PE-044 L’interprétation de la souffrance [fr]

PE-044 L’interprétation de la souffrance

“Bonsoir. Probablement un des éléments les plus difficiles à faire ressortir d’un nouveau modèle de conscience humaine ou d’un modèle théorique de conscience humaine, ou de modèle ésotérique, ou occulte de conscience humaine, c’est la personnification ou la description objective des éléments constructeurs de la psyché de l’Homme. L’être humain en tant qu’espèce ou en tant qu’unité faisant partie d’une espèce, l’être humain …”

 

En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.


Bonsoir. Probablement un des éléments les plus difficiles à faire ressortir d’un nouveau modèle de conscience humaine ou d’un modèle théorique de conscience humaine, ou de modèle ésotérique, ou occulte de conscience humaine, c’est la personnification ou la description objective des éléments constructeurs de la psyché de l’Homme.

L’être humain en tant qu’espèce ou en tant qu’unité faisant partie d’une espèce, l’être humain en tant que penseur, l’être humain en tant que terminal de conscience, l’être humain en tant que conscience exploitée par des mondes parallèles, ainsi de suite, a peu de voyance objective en ce qui concerne la constitution fondamentale de son moi dans l’expérience de vie sur le plan matériel.

Pour vous donner un exemple de ce que je veux dire, si vous allez voir un film, la relation entre vous comme spectateur et le film, en tant que réalité exposée ou le film en tant que réalité constructive, cette différence-là est aussi grande ou aussi valable comme élément de mesure, que la conscience humaine dans sa réalité vécue et sa réalité fondamentale.

Autrement dit quand vous allez voir un film, vous avez une perception objective de ce qui vous est présenté, mais vous ne pouvez pas faire une évaluation objective constructive de la façon dont a été fait le film. On vous présente simplement le fait accompli d’un processus structurel, évolutionnaire, qui a pris tant de mois, et on vous le présente en deux heures, et la seule conscience que vous avez de toute cette œuvre-là, de “background”, c’est la conscience de la pellicule devant vous.

Si on demandait à une personne qui n’avait pas réellement étudié le cinéma ou les facteurs de construction derrière la pellicule, si on allait, par exemple, dans un pays sous-développé comme en Afrique et si on disait : “Ce qui se passe à l’écran ce n’est pas réellement ça, ça c’est simplement une présentation”, alors la personne qui n’a pas beaucoup d’expérience au niveau historique par rapport au cinéma pourrait dire : “Ce que je vois à l’écran, bon, ben c’est ça” !

D’ailleurs, moi j’en ai fait le constat quand j’ai été en Haïti parce que je parlais souvent avec des gens là-bas, et puis pour eux autres, ce qu’ils voyaient à l’écran, c’était ça ! Schwarzenegger c’était ça ! Il avait ces pouvoirs humains là ! Mais on ne pouvait pas faire de liens avec la construction du film, on ne pouvait évaluer seulement que ce qui se passe à l’écran. En ce qui concerne la conscience humaine, c’est la même chose. Ce qu’on vit dans notre expérience psychologique tous les jours de notre vie, c’est la perception objective de la pellicule de notre vie, mais on ne connaît pas et on ne comprend pas les mécanismes constructeurs derrière la pellicule.

Et ces mécanismes de constructions là, qui sont sujets à être développés au cours de l’évolution, ce qui amènera l’Homme à développer une science extrêmement occulte de l’Homme, ainsi de suite, bon, ben ça, c’est un travail qui est en train de se dérouler et de se faire aujourd’hui dans le monde et qui, avec les générations, deviendra de plus en plus révélateur au point où un jour on pourra dire : “Bon, ben, ce qui se passe au niveau de notre cinéma personnel, les éléments constructeurs dans notre cinéma personnel, c’est telle chose, telle chose, telle chose”.

Et à ce moment-là, on aura accès à une cosmogénie extrêmement avancée de la structure du monde mental de l’Homme et des univers parallèles, et des espèces ambiantes qui constituent l’atmosphère psychologique qu’on appelle “le moi planétaire” de l’Homme. Alors, la conscience évolutive évolutionnaire tente pour le moment de commencer ce travail extrêmement laborieux qui permettra un jour à l’Homme, en tant qu’individu, de réellement prendre conscience de son moi et des mécanismes constructeurs derrière la pellicule de son expérience personnelle.

En dehors de ceci ou en deçà de cette étude-là, l’Homme vit simplement sur Terre une expérience dont il ne peut pas comprendre le fondement ou la fondation et dont il ne peut pas non plus exécuter la tracée occulte, c’est-à-dire en comprendre la fonction de la destinée et l’empirisme psychologique fondamental qui fait partie de son lien extrêmement caché avec les mondes parallèles. C’est pour cela que la psychologie évolutionnaire ne sera jamais une psychologie de masse.

Elle demeurera toujours une psychologie totalement individuelle, parce que c’est seulement une science individuelle qui permet à un être individualisé de comprendre la structure de son moi, au-delà des conformités, ou du conformisme historique qui sanctionne tout entendement de la relation entre l’Homme et sa société.

Un être qui est individué ne vit pas par rapport aux prescriptions socio-historiques, mais vit par rapport à la compréhension profondément occulte de son lien avec des mondes qui sont en train de se développer ou d’être mis à jour par des Hommes qui, sur le plan matériel, ont pour des raisons encore très personnelles, à révéler à l’Humanité les mécanismes profonds de l’inconscient.

