mantra évidemment, il devient un mantra. Parce que le mantra en lui-même n’existe pas, ce qu’on appelle le mantra, c’est une créativité, c’est une création, c’est une faculté. Alors si un Homme, dans un état de vibration supramentale, à l’extérieur de son corps physique, se sert de ce mantra, comme vous dites, à ce moment-là il active sur le plan humain des forces qu’il doit contrôler, parce qu’on est responsable de ce qu’on amène d’en haut.
Alors les individus qui fonctionnent à ce niveau-là doivent automatiquement prendre la responsabilité de leur créativité, parce que l’Homme est créatif, l’Homme fait partie de la hiérarchie, et dans les siècles qui vont venir, et à partir du vingt-et-unième siècle, l’Homme travaillera étroitement avec la hiérarchie sur le plan visuel et sur le plan de l’oreille. Autant il a de la facilité aujourd’hui à voir l’Homme physique, autant il aura la facilité de voir la hiérarchie et de travailler avec eux.
RG : Est-ce que les extraterrestres dont on parle se situent sur un plan qui est le même que celui qu’on appelle les anges ?
BdM : La fameuse théorie des anges… RG : Les purs esprits… BdM : Oui les purs esprits, ce sont des mots, ce sont des mots qui ont été donnés à l’Homme pour s’identifier émotionnellement avec une dimension infinie. Tous les mots sont des mots, tous les mots sont des mots, et tous les mots sont des illusions. Et tous les mots sont des formes et c’est derrière la forme que se cache le mystère, parce que le mystère dans le cosmos, ça n’existe pas. C’est une illusion des mots que le mystère existe.
Alors, si on parle des anges, si on parle des archanges, de ces concepts qui ont été révélés par intuition à l’Homme, même en relation avec des manifestations matérielles, le mot lui-même ne sert qu’à véhiculer une impression, mais ne sert pas à donner la connaissance parce que la connaissance n’est pas dans les mots. La connaissance c’est de l’énergie.
RG : Maintenant, est-ce qu’on pourra entrevoir un jour où les extraterrestres viendront agir sur le destin de l’Homme par l’Homme, en utilisant l’Homme ?
BdM : Les extraterrestres, pour remplir le plan cosmique de l’évolution planétaire, doivent travailler avec l’Homme, ils n’ont pas le droit de venir ici avant le temps, et ils n’ont pas le droit d’aider l’Homme avant que ce soit le temps. Et lorsque ce temps sera venu, il y aura un nombre d’individus sur la Terre qui auront été initiés au supramental pour travailler avec les extraterrestres sur le même plan qu’eux.
L’Homme doit être responsable de son évolution. L’Homme doit dominer l’orientation de ses facultés, l’Homme doit être capable de dicter sur une base de deux-mille ans, trois-mille ans, ce qui se passera. L’Homme doit être capable de créer l’énergie nécessaire et le programme de temps nécessaire pour travailler avec les extraterrestres, parce que dans le cosmos, tout est UN.
D’accord, il y a la hiérarchie, ce qu’on appelle la hiérarchie dans les textes ésotériques, mais qu’est-ce que ça veut dire la hiérarchie ? La hiérarchie veut dire qu’il y a de l’intelligence située dans différents temps et ces intelligences situées dans différents temps ont différentes fonctions, mais sur le plan de la personnalité il n’y a pas de vitesse, aucune.
RG : Vous parlez exactement comme XX, comme XX ou comme tant d’autres qui ont eu des contacts, j’aimerais vous demander ce que vous pensez parce que le public se pose encore des questions sur le cas XX, et est-ce que vous auriez une opinion à émettre ?
BdM : Tous les individus qui ont été contactés d’une façon ou d’une autre sont en relation avec un niveau de vibration. Ce niveau de vibration détermine jusqu’où ils peuvent aller dans leur influence. Pour distribuer sur le plan physique une information quelconque qui est liée aux archives, ça nécessite automatiquement une transmutation de la personnalité humaine, c’est-à-dire que le côté humain doit être amené à un état éventuel de prépersonnalisation. Et à ce moment-là, que ce soit XX ou que ce soit XX, tous ces individus-là ont une fonction messagère à faire, et ils la remplissent suivant leur capacité vibratoire. Et moi je ne peux pas d’aucune façon situer un Homme par rapport à un autre.
