PE-043 Être victime du caractère inquisitionnel des plans
“OK. Je continue ! Il y a certainement des degrés ou des niveaux de conscience qui permettent à l’Homme d’être victime, si vous voulez, ou d’être conscient même, ou de vivre l’expérience du caractère inquisitionnel des plans. Plus un Homme est conscient des plans, plus un Homme a une conscience occulte, plus il en …”
En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.
OK. Je continue ! Il y a certainement des degrés ou des niveaux de conscience qui permettent à l’Homme d’être victime, si vous voulez, ou d’être conscient même, ou de vivre l’expérience du caractère inquisitionnel des plans. Plus un Homme est conscient des plans, plus un Homme a une conscience occulte, plus il en arrive éventuellement à être conscient de ceci. C’est un fait de vie, ça ! Moins l’Homme est conscient, moins il a conscience du caractère inquisitionnel des forces.
C’est comme un couteau à deux tranchants, si tu n’es pas conscient des forces, tu ne subis pas leur caractère inquisitionnel. Si tu es très conscient des forces, contrairement à ce que les gens pensent ou peuvent penser, tu subis plus le caractère inquisitionnel. C’est un petit peu comme un gars qui travaille dans une compagnie, ça. Si vous avez un grand boss dans une compagnie, puis que vous êtes laveur de planchers, vous allez sentir moins la pression du grand boss.
Mais si vous êtes vice-président de la compagnie, si vous êtes dans le cercle administratif, si vous voulez, vous allez avoir… Vous allez sentir plus la pression du grand boss, parce que vous allez avoir affaire à lui, vous allez être plus près de lui, vous allez avoir plus de chance de communiquer et puis de vous entretenir avec sa personne. C’est un petit peu la même chose au niveau occulte.
C’est évident qu’un Homme qui a une grande conscience des plans, qui a une grande télépathie avec les plans, vit cette proximité-là à un niveau qu’en général l’Homme ne connaît pas. C’est pour ça que tirer des conclusions de cette expérience-là, c’est valable universellement, c’est valable à différentes échelles, mais ce n’est pas nécessairement valable pour tous les Hommes. Parce que les Hommes, même si les Hommes sont conscients des plans, ils peuvent être conscients des plans philosophiquement, ils peuvent dire : “Ça existe de même, ça marche comme ça, la vie”.
Mais d’être réellement conscient sur une base de Un pour Un des plans, ben, ça, ça fait partie de l’expérience de certains individus, puis ceux qui le vivent comme moi je le vis, peuvent tirer des conclusions utiles – pour l’être humain qui, un jour, deviendra plus conscient des plans – et automatiquement, vivront ce caractère contestataire de cette relation. Et ça va très, très, très loin, ça, c’est pour ça d’ailleurs que les initiés – par exemple des Hommes comme moi – on a des volontés, on a des volontés abominables. Pourquoi ?
Parce qu’on a été amené pendant des années, puis des années, à combattre des forces très puissantes, puis graduellement les amener à les maîtriser puis les amener sous notre contrôle, parce que c’est évident que ça nous donne des volontés. Ça nous donne de grandes volontés, puis ça nous rend sur le plan psychologique presque invulnérable, parce qu’on a été entraîné par initiation à combattre les forces occultes.
Mais pour l’Homme en général, c’est la même chose, mais à son niveau, selon son expérience, ainsi de suite. Et c’est dans le cadre de ces expériences réduites là, que je veux vous parler, parce que mon expérience ne va pas nécessairement vous servir. Mais le corollaire de mon expérience, ses aspects un petit peu plus quotidiens qu’on retrouve dans la vie de tous les jours, peut vous servir. Puis c’est ça que je veux mettre en lumière dans la deuxième partie de la conférence.