Une chose qui doit être comprise en ce qui concerne l’évolution de la science ou de l’évolution de cette science-là, qu’on appelle “la psychologie évolutionnaire”, elle ne sera jamais développée par les Hommes sans qu’eux-mêmes en tant qu’individus – ou en tant que consciences – en aient pris conscience par eux-mêmes. Autrement dit la psychologie évolutionnaire n’est pas basée sur des modèles théoriques, elle n’est pas basée sur des projections psychologiques, elle n’est pas basée sur le facteur de la pensée subjective.

Cette science-là est réellement basée sur un taux vibratoire extrêmement avancé que certains individus vivent dans l’expérience, et qui leur permet de contourner ce que j’appelle le mensonge cosmique, c’est-à-dire la façon à l’Homme de voir les choses. Si un Homme peut comprendre la structure de son moi, les atmosphères qui en déterminent les paramètres, le dynamisme et la réalité, l’Homme va devoir, à son niveau personnel, vivre l’expérience intrinsèquement liée à sa source, autrement dit l’Homme va être obligé de savoir ce qu’il vit et de vivre ce qu’il doit vivre pour le savoir. Ça, c’est définitif.

Moi je le vis dans mon expérience depuis vingt-cinq ans, depuis 1969, tout ce que je vis, tout ce que j’ai vécu, tout ce que je vis, même présentement, fait partie d’un processus de révélations – c’est-à-dire d’un processus de pénétration de ma conscience dans des domaines de la vie mentale – qui une fois exposées à l’Homme, deviennent une science ou une nouvelle psychologie, ou un genre de codex quelconque.

Mais rien ne peut venir des mondes parallèles sans que l’Homme n’en ait pas pris conscience par vibration. Si l’Homme prend conscience de certaines choses par la voie psychologique, à ce moment-là il est un philosophe de la psychologie, il est un philosophe de la vie, mais il n’est pas un être vivant. Il est simplement un être qui utilise des mécanismes inférieurs sanctionnés par la société, conformes à l’Histoire, c’est-à-dire à la progression historique du moi collectif humain, mais il n’a pas une conscience de son moi à la mesure de sa capacité de pénétration des mondes parallèles.

Autrement dit, si vous êtes pour faire de la plongée sous-marine, vous pouvez faire de la plongée sous-marine en lisant un livre, en entendant l’histoire des gens qui ont fait de la plongée sous-marine, mais vous ne connaîtrez pas la plongée sous-marine tant que n’aurez pas mis le masque et que vous ne vous serez pas, vous mêmes, donné accès aux profondeurs. C’est un petit peu la même chose en ce qui concerne la psychologie évolutionnaire. Ce n’est pas une psychologie réfléchie, ce n’est pas une psychologie théorique.

C’est une psychologie, c’est-à-dire une science basée sur un rapport extrêmement étroit entre le moi planétaire et les mondes parallèles dans un mouvement ou dans une dialectique créative qui punit intensément l’ego réfléchi. Quand je dis “qui punit intensément l’ego réfléchissant ou l’ego qui réfléchit”, je veux dire qui punit intensément l’ego qui n’a pas conscience objective de l’illusion créée en lui par ce qu’on appelle la souffrance humaine sur la Terre !

Un Homme qui n’a pas conscience de l’illusion fondamentale de la souffrance créée dans son ego à travers des expériences sur la Terre, ne peut pas avoir conscience intime de son moi dans ses relations avec les plans parallèles. Donc il ne peut pas réellement accéder aux grandes vertus illuminatrices d’une psychologie évolutionnaire, parce qu’il est toujours lié ou arrêté par la crainte. La crainte étant fondamentalement une expression de la race animale, c’est-à-dire du pouvoir du corps astral sur l’intelligence de l’Homme.

Donc on peut dire que sur la Terre, l’expérience involutive, l’expérience historique de l’Homme, l’expérience sociologique de l’Homme à tous les niveaux, dans la mesure où elle est évaluée par un ego qui vit encore de la crainte, c’est-à-dire qui ne comprend pas les aspects réellement créatifs de son lien avec l’invisible, cette expérience-là fait partie de ce qu’on appelle “l’inconscience humaine”.

Vous pouvez avoir une certaine mesure de ce que je dis, quand par exemple vous comparez votre état de vie, aujourd’hui, qui est exorcisé un peu de certaines expériences souffrantes que vous avez connues par le passé, aujourd’hui vous êtes capables de dire : “Bon, j’ai vécu ça dans le temps, puis ça m’a servi à quelque chose. Dans le temps c’était difficile, aujourd’hui quand je regarde ça des années après, il n’y avait rien là”.

Autrement dit, on est toujours prêt à dire : “Bon, ce qu’on a vécu dans le passé, c’était nécessaire pour ce qu’on est aujourd’hui”. Mais on n’est pas capable de dire aujourd’hui, que ce qu’on vit maintenant, c’est nécessaire pour demain ! Vous comprenez ce que je veux dire ? Rappelez-vous-en de celle-là, c’est une clé.

De dire : “Ah ce que j’ai vécu il y a dix ans, c’était bon pour aujourd’hui” ; ça, c’est facile, comme disent les Anglais : “in retrospect”. Mais de dire : “Ce que je vis aujourd’hui, c’est nécessaire pour demain”, l’Homme n‘est pas arrivé encore à accéder à ces sommets de conscience là qui le libèreront des forces de l’âme, qui le libèreront de la crainte, et qui l’exposeront finalement à un devenir qui sera totalement sous son empire, ce que j’appelle le contrôle de sa destinée.