RG : Vous ne pouvez pas ?
BdM : Non, je ne peux pas, parce que juger c’est une illusion pour moi, et c’est une incapacité vibratoire, et juger retarde l’évolution, parce que chaque Homme remplit un rôle. Mais sur le plan humain, il s’agit de mettre entre parenthèses des aspects de l’évolution qui doivent être compris, pour que l’Homme ou les individus qui se spiritualisent ou qui avancent vers une destinée quelconque, mais qui n’ont pas encore le discernement, puissent dépasser les obstacles subjectifs, psychologiques, de certaines révélations.
XX dans le cas présent, c’est peut-être un cas particulier de ça. Ce que XX dit, ce qu’il révèle au public a une importance capitale. Comment l’individu dans le public réagit à XX, ça c’est une autre chose. C’est à ce point-là que j’assouplis mes activités. Autrement dit, il y a plusieurs façons de réagir ou de comprendre ou de voir ce qui peut être révélé par un type comme XX. Mais il y a seulement un état qui doit être développé pour pouvoir agir en relation avec ça d’une façon totalement prépersonnelle. Sans ça, il y a un bouleversement qui se produit. Il y a des esprits humains qui ne sont pas prêts à entendre XX, il y a des esprits humains qui sont prêts à l’entendre, il y a des esprits humains qui ont dépassé XX. Alors ça dépend où on se situe.
Le problème présentement avec l’ésotérisme, disons je situe l’ésotérisme au Québec, malgré que c’est la même situation dans le monde, c’est que les gens croient que c’est dans l’ésotérisme que se loge la vérité, et ça c’est une illusion. L’ésotérisme, c’est simplement un aspect de la réalité manifesté sur un plan quelconque pour que cette connaissance puisse être absorbée par le psychisme humain. L’Homme éventuellement saura et quand on sait, on sait. ET QUAND ON SAIT, ON SAIT. Ça ne se discute pas “savoir”, parce que c’est un état.
RG : Quel est maintenant votre rôle ?
BdM : Parler de rôle, c’est… RG : Bernard n’est quand même pas connu par la population en général et pourtant vous agissez sur l’Homme, sur les couches cachées, occultes… BdM : Oui, pour moi c’est plus facile parce que d’abord je dois me situer à ce niveau-là; et c’est plus facile parce que je rencontre moins d’interférences intellectuelles. Lorsque certains individus… D’abord le hasard n’existe pas, tout est connu. S’il devient nécessaire que je rencontre telle personne ou telle personne, je les rencontre, je vous ai rencontré, on se rencontre, tout c’est UN, mais il y a le temps. Moi je travaille avec le temps, je peux attendre quinze ans pour un mouvement, et lorsque ce mouvement est fait, il en engendre d’autres.
Mais pour travailler d’une façon occulte, comme vous le dites, il faut être totalement prépersonnel, parce que si on est personnel, si on est subjectif, autrement dit si le moi fonctionne par lui-même au lieu de fonctionner avec le moi cosmique, à ce moment-là on a de la tension, on fait de l’anxiété, on a des dérives, on est pressé, on veut bouleverser. Il n’y a rien à bouleverser. Le mouvement se fait. Et je me situe sur le plan du travail, disons derrière les voiles, parce que je peux plus facilement travailler là, et aussi parce que je ne retarde pas le travail des autres. C’est très facile de retarder le travail d’un Homme, mais sur le plan cosmique c’est impossible, on n’a pas le droit.
RG : Recevoir des messages, est-ce que c’est devenu une fonction bénéfique dans votre vie de tous les jours ou est-ce que c’est devenu quelque chose de lourd, de pesant, une croix à porter ?
BdM : Dans mon cas, ce que vous appelez des messages, c’est un mot “les messages”, il y a une intégration du mental humain avec le mental supérieur, c’est simple, c’est une intégration, c’est une fusion, alors pour moi c’est une seconde nature, c’est normal.
RG : Ça peut se produire n’importe quand ?