Où l’Homme normal peut sentir le caractère, bien que diminué, le caractère inquisitionnel des plans bien que diminué, c’est dans la répétition, la répétition des évènements. Si vous avez des évènements dans votre vie qui se répètent, puis qui se répètent, puis qui se répètent, vous avez tendance à perdre vos jobs, vous avez tendance à perdre vos “blondes”, vous avez toujours tendance à perdre, puis à perdre, puis à perdre, puis à perdre, puis à perdre !
Vous n’êtes pas capables, autrement dit, de vous enrichir, vous n’êtes pas capables de stabiliser vos conditions à un niveau ou à un autre, vous êtes toujours en perte, puis en perte, puis en perte, vous n’êtes pas capables d’agrandir votre surface d’influence dans la vie, puis de réellement prendre un petit peu plus contrôle d’une plus grande partie de la tarte sociale ! Si vous n’êtes pas capables de faire ça, c’est parce que justement vous vivez à votre niveau, à un certain niveau d’inconscience, le caractère inquisitionnel des plans.
Et vous devez ajuster ça, parce que si vous ne l’ajustez pas, vous allez continuer au cours de votre expérience à vous appauvrir, vous allez continuer à perdre, ce qui équivaut, pour vous autres, à une perte de contrôle sur votre vie, puis vous allez toujours demeurer des êtres en voie d’expérience, puis vous allez toujours chercher à améliorer votre sort. Ça ne va jamais pouvoir l’améliorer. Que l’Homme cherche à améliorer son sort, ça, c’est une chose, je n’ai rien contre ça, c’est normal, puis c’est très bien, mais qu’il en arrive à le faire un jour !
Vous ne pouvez pas constamment chercher à améliorer votre sort, puis ne pas sentir un jour que, finalement, dans votre Ferrari, vous la prenez la “curve” (courbe) au lieu de toujours débarquer. Mais on arrive dans la “curve”, puis il débarque, puis il débarque, puis il débarque. Vous n’en arrivez jamais à rentrer dans la “curve” là, puis la prendre la “curve”, puis prendre de la vitesse, sentir que vous l’avez finalement prise la “curve” !
Puis de temps en temps, vous avez des illusions, ah là, vous pensez que vous avez pris la “curve”. La fille, elle rencontre un gars qui est riche, elle pense qu’il l’aime, là elle pense qu’elle a pris la “curve”, pour s’apercevoir deux ans plus tard qu’il jouait simplement une “game”. Même chose pour le gars qui a un job, il pense qu’il l’a le job là, pour réaliser que deux ans plus tard, ben, il le perd le job ! Ça fait que la “curve”, on n’a jamais le sentiment qu’on la prend, puis qu’on l’a réellement prise.
Il faut le regarder ce côté-là… La “curve” ! Pourquoi on n’a pas le feeling solide qu’on l’a prise la “curve”, finalement ? Puis la raison qu’on n’a pas le feeling solide, c’est parce qu’on n’a pas changé de “tires” (pneus) (rires du public). Il faut que tu changes de pneus pour prendre la “curve”, c’est glissant là. Il faut que tu changes de pneus ! Puis le gars, il pense qu’il est capable de prendre la “curve”, parce qu’il est un bon conducteur seulement ou parce qu’il a un bon “char” seulement !
Puis le côté le plus simple de tout le problème, c’est les “crisses de tires”, il faut que tu changes les pneus ! Changer les pneus au niveau de notre vie, puis de notre expérience, ça veut dire changer notre façon de “dealer” avec l’évènement. Ça fait que la fille, quand elle rencontre un homme, elle tombe en amour, elle est heureuse là ; s’il parle puis que tu vois que les yeux scintillent, tu n’as pas besoin d’aller loin, le lundi matin quand elle rentre au bureau, tu n’as rien qu’à la regarder, tu sais si elle a eu une belle fin de semaine, puis là, elle flotte “on cloud nine” (elle est sur un petit nuage).