Et probablement, une des grandes maximes de la psychologie évolutionnaire devrait être celle que je vous ai exposée tout à l’heure, dans le sens qu’on peut facilement apprécier ce qu’on a vécu comme souffrances dans le passé, pour évaluer ce qu’on vit aujourd’hui. Mais on n’est pas rendu au point où on est capable d’apprécier ce qu’on vit aujourd’hui pour avoir une idée de ce qu’on pourra demain ! Et je veux réellement développer ce point-là ce soir, parce que ce point-là est extrêmement important. Moi-même, je le vis d’une façon très intense.

Et ce que cette conscience-là nous amène ou amènera l’Homme à réaliser, c’est que dans la mesure où un ego est capable, dans le champ de son expérience, dans le moment de son expérience, de récupérer sans réflexion, c’est-à-dire de récupérer seulement dans la vibration, cet ego-là réalisera que cette récupération-là devient pour lui la semence de son avenir !

Parce que quand le taux vibratoire de l’Homme change dans une souffrance appréciée dans son moment présent, quand un Homme est capable d’apprécier une souffrance, c’est-à-dire d’en prendre conscience sans trop de réflexion, sans trop de banalisation, l’Homme à ce moment-là élève son taux vibratoire et accède à des données, c’est-à-dire accède à des champs de conscience qui, par le passé, lui ont été cachés ou lui ont été voilés, parce que ce sont des champs de conscience qui font partie de ce que j’appelle “la surexcitation de son moi”.

Quand le moi est surexcité à des niveaux de conscience extrêmement raffinés, l’ego se sépare en deux. Il y a une partie de l’ego qui devient très planétaire, très enracinée dans le matériel, et une partie de l’ego qui devient très mentale, très cosmique, très universelle, et les deux parties ensemble forment un genre de tandem, c’est-à-dire une relation où l’âme est impuissante à troubler le lien entre l’Esprit et la matière.

Quand l’âme ne peut plus troubler la relation entre l’Esprit qui est la Lumière de l’Homme et la matière qui est son enveloppe ou son champ d’expérience le plus bas, à ce moment-là l’Homme est capable de commencer à construire son existence par rapport à des paramètres, qu’auparavant… Auxquels il n’aurait pas pu accéder parce qu’il n’avait pas la vibration pour reconnaître les secrets de sa vie, donc les secrets de sa destinée, donc le point réellement futuriste de son développement, de sa vision, de ses désirs, de ce qu’il veut, et ultimement de sa paix fondamentale.

Autrement dit, un Homme est toujours – et dans un sens, les sociologues puis les psychologues ont raison – un Homme est toujours le produit de sa société. Mais un Homme conscient est toujours l’extraction de cette réalité-là. Un Homme conscient s’extrait de sa société – quand je dis “s’extrait”, je ne veux pas dire qu’il l’abandonne – je veux dire qu’il s’extrait, il se propulse plus loin que ce que sa société peut lui offrir.

Alors que l’Homme inconscient est le produit de sa société, et dans un sens mécanique, mécaniste, en devient ultimement victime, parce que la société lui offre des choses, et lui, par compensation, passe à la société son équivalent. Alors que l’être conscient, lui c’est différent : l’être conscient devient une extraction, c’est-à-dire qu’il s’extrait de la société, il s’extrait des limites que la société lui impose, à cause du conformisme psychologique de son moi qui a peur d’être seul et qui n’est pas capable, en tant que réalité empirique, psychique, psychologique, de reconnaître sa puissance.

Donc il y a une grande différence entre un être involutionnaire et un être évolutionnaire, entre un Homme qui vit des forces de l’âme et un Homme qui vit des forces de l’Esprit. Et la différence est fondamentale, elle est très grande, et elle deviendra définitivement plus grande, au fur et à mesure où les Hommes pourront s’extraire de plus en plus de ce tableau social, qui fait partie du confort fictif que lui offrent différentes races ou différentes sociétés.

Mais dans la mesure où l’Homme en arrivera finalement à traiter réellement avec lui-même et à comprendre, et à pouvoir voir la valeur de son expérience présente pour son futur en devenir, à ce moment-là, l’Homme sera capable d’altérer son taux vibratoire à un point où la crainte ne fera plus partie de son exercice existentiel, parce que ce qui nous fait souffrir dans la vie, c’est toujours la crainte. Regardez vos souffrances à n’importe quel niveau, vos souffrances, le dénominateur commun de vos souffrances, que vous soyez des hommes, que vous soyez des femmes, c’est toujours lié à la crainte.

Et la crainte, c’est le phénomène qui fait en sorte qu’un ego, donc une lumière dans la matière, n’est pas suffisamment puissante pour se sortir de l’atmosphère socio-historique qui donne à l’Homme une fausse sécurité, donc ultimement qui l’empêche de bien interpréter ce qui se passe en lui, donc ce qui se passe dans sa vie, donc de bien interpréter sa souffrance. Donc je veux commencer à faire ma conférence sur l’interprétation de la souffrance.

Tous les Hommes souffrent, les moindres comme les plus grands, tous les Hommes souffrent. Pourquoi ? Tous les Hommes souffrent parce que sur le plan matériel, les Hommes sont régis par des lois d’évolution, c’est-à-dire que les Hommes, c’est-à-dire des âmes incarnées sont ou viennent dans la matière pour exercer leur droit à la survie éventuelle. La survie de quoi ? La survie de la mort astrale. Donc une âme qui s’incarne dans la matière, son but c’est d’en arriver un jour à pouvoir se libérer de la mort astrale pour entrer dans une conscience perpétuelle qu’on appelle “la conscience éthérique”.