BdM : C’est permanent, d’ailleurs je ne peux pas penser, je ne pense pas, j’ai toujours la tête vide. S’il se passe ce que vous appelez de la pensée en moi, c’est de la communication, on se parle, c’est simple. Et naturellement, lorsque le contact s’est fait en 69, ça a été très pénible sur le plan vibratoire parce que les corps sont bousculés, émotionnel, humain, le mental humain est bousculé, on perd la faculté de mémoire. La mémoire, ce qu’on doit savoir, ce qu’on doit dire, les mots ils viennent quand ils viennent, à part ça… RG : Quand c’est le temps ?
BdM : Mais oui, on ne peut plus étudier, on ne peut plus lire, on peut le faire mais c’est simplement pour une relaxation pour voir ce que l’autre dit, mais il n’y a plus de recherche. Autrement dit, la faculté normale de l’Homme, disons surtout au vingtième siècle où on a tendance à étudier, c’est éliminé. Alors c’est une permanence du supérieur dans l’inférieur, c’est une fusion et il y a un moment où il y a un équilibre qui se fait entre ces deux niveaux d’énergie là, et c’est là qu’on souffre. Tant que cet équilibre n’est pas totalement terminé, c’est difficile parce que ces énergies affectent tous les corps, elles affectent le corps mental, elles affectent le corps émotionnel, elles affectent le corps de vie, elles affectent le corps physique.
RG : Vous auriez pu refuser ce rôle ?
BdM : Non. Non parce que le choix, il est fait avant la naissance.
RG : Et que dire des astronautes, Mitchell et d’autres qui ont quand même été témoins de choses extraordinaires, disons sur la lune ou dans leur voyage, et qui eux quand même, se refusent à expliquer au grand public ce qu’ils savent maintenant ! Comment l’expliquer ?
BdM : Les astronautes… Il faut comprendre que les astronautes sont des individus qui ont été hautement développés en science contemporaine, intellectuelle, et leur expérience spatiale a créé chez eux un changement vibratoire du corps astral. Et ce changement vibratoire du corps astral a créé naturellement un changement vibratoire au niveau du corps mental. Et c’est normal qu’après l’expérience, ils soient revenus avec un changement de personnalité autant extérieure qu’intérieure.
Et si ces gens-là avaient été initiés directement par le supramental, à ce moment-là, ils seraient allés à la lune, ils seraient revenus, s’ils avaient vu des extraterrestres ou quoi que ce soit, ils auraient agi en relation avec le supramental parce que si on travaille… Moi je vous donne un exemple… Si je voyais une “soucoupe volante” comme vous les appelez, j’aurais soit la capacité ou l’incapacité de rendre mon expérience publique.
RG : Exactement, c’est ce qui se produit dans le cas de tous les contactés ?
BdM : Voilà !
RG : On n’a jamais de preuve tangible de leur contact ou très peu ?
BdM : Oui. Alors ces bonshommes-là, ces Américains, ce sont des grands bonshommes, ils ont fait beaucoup au niveau de la science matérielle.
RG : Mais ils ont même eu des contacts avec des “soucoupes volantes”.
BdM : Oui, très juste.
RG : Et pourtant, ils tiennent le tout caché. Relativement, disons il y a des fuites, de temps en temps.
BdM : Il y a des fuites, il y a des conditions psychologiques qui leur sont imposées au niveau du gouvernement, des choses comme ça, il y a des structures, ça c’est normal.
RG : Quittons les États-Unis pour revenir au Québec, le Québec est-il vraiment le centre actuel des esprits évolutifs de la planète, parce que c’est ce qu’on me dit, aussi bien de Russie que d’Europe, que d’Orient, que le Québec se trouve être présentement et d’ici quelques années, le centre d’attraction des forces cosmiques pour l‘évolution de l’Humanité ?
BdM : J’aimerais un jour faire une émission simplement sur le Québec, il y a énormément de choses à dire. Mais pour le moment, le plan politique, économique et scientifique du Québec, il est caché. Mais il sera révélé dans quelques années. Mais je puis dire une chose, c’est que le Québec deviendra la méga scientifique mondiale. Comme on a en Suisse, la Suisse c’est la méga de la finance, Québec deviendra le centre scientifique mondial.
Tous les changements qui se font présentement à Québec, au niveau politique, ce sont simplement des aspects extérieurs de ça, c’est une réorganisation pour donner à Québec une certaine identité. Mais la masse, même le gouvernement, ne réalise pas qu’éventuellement, le Québec aura une importance capitale dans l’évolution des sciences et aussi dans la diffusion des connaissances scientifiques.