Pour que l’Homme en arrive à pouvoir se libérer de ces énergies astrales là, qui sont conformes à son expérience planétaire, l’Homme est obligé ou sera obligé de faire face un jour ou l’autre, dépendant de son niveau d’évolution, dépendant de sa force intérieure, dépendant de son statut universel, ainsi de suite, ou dépendant de ce qu’il doit vivre sur le plan matériel en tant qu’être évolutionnaire, l’Homme sera obligé un jour de tester les limites de sa conscience.

Et l’Homme ne testera pas les limites de sa conscience volontairement, aucun Homme ne teste les limites de sa conscience volontairement. Ça équivaudrait à du masochisme. Les limites de notre conscience nous sont toujours imposées d’ailleurs, nous sont toujours imposées à partir des plans. Ce n’est pas l’Homme qui se crée de la souffrance, ce sont les plans qui créent un plan quelconque d’opérations permettant à l’Homme ou à l’âme incarnée de vivre une certaine souffrance.

La reconnaissance de ce fait-là est déjà une assise solide pour la compréhension de la vie. Un Homme qui ne comprend pas ça est très très loin dans les limbes de la connaissance. Donc les plans, l’invisible, les plans occultes – appelez ça comme vous voulez – les plans créent à travers une programmation qui peut être étudiée, qui peut être analysée à travers certaines sciences ésotériques, par exemple comme l’astrologie, ainsi de suite, l’astrologie n’étant simplement que le mécanisme médiumnique matériel pour interpréter ce qui ne l’est pas.

Les gens qui pensent que ce sont les planètes qui influencent l’Homme sont des êtres qui manquent de beaucoup de vision, ce ne sont pas les planètes qui influencent les Hommes. Les planètes sont utilisées pour donner des coordonnées mathématiques à l’évaluation systémique d’une relation occulte entre une conscience incarnée et des plans invisibles. Bon, on peut dire telle affaire, telle affaire, telle affaire ça crée telle affaire !

Mais le fondamental, le processus exécutif de toute conversion d’énergie, c’est-à-dire de toute relation vibratoire entre une âme incarnée et les mondes spirituels, ou les mondes cosmiques, se fait dans un champ extrêmement vaste et infini qu’on appelle “la conscience vibratoire”. Vous voulez en avoir une idée de ce qu’est la conscience vibratoire ? Je peux vous en donner un modèle. Votre radio prend ses ondes, reçoit des ondes, se met en activité sonore, la télévision se met en activité visuelle, à partir d’une centrale quelconque, à travers un champ d’énergie qui existe dans lequel on baigne tout le temps, on ne le voit pas, mais c’est là !

La conscience vibratoire c’est la même chose, la conscience vibratoire c’est une atmosphère qui est infinie à l’intérieur de laquelle l’Homme baigne, à l’intérieur de laquelle l’Homme est en relation, avec laquelle l’Homme est connecté, à travers des antennes qui sont particulièrement complexes, sensibles, qu’on appelle les corps subtils de l’Homme : le corps éthérique, le corps astral, le corps mental, qui deviennent les antennes, si vous voulez, de la conscience humaine.

Et ce sont ces champs d’énergies là qui sont en perpétuelle fluctuation et qui permettent à l’être humain de découvrir, au fur et à mesure où il évolue sur une planète, l’élément fondamental de sa relation entre les mondes spirituels et le plan matériel, donc techniquement, connaître l’histoire de la vie et son mystère.

Donc si on dit que pour l’Homme la compréhension fondamentale de son moi commencera lorsqu’il aura appris à traiter avec la souffrance quotidienne, la souffrance instantanée, la souffrance souvent révoltante, lorsqu’il aura appris à traiter avec cette souffrance-là d’une manière objective, c’est-à-dire sans crainte, à partir du moment où l’Homme traitera avec sa souffrance révoltante, mais sans crainte, l’Homme altèrera son taux vibratoire, ouvrira dans ses champs de conscience, ses différents champs de conscience, mental, astral, éthérique, ouvrira des nouvelles brèches, entrera dans des nouveaux temps – des temps que lui en tant qu’être incarné ne pourra pas mesurer, c’est-à-dire ne pourra pas réaliser de manière objective, parce qu’il est dans la matière – mais des temps qui feront partie de la subtile atmosphère de sa pensée.

Quand vous avez des problèmes, vous vous couchez le soir, vous rêvez, vous vous apercevez que vos rêves sont constitués d’images avec lesquelles vous pouvez souvent vous identifier, ou avec lesquelles vous ne pouvez pas vous identifier, mais des images qui, tout de même, se comprennent dans leur manufacture, dans leur intégration, dans leur projection, parce qu’il y a une partie de vous qui est suffisamment intuitive, qui peut lire, décrypter ces messages-là.

Ces messages-là font partie des univers parallèles, ces messages-là font partie de ce plan de conscience qu’on appelle “le plan astral”. Ces messages-là font partie d’une relation étroite non conditionnée par l’ego, entre vous et des mondes qui vous expliquent l’aspect subtil de ce que vous vivez. Le plus grand problème de l’Homme sur la Terre… Et c’est un problème historique, c’est un problème millénaire, c’est un problème qui a toujours existé, puis qui existera tant que l’Homme n’aura pas réellement converti sa conscience involutive en conscience évolutive, tant que l’Homme n’aura pas finalement exorcisé de son moi les différents niveaux de crainte qui peuvent facilement s’incruster dans sa matière, l’Homme demeurera un être impuissant… (coupure enregistrement)…

(Reprise en cours d’enregistrement) (…) Par des lois humaines et des plans de conscience qui ne manifestent pas, par rapport à l’Homme, des intentions humaines, c’est-à-dire qui ne jouent pas le jeu de l’ego. Si jamais l’Homme communique avec un ajusteur de pensée ou un être suffisamment avancé dans les plans de lumière, l’Homme s’apercevra qu’un ajusteur de pensée, ça ne joue pas dans la direction de l’ego, ça ne fait pas plaisir à l‘ego, ce n’est pas son travail ! Ça peut être le travail d’une entité astrale, mais ce n’est pas le travail d’un ajusteur de pensée.

Le but d’un ajusteur de pensée, sa fonction, son travail, c’est de faire évoluer l’Homme pour que l’Homme en arrive – comme quelqu’un me disait aujourd’hui – à développer une intelligence objective de sa relation avec le cosmos, c’est-à-dire avec les univers parallèles, pour un jour en arriver à pouvoir traiter avec ces mondes-là d’une façon objective et pouvoir finalement expérimenter ces mondes-là, sans vivre de crainte, donc sans se détruire lui-même sur le plan de son Esprit Ce qui amènerait éventuellement l’Humanité ou des Hommes à vivre de grandes expériences qui, aujourd’hui, font partie de la science-fiction.

Le problème de l’Homme concernant la souffrance, c’est la tendance qu’il a en tant qu’ego, en tant qu’ego, la tendance qu’il a de penser que sa souffrance est révoltante, n’a pas de direction. Une souffrance, ça a toujours une direction. Derrière une souffrance imposée chez un Homme, il y a toujours un plan en arrière, il y a toujours un agenda en arrière.

L’agenda souvent est caché à l’Homme, mais l’agenda est connu de l’Homme sur un autre plan. Et ce qui empêche un Homme de reconnaître l’agenda de sa souffrance, c’est-à-dire la raison de sa souffrance, c’est que l’Homme a tendance à rationaliser sa vie, c’est-à-dire l’Homme a tendance à vouloir que sa vie soit à la mesure de son désir égocentrique. Je n’ai rien contre ça, tant que vous pouvez le faire, pas de problème !

Mais le jour où vous ne pourrez plus le faire, là vous avez un problème ! Tant que vous pouvez vivre votre vie selon un plan égocentrique, je vous le souhaite, puis je suis content pour vous autres. Mais il va venir un jour où vous ne pourrez pas vivre votre vie selon un plan égocentrique ! La maladie va vous frapper, ce n’est pas un plan égocentrique. Vous aurez une perte de job, ça ne sera pas un plan égocentrique. Vous perdrez votre “chum” (ami), ça ne sera pas un plan égocentrique, vous perdrez de l’argent, ça ne sera pas un plan égocentrique !

Quelque part dans la vie, tous les Hommes de la Terre seront forcés à vivre un plan qui ne fait pas partie de l’agenda égocentrique ! Comment est-ce que l’Homme à ce moment-là réagit ? La “sixty four thousand dollars question” est là ! Elle est toute là ! Moi ça fait vingt-cinq ans, trente ans – je ne sais pas combien de temps – que je vis une vie qui est occulte, en fusion. Puis avec toutes les années d’expérience, toute la fatigue de mon Esprit, puis la fatigue de mon corps, la fatigue de mon être, je suis obligé encore de vivre des évènements révoltants.

Mais je connais la “game”. Parce que ce n’est pas parce que tu es un initié que tu es à l’abri des évènements révoltants ! Tous les Hommes vivent des évènements révoltants, mais pas tous les Hommes savent comment traiter avec, donc pas tous les Hommes sont libres des évènements révoltants. Ça fait que la liberté de l’Homme n’est pas dans sa capacité de s’exclure des évènements révoltants, la liberté de l’Homme c’est sa capacité de traiter avec ces évènements-là.

Et plus l’Homme entrera dans une science ou dans une conscience psychologique qui lui permettra de traiter directement avec les plans, plus l’Homme pourra comprendre finalement la relation, la raison des évènements révoltants, et plus l’Homme en arrivera finalement à s’affranchir, parce qu’il y aura toujours une limite, il y a toujours une limite aux évènements révoltants ! Mais la limite ne fait pas partie du plan égocentrique de l’ego, elle fait partie du temps dans l’évolution de la conscience de l’ego où l’Homme s’est affranchi de ses craintes.

Quand l’Homme n’aura plus de crainte sur la Terre, en tant qu’individu, l’Homme pourra faire ce qu’il veut sur la Terre. Tant que l’Homme aura des craintes sur la Terre, l’Homme devra vivre à un niveau ou à un autre des évènements révoltants. Pourquoi ? Parce que la crainte est le seul élément qui empêche un être dans la matière d’être un être de Lumière dans la matière ! Tu peux être un être dans la matière ou tu peux être un être de Lumière dans la matière, c’est-à-dire que tu peux comprendre parfaitement la vie dans la matière ou tu peux simplement la vivre, l’expérimenter aveuglément dans la matière.

Pour que l’Homme comprenne la vie dans la matière, pour qu’il en soit libre au niveau des évènements révoltants, il faut qu’il soit capable de comprendre l’agenda, subir l’agenda, et de neutraliser le pouvoir de l’agenda sur son corps émotionnel, c’est-à-dire sur la crainte. Pourquoi ? Parce que la crainte crée dans l’ego des limitations particulières.

Premièrement, la crainte empêche un ego d’accepter l’intelligence voilée de l’agenda cosmique de son incarnation. La crainte empêche un ego ou un être égocentrique d’accepter – pour utilement comprendre – l’agenda caché, voilé, cosmique de son incarnation. Et en tant que telle, elle est un poison pour son Esprit, parce qu’elle met en vibration les énergies de l’âme, c’est-à-dire qu’elle met en vibration tout ce qui fait partie de sa nature inférieure, sa nature animale, et qui l’expose non pas tellement à la perpétuité de la souffrance, mais à l’incapacité de la neutraliser sur le champ !