RG : Qui élèveront j’imagine, la conscience universelle ?
BdM : Oui, parce que tout ça va ensemble. Lorsqu’une planète reçoit la science, la conscience de la planète s’élève. C’est normal. Il y a des restrictions, je n’ai pas la liberté de parler en public comme je pourrais discuter en privé concernant certaines choses, concernant le Québec, parce que les équilibres doivent être respectés, il ne faut pas bouleverser, il ne faut pas être réactionnaire, il ne faut pas être révolutionnaire, c’est une illusion.
Il faut respecter le domaine de l’Homme, il faut respecter les idées de l’Homme, il faut respecter les efforts de l’Homme, quel que soit son niveau de compréhension. C’est pour ça que je suis très très content, et d’ailleurs ça ne peut pas être autrement, de travailler dans l’ombre. C’est pour moi d’abord la plus grande sécurité, c’est pour l’Homme aussi la plus grande sécurité. Parce que l’Homme n’est pas prêt à être bouleversé et lorsqu’il y aura un bouleversement, des changements, autrement dit ce que l’on appelle la destruction des formes, ce sera fait à une échelle tellement grande qu’automatiquement la conscience humaine, la conscience planétaire sera élevée.
RG : L’intervention des… Disons le mot “extraterrestres” dans l’évolution politique de la planète, s’est manifestée à quelques occasions pour nous éviter même des guerres mondiales dans les années 69, 70, 73, et probablement encore bientôt. De quelle façon les gens qui désireraient avoir des informations de bonne source avec ces êtres “extraterrestres” peuvent-ils agir, peuvent-ils procéder ou qui contacter ou comment agir pour rétablir notre contact avec ces “extraterrestres” ?
BdM : L’aide que peuvent fournir les extraterrestres dans les cas de contingence, c’est une aide pour le moment qui est très très limitée. Ils peuvent se matérialiser dans un endroit quelconque, ils peuvent prêter main forte sur le plan vibratoire, c’est-à-dire qu’ils peuvent influencer les esprits, mais ça se situe à ce niveau-là. Les extraterrestres ne peuvent pas… Disons par exemple qu’il y aurait un conflit entre Israël et les Arabes, les extraterrestres ne peuvent pas arrêter ce conflit. Ce serait contre les lois cosmiques. S’il y avait un conflit entre les Russes et les Américains, ce serait la même chose, à moins que ce conflit dégénère à un tel point qu’il interfère directement avec notre propre évolution.
RG : Qui mette en péril l’humain ?
BdM : Qui mette en péril, quand je dis “en péril”, quand vous dites “en péril”, il faut comprendre. Le mot “péril” n’existe pas sur ces plans-là, mais ce qui se produit, c’est qu’il y a une interférence telle que ça peut retarder leur propre évolution, ça la retarde, ce n’est pas “en péril” dans le sens que ça peut les amener à une défection mais ça retarde leur évolution, et à ce moment-là ils doivent intervenir. Et en général, quand ces conditions existent, l’Homme est en proie à une telle anxiété que même au niveau inconscient il demande de l’aide par le truchement de la prière, c’est un exemple.
Quand l’Homme prie Dieu, il émet des vibrations, ces vibrations sont captées, je ne veux pas pour le moment entrer dans ce domaine, mais je peux dire que lorsqu’il y a chez l’Homme de la bonne volonté, il y a sur les autres plans une réception de ces vibrations. Et à ce moment-là, si la bonne volonté résulte d’une incapacité de souffrir plus d’une situation physique, là ils peuvent entrer en communication, et à une échelle très vaste, à une échelle mondiale.
RG : Les extraterrestres ont déjà soulagé des êtres humains de cancer… BdM : Oui.
RG : Les extraterrestres ont déjà retenu les gestes de destruction d’un individu qui voulait faire flamber la cervelle (??)… Et ils ont communiqué par Edgar Cayce, pour donner certains remèdes à certaines maladies. Les extraterrestres ont agi par l’intermédiaire de Yuri Geller et combien d’autres par lesquels les extraterrestres agissent, et quand lèverons-nous le voile sur cette forme de connivence entre certaines personnes privilégiées et la masse des gens qui ne reçoivent rien de particulier ?