Un Homme qui est en souffrance, qui est capable de la neutraliser sur le champ parce qu’il n’a pas de crainte, l’Homme n’a plus de souffrance. Alors, les évènements de la vie peuvent venir vers lui dans n’importe quelle configuration, il ne peut pas être touché par eux parce qu’il n’est pas dans la crainte ! Mais un Homme qui est dans la crainte ne peut pas subir les évènements de la vie dans la paix de son Esprit, parce que les forces de l’âme sont plus grandes, sont plus présentes que la Lumière de son Esprit.

Donc il n’a pas la science de l’évènement, il n’a pas la compréhension de l’agenda secret derrière l’évènement, donc il ne peut pas comprendre le rapport entre sa souffrance et l’ouverture éventuelle de sa vie vers un terrain ou une dimension paisible. Il ne peut pas la voir, donc l’Homme psychologiquement vieillit très vite. L’Homme ne peut pas retourner ses énergies. L’Homme ne peut pas être mourant le matin puis être vivant le soir ! Il ne peut pas être malade l’après-midi puis en pleine forme le soir !

L’Homme est incapable de traiter avec sa nature parce que sa nature est constamment déformée par la crainte. On dit souvent que la maladie commence dans l’Esprit, puis ça finit dans le corps, ainsi de suite, il y a du vrai là-dedans, il y a beaucoup de vrai là-dedans. Et le rôle de l’Homme face à ce constat-là, c’est de neutraliser cette condition, mais il ne peut pas la neutraliser s’il est toujours vicié par la crainte. Puis la crainte ça va très loin dans notre constitution humaine, ça fait partie de notre mémoire, ça fait partie des mécanismes de notre mémoire.

Regardez ce qui se passe quand vous vivez quelque chose qui ne fait pas votre affaire, qui vous fait souffrir. Regardez les mécanismes tout de suite qui viennent en surface pour éteindre votre intelligence et vous forcer à vivre comme des êtres rampants devant, ou face à une expérience dont vous ne comprenez pas l’agenda secret voilé !

Si vous aviez un ajusteur de pensée, puis vous pourriez parler avec, vous diriez : “Bon, ben, comment ça se fait que ma maison brûle”… On vous dirait : “Ben, elle brûle pour telle raison ! T’en a une en bois, tu t’en prends une en pierre, c’est plus permanent”. Mais ce n’est pas ça qu’on pense. Là, on pense à l’assurance qui ne voudra pas nous assurer. On pense au fait qu’on ne pourra pas coucher chez nous le soir. Qui c’est qui va nous inviter ? Puis toute notre vie est comme ça !

On a des petits espaces, on a des vacances, on a des petites périodes de repos qui durent deux jours, mais ce n’est pas bien bien gros plus que deux jours. Une personne là, qui est bien deux jours de temps là, elle est réellement pas ici. Quand ça va bien deux jours de temps là, c’est bien ! Je ne sais pas s’il y a du monde qui “sont” bien trois jours de temps ! Mais ce n’est pas de ce monde-là que je parle. Puis plus tu deviens conscient, ben, plus les vacances sont courtes !

Puis la grande illusion du monde, ils disent : “Ben, Bernard de Montréal, il va avoir de grandes vacances”. Je peux vous dire une chose, c’est moi qui ai les plus courtes vacances, ça m’en prend pas gros pour qu’elles soient courtes… Vous autres, ça en prend un petit peu plus ! Ça fait que plus l’Homme devient conscient, plus les vacances sont courtes. Par contre, plus la compréhension est grande.

Ce n’est pas le fait que les vacances soient courtes qui est le problème, c’est le fait que quand on vit des courtes vacances, on ait la crainte qui est vicieuse, qui nous empoisonne et qui nous empêche d’être libre même dans le petit court moment qu’on a. Parce qu’une petite vacance qui est pleine, c’est mieux qu’une grande vacance qui n’est pas totale.

Le but de la psychologie évolutionnaire en ce qui concerne l’Homme en voie d’évolution, c’est de l’amener éventuellement à cesser de vivre sa vie dans un corridor de terreurs, on a différentes sortes de terreurs. Une femme qui est toute seule, elle a la terreur d’être toute seule pour le restant de ses jours. Le gars qui n’a pas de job, il a la terreur de ne pas en trouver un. Le gars qui n’aime pas la femme, il a la terreur d’en avoir une. Le gars qui n’a plus grand sou, il a la terreur d’être “short”, d’être à court d’argent. On vit tous ça ! C’est quoi votre terreur ? (s’adressant à une personne), c’est quoi votre terreur… ? Vous n’avez pas de terreur… ? (réponse inaudible de la personne).

BdM : Checkez-là votre terreur, ça sert à quoi votre terreur ? Parce qu’on en a tous une… Là, c’est parce que vous êtes en vacances ! Vous avez une question ?

Question : Donc, les craintes qu’on a sont personnelles à chacun ?

BdM : Les craintes que vous avez sont toujours à la mesure de votre incapacité de comprendre la raison de votre souffrance, sans ça votre crainte serait soit éliminée ou très très neutralisée. Si par exemple – je ne prends pas votre cas là, mais je parle en périphérie – si vous avez une jeune fille qui rencontre un jeune homme, puis qui est en amour avec le jeune homme, puis qui apprend un jour qu’il va la laisser, bon, ben, elle va vivre une souffrance.

Cette souffrance-là est liée à une crainte quelconque, mais si la jeune fille comprenait pourquoi est-ce qu’elle a rencontré ce jeune homme-là, on pourrait dire : “Bon, ben, tu as rencontré ce jeune homme-là qui était sans-dessein, pour apprendre à développer une certaine psychologie par rapport à des hommes sans-dessein, afin de ne pas souffrir dans l’avenir des hommes sans-dessein, pour pouvoir essayer des hommes un peu plus intelligents”. (rires du public).

Ça fait que la jeune fille après, elle dit : “Ouais, ça a bien de l’allure ça”. On ne peut rien apprendre intellectuellement, on apprend tout par vibration. Tout par vibration ! La personne la plus inconsciente apprend par vibration. Ça, on appelle ça l’expérience ! Après ça, ben, on peut le développer dans une science, mais tout s’apprend par vibration.

Un gars qui perd son job, puis qui est dans la crainte de ne pas en avoir un autre, ça va l’amener à réaliser qu’il y a toujours un job, prends ton sac, prends tes bottines, prends tes jambes, change de ville, va-t’en quelque part, fais un mouvement, puis hop, t’as un job ! Tu t’en vas dans les toilettes, tu t’en vas pisser dans les toilettes, il y a un gars qui pisse à côté de toi, tu lui dis : “Tu n’aurais pas un job pour moi”…

Le gars il dit : “Qu’est-ce que c’est que tu fais dans la vie”… ? “Ben, moi j’étais un plombier”… “Ben, justement, j’ai besoin d’un plombier”. C’est comme ça que ça marche la vie. Puis le pire, c’est qu’on sait que ça marche de même, mais on ne se l’admet pas que ça marche de même ! Puis pourquoi est-ce qu’on ne se l’admet pas ? Parce qu’on a peur, on a peur… Je vais vous dire ça ! Ils disent qu’on a peur de réaliser ou d’admettre que la vie est plus intelligente que nous autres. On préfère penser qu’on est plus intelligent que la vie. C’est le contraire !

Puis la vie est plus intelligente que nous autres, et si on comprenait que la vie est plus intelligente que nous autres, ben, on dirait : “Bon, ben, c’est quoi l’affaire”… ? Tu te questionnes intérieurement, puis tu as une réponse qui te revient. Puis on te dit : “Bon, ben, la raison que tu as vécu telle affaire, c’est pour telle affaire. La raison que tu t’es faite violer à dix-sept ans, c’est pour telle affaire”… Ça fait que tout ce qu’on vit dans la vie, c’est pour telle affaire, parce qu’on est des êtres en évolution de conscience.

Mais on n’a plus de contact avec les plans parce qu’on est des êtres réfléchis, on est dans un ego, donc on ne comprend pas l’agenda caché. Ça fait qu’à ce moment-là, c’est difficile pour nous autres d’admettre que la vie est plus intelligente que nous autres. Quand il vient le temps pour nous autres de vivre des évènements qui sont révoltants, l’ego réagit et l’ego dans la révolte de sa souffrance n’est pas capable de dire que la vie est plus intelligente que lui.

Il n’y pas un gars qui va dire : “Bon, ben, j’ai perdu cent-mille pièces cet après-midi”… Qui va dire : “Bon, ben, la vie est plus intelligente que moi, je peux l’évaluer”. Je n’en connais pas. En connaissez-vous ? Non, je n’en connais pas ! Ça fait que tu vas par en dedans, puis tu dis : “Comment ça se fait que j’ai perdu centmille pièces cet après-mdi, vous êtes des crisses de cons”… Puis on est capable de te dire pourquoi est-ce que tu as payé, tu as perdu cent-mille pièces cet après-midi !

Tu vas comprendre pourquoi ! Ça fait qu’à ce moment-là, la vie est plus intelligente que l’Homme ne peut l’être pour le moment. Sa fonction c’est de l’amener à ça. Puis ça, on appelle ça l’évolution, on appelle ça une initiation. Appelez ça comme vous voulez, mais que vous soyez conscients ou inconscients, c’est ça qui se passe. Là, c’est parce qu’on parle de conscience, mais les principes s’appliquent à tous les niveaux de la société humaine, dans toutes les races, et en fonction de toutes les conventions psychologiques de l’ego humain, c’est toujours la même “game” !

Mais à partir du moment où, dans le cours de l’évolution, les centres psychiques de l’Homme s’étant ouverts, l’Homme pouvant communiquer finalement avec les mondes parallèles, dépendant de son exercice, dépendant de son statut universel, dépendant de son taux vibratoire, puis de tout ça, à partir du moment où l’Homme va pouvoir finalement échanger dans une conscience objective avec des mondes qui ne font pas partie de son monde matériel, l’Homme va pouvoir commencer à comprendre la raison derrière les évènements révoltants de sa vie, et l’Homme finalement va pouvoir commencer à rompre avec son passé.

Rompre avec notre passé, ça veut dire quoi ? Rompre avec notre passé, ça veut dire ne plus appartenir psychologiquement à la race humaine. Quand l’Homme n’appartient plus psychologiquement à la race humaine, il est libre de la mémoire de la race et ses émotions sont automatiquement libérées de toute forme karmique, c’est-à-dire de tout lien avec le passé. L’Homme peut alors prendre son énergie émotionnelle, la travailler, la travailler comme une matière et en faire pour lui un cheval de bataille.

L’Homme est capable de se lever mort le matin, fatigué le matin, malade le matin, puis totalement fonctionnel le soir, parce que son énergie émotionnelle le sert, son corps astral est sous le contrôle de son corps mental, l’Homme n’est plus assiégé par les forces de l’âme, l’Homme n’est plus et ne fait plus partie de la conscience involutive de l’Humanité, pourquoi ? Parce qu’il est capable de comprendre dans l’instantané que l’évènement souffrant, révoltant de sa vie, a un agenda caché auquel il a accès, dans la mesure où il est prêt, en tant qu’ego, de ne pas vivre d’égocentricité par rapport à sa source.