BdM : Lorsque nous aurons la capacité vibratoire de voir dans l’Éther. Nous devons avoir la vision et l’ouïe. Le cerveau humain doit être changé vibratoirement et lorsque ceci sera fait, à ce moment-là nous les verrons, nous travaillerons avec eux sur un même pied d’égalité.
RG : Mais eux pourraient le faire ce changement, pourraient le provoquer, pour que l’être humain finalement ait cette vision ?
BdM : Oui, ils peuvent le provoquer, d’ailleurs c’est très normal qu’il y ait une certaine provocation lorsqu’ils contactent certaines personnes.
RG : Pourquoi ne le font-ils pas à l’échelle… BdM : Parce que le faire à l’échelle, ce serait interférer dans l’évolution, ce serait faire une ingérence. Les lois cosmiques dictent que les êtres en évolution, à cause de leur libre arbitre, asseyent leur rôle. Si l’Homme est inconscient et s’il agit avec inconscience, s’il fait de la tuerie ou quoi que ce soit, ça fait partie de l’expérience de l’Homme. Et les lois dictent que l’Homme doit passer par cette expérience pour permettre l’évolution de l’Homme.
Sans ça, ce serait naturellement plus rapide, il y aurait une évolution beaucoup plus grande mais les plans d’évolution sont… Ça, c’est un désir humain. Alors tout désir humain qui est positif engendre naturellement une sorte d’anxiété même si le désir est positif. D’ailleurs c’est justement pour ça… Il y a énormément de gens spirituels, sensibles qui souffrent, qui ont hâte que ça se passe, mais ça c’est de l’humain, c’est vivre dans le temps psychologique humain. C’est un désir, mais si ces gens-là étaient en confrontation avec d’autres niveaux, ils perdraient la carte.
On ne réalise pas jusqu’à quel point on est incapable de pénétrer ces mondes sans une certaine préparation. D’ailleurs, lorsque le contact avec les civilisations supérieures se fera à l’échelle mondiale, l’Humanité sera bouleversée temporairement, même si le produit de cette confrontation sera très positif parce que l’Homme est très astral. L’Homme va sentir qu’il perd quelque chose, et dans toute transmutation cosmique, il y a la perte de quelque chose pour gagner autre chose. Si vous montez une échelle, vous devez laisser le bas de l’échelle pour entrer en haut, vous ne pouvez pas être sur les deux en même temps, il faut faire l’un pour aller à l’autre, quitte plus tard à regarder d’en haut. Au niveau de l’expérience humaine c’est la même chose.
RG : Alors je vous ai présenté au public comme un contacté et je pense que vous avez répondu à mes questions je pense… BdM : Vous m’avez présenté au public comme un contacté, ça fait partie du vocabulaire qui est à la mode présentement mais je suis un Homme comme les autres, et naturellement ce que vous appelez ce contact, autrement dit cette communication avec le supramental fait partie de ma propre conscience. Et pour moi, la différence entre les extraterrestres et le supramental, elle n’existe pas.
Et éventuellement, l’Homme réalisera que ce qu’il appelle aujourd’hui “extraterrestres”, ce n’est pas une erreur, c’est une fallacieuse idée, parce que l’Homme comprendra que les extraterrestres ont à la fois une nature matérielle et une nature spirituelle, et l’Homme aussi a une nature matérielle et une nature spirituelle, mais il ne connaît pas sa nature spirituelle, pas plus que l’Homme sait qu’est-ce que c’est la spiritualité.
Il l’affectionne, il la connaît à différents niveaux par le truchement des idées ou par le truchement des dogmes, mais qu’est-ce que c’est de la spiritualité, l’Homme ne sait pas, pas plus qu’il sait qu’est-ce que c’est de l’espace ! C’est dans ce sens-là que le mot contacté, c’est un terme que je respecte si vous l’employez, mais pour moi il ne sert à rien parce qu’il ne me situe nulle part. J’offre en public ce qui passe et c’est tout. Le reste c’est de la foutaise, ce sont des mots.
RG : Encore une fois !
BdM : Oui. Pour moi, les mots n’ont aucune valeur, ils servent simplement à véhiculer de l’énergie. Alors si vous dites que je suis un contacté, vous me situez, je ne sais pas, dans un secteur d’expérience humaine, mais pour moi ça ne change rien, et pour vous ça peut retarder votre compréhension du supramental, et pour ceux qui entendent à la télé.