Le problème avec l’être humain qui ne connait pas encore suffisamment les lois occultes de l’inconscience ou de la conscience, c’est que l’Homme a tendance à vouloir imposer un modèle théorique de conscience à des êtres qui sont en dehors de son expérience. Le judéo-chrétien va dire : “Pourquoi est- ce que le bon Dieu ne m’aide pas”… Pourquoi St Christophe ne m’aide pas à trouver mes bottines”… ? Puis l’ésotériste, puis l’occultiste va dire : “Pourquoi le contact, mon ajusteur de pensée ne m’aide pas à trouver un bon stock”… ? (rires du public). On veut imposer des modèles puérils de conscience humaine à des êtres de lumière !

C’est comme le petit gars de la deuxième année qui veut imposer à Einstein un modèle théorique de l’univers… Puis ça va loin ! Ça va loin, ça va aussi loin qu’on puisse imaginer, jusqu’à tant qu’on comprenne que la relation entre l’invisible et le plan matériel, c’est une relation d’évolution de travail, pour éventuellement amener à une liberté créative et non pas à une liberté exprimée par un égocentrique personnel. Moi si j’écrivais ma vie, puis tous les instants de ma vie, puis les journées de ma vie, vous diriez : “Ça ne se peut pas de souffrir de même, ça n’a pas d’allure de souffrir de même”… Mais c’est cette souffrance intégrée là, qui me permet de vous expliquer comment ça marche.

Si je suis capable de me libérer de ma souffrance égocentrique ou de ma perception, ou de mon interprétation égocentrique de la souffrance révoltante qui élève mon taux vibratoire, pour pouvoir ensuite devenir créatif, je n’ai plus de problème avec la souffrance, tout s’arrange. Tout s’arrange ! Puis ça veut dire quoi que tout s’arrange ? Ça ne veut pas dire que tu t’en vas dans la vie comme un niaiseux, ça veut dire que tu auras toujours les réponses à ton calvaire.

Si tu as les réponses à ton calvaire, ton calvaire est diminué. Si tu n’as pas de réponses à ton calvaire, ton calvaire c’est un vrai calvaire ! On a été piégé pendant l’involution parce qu’on nous a présenté, quand on était jeune, un Dieu sur un plat d’argent, puis tous les acolytes, toute une armée de saints, puis de saintes nitouches, pour nous aider à passer à travers la vie comme des “sans-dessein”, au nom de la Providence, puis pour le bénéfice du pouvoir temporel de nos Églises !

Ça me fera toujours penser au curé de paroisse qui arrive chez une bonne femme qui a mis quatorze enfants au monde, puis qui passe là tous les ans, puis un jour il dit : “Mais qu’est-ce que c’est que vous faites ? Vous ne faites pas l’amour avec votre mari pour faire un autre enfant pour la volonté de Dieu”… ? Ça fait que la pauvre femme, dans ce temps-là, elle en faisait un autre, elle était rendue à quinze, peut-être seize, dix-sept, dix-huit…

Puis l’Église, ben elle, elle a des “petits plus” (+) pour payer la dîme puis recommencer le bal. Là, on s’est finalement réveillé, puis heureusement que la pilule est arrivée à temps ! Puis c’est comme ça dans le monde entier. Puis là, on est au Québec, on est en Amérique, on est au Canada, on est aux États-Unis, on est en Europe… Imagine-toi ce qui se passe en Afrique du Nord, aux Indes, au Bangladesh ! Imagine-toi ce que la femme a subi sur la Terre !

Parce que non seulement l’Homme est très ignorant, mais parce que l’Homme baigne dans une inconscience totale, parce qu’on lui a fourré dans l’Esprit, depuis qu’il est jeune, des idées et puis des concepts que… “Even Walt Disney” (même Walt Disney) n’aurait pas découvert ! Puis au nom de la stabilité des régimes, on dit : “Ben, il faut que ça continue comme ça”. Il faut que la femme continue à être victime au nom de la stabilité des régimes !

C’est pour ça que je vais vous dire quelque chose en passant, quelque chose que peut être vous n’aimerez pas, surtout ceux qui m’entendent en France… Parce que je sais que ces cassettes-là s’en vont en France… Comprenez donc une fois pour toutes que le pays le plus important au monde, malgré toutes ses faiblesses, toutes ses conneries, c’est les États-Unis d’Amérique !

Parce que ce sont les Américains qui vont amener dans le monde suffisamment d’informations, suffisamment de télévision, de technologie et de toutes sortes, toute cette gadgeterie-là, pour finalement libérer les Hommes du manque d’informations qui ont été responsables pour l’abolition de son individualité, l’abolition de sa volonté, et le développement des pouvoirs temporels qui ont semé pendant l’Histoire humaine une terreur tellement grande, qu’aujourd’hui, quand des Hommes viennent en contact avec une nouvelle science, ils se demandent si ceux qui amènent cette nouvelle science là ne sont pas des éberlués ou des fanatiques.

Commencez donc, les Français, puis les Européens, à réellement étudier, puis à comprendre, puis à voir jusqu’à quel point la Constitution Américaine est la seule Constitution au monde qui permette finalement à des peuples de commencer à se libérer de l’oppression mécanique, de la désinformation ou de la retenue de l’information, pour privilégier les pouvoirs. FIN.

mise à jour le 23/06/2024

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