RG : Est-ce que vous avez déjà été informé de ce fameux livre : Cosmic pulse of life, il s’agit en fin de compte d’expliquer ici qu’il n’y a pas que les soucoupes volantes, les êtres extraterrestres, il y a aussi l’énergie, la pensée extraterrestre qui peut aussi agir dans la matière exactement comme vous venez de nous le décrire durant cet entretien, où on voit plusieurs photographies qui montrent ce que parfois on qualifie de “soucoupe volante”, n’est que matérialisation de forme-pensée, c’est de l’énergie… BdM : Il y a quatre niveaux… Si on commence là-dedans ça ne finira pas, mais je vais en parler un petit peu. Il y a quatre niveaux de ce que l’on appelle extraterrestres. Il y a le niveau physique, il y a le niveau fictif, il y a le niveau d’énergie pure et il y a le niveau qui n’est pas connu sur la planète Terre encore, c’est un niveau qui est intergalactique. C’est un niveau qui est équivalent à la relation qui peut exister entre la lumière et l’atome, et ce niveau-là n’a pas de forme. Et c’est à ce niveau-là que se situe ce que les gens appellent les “Archanges”. Alors sur le plan physique, naturellement ils peuvent passer d’une dimension à une autre, alors il y a matérialisation.
Sur le plan fictif, c’est au niveau des idées, parce que l’idée, ce qu’on appelle nous, l’idée, la pensée, c’est réel, c’est concret, et ça se matérialise. Et en général, heureusement que la pensée demeure sur le plan interne humain, mais lorsqu’elle est matérialisée dans l’espace-temps, à ce moment-là elle devient une forme qui peut être identifiée, et qui peut servir même, MÊME à véhiculer sur le plan physique des forces aussi puissantes qu’un objet matériel.
Parce que la seule différence entre une pensée dans son essence et une pensée matérialisée, c’est la densité, la forme, alors ils peuvent… D’ailleurs, en général ils se servent de cette formulation pour se faire connaître, parce que pour eux, venir sur le plan physique dans un véhicule physicalisé, matérialisé, c’est parce qu’ils ont un programme particulier, soit ils ont à rencontrer une personne ou qu’ils aient à faire des expériences, je ne sais pas moi, chercher dans les champs ou dans l’environnement physique humain, des pièces pour étudier.
Mais s’ils veulent se manifester sans subir la responsabilité de leurs projections dans la matière, à ce moment-là ils se servent de la pensée, c’est beaucoup plus efficace, c’est beaucoup plus régulier dans un sens. Et ils peuvent faire la même chose avec la pensée qu’ils peuvent faire avec la forme. Vous vous imaginez un extraterrestre qui se promène dans une soucoupe au-desssus des États-Unis, il peut facilement se faire descendre.
RG : S’il n’est que matière !
BdM : S’il n’est que matériel parce qu’automatiquement il tombe sous les lois de la matière, et ça, ça peut créer des bouleversements, ça peut créer des situations internationales, ça peut bouleverser surtout s’il y a un journaliste là… (rires).
RG : Bien, je pense qu’on a fait le tour d’horizon du monde, de l’énergie… BdM : Mais c’est infini, on peut parler pendant des années… RG : Définitivement… BdM : Oui… RG : Je vous remercie Monsieur Bernard X de la région de Montréal, ça va vous permettre de continuer votre œuvre entière, occulte un peu, on conserve votre anonymat caché… BdM : Oui… Occulte… Dans le sens que ce n’est pas public. Les mots pour moi sont très importants dans ce sens qu’ils ont une vibration, et le mot “occulte”, le mot “contacté”, ce sont des mots, mais je travaille, je travaille… Le mot “œuvre” même a une vibration… Je travaille… RG : Alors, on se reverra peut-être dans une autre émission ?
BdM : Oui, on continuera parce que je ne peux pas retourner en arrière, je vais continuer… RG : Dans votre évolution… BdM : C’est juste… RG : Bon, merci beaucoup.
Nous venons d’assister, Madame, Mademoiselle, Monsieur, à la toute première entrevue de télévision accordée par monsieur Bernard de Montréal en 1977.
mise à jour le 22/06/2024