Même chose pour le gars, il l’a le job, là il va être créatif là. Mais elle n’a pas changé sa façon de penser la fille, elle n’a pas changé ses “tires”, puis ils le savent eux autres en haut qu’elle n’a pas changé ses “tires”. Elle, elle le pense, mais eux autres de l’autre bord, savent qu’elle n’a pas changé ses “tires”. Ils connaissent le gars, il savent le gars qu’ils ont mis sur sa route. Puis une fin de semaine, elle va s’apercevoir qu’il y a eu des changements, puis il n’est plus intéressé à elle, puis là, elle tombe en dépression !
Elle, son affaire, son “pneu”, c’est la dépression. Elle tombe toujours en dépression quand elle rencontre un gars, puis que ça ne marche pas. Je vous donne un exemple. Ça, c’est son “pneu”, il va falloir un jour qu’elle change de “tire”, puis qu’elle dise : “Qu’il mange d’la marde (expression québécoise : Va te faire foutre), un de perdu dix de retrouvés” ! Tant qu’elle n’aura pas changé son “tire”, elle ne pourra jamais prendre la “curve”.
Le gars, c’est la même équivalence au niveau du job, puis c’est comme ça pour tout le monde. On ne change réellement pas nos pneus, puis je pourrais vous dire que la plupart de nous autres, on roule sur des pneus à fesses (rires du public). Moi je connais bien du monde, t’sé, puis je n’ai pas besoin d’un cours classique pour savoir, j’ai rien qu’à vous regarder, puis laissez-moi vous dire qu’on roule réellement sur des pneus fessiers.
Moi je ne vous le dis pas, parce que ce n’est pas de mes affaires, puis… Je ne suis pas un voyant moi, ce n’est pas mon job d’être voyant. Mon job à moi c’est de l’instruction, mais j’en vois des pneus, puis des drôles de pneus ! Ça fait que quand je regarde toute l’affaire de la vie, puis l’affaire de prendre la “curve”, je le sais moi, il y a du monde qui me disent : “Ah ! J’ai eu un bon job en fin de semaine, ou j’ai rencontré une fille formidable” ou la fille, elle dit : “J’ai rencontré un gars au boutte”. Puis je regarde rien qu’une chose moi, le “tire”, tout de suite (rires du public).
Puis comme je suis voyant, ben, je peux dire : “Bon, ben, dans deux ans, ça va sauter, dans deux mois ça va sauter”, puis je ne me trompe jamais, ça saute tout le temps. Puis la personne, elle ne réussit jamais à prendre la “curve”. Ça fait que ça, c’est notre problème, le monde ! On ne change pas de “tire”, c’est-à-dire qu’on ne change pas notre façon de traiter avec l’évènement, puis tant qu’on ne fait pas ça, la relation entre nous autres et les plans va demeurer une relation inquisitionnelle.
Ils vont nous en mettre un autre dans le chemin, un autre gars dans le chemin, un autre job dans le chemin, puis tu ne sens pas de progression. Puis la plupart des êtres humains sur la Terre vivent dans une conscience relative aux évènements comme ça, tu ne sens jamais la progression. Moi j’ai été bien bien malade, je suis mort je ne sais pas combien de fois dans ma maladie, mais je change de pneus moi !
Ça fait qu’un jour, ben, je prends l’affaire sous mon contrôle. Je change toujours de pneus, je suis toujours après changer mes pneus, moi je passe mon temps à regarder mes pneus ! Vous autres, vous regardez votre moteur, vous regardez votre “char”, il y a du beau… La couleur… Moi c’est les pneus que je regarde tout le temps ! “Comment est-ce qu’ils sont mes pneus aujourd’hui”… Puis là, c’est rendu, j’ai des “crisses” de bons pneus là !
Vous autres, vous avez des beaux “chars”, des gros moteurs, mais vos pneus sont sur les fesses. Moi j’ai peut-être un petit mazout, mais je prends la “curve”. Ça fait que c’est bien important de comprendre ça, parce qu’on a tous la chance d’avoir des vies agréables. Puis les gens qui ont commencé à prendre la “curve”, je les sais, je les identifie, je peux dire : “Bon, ben, elle, elle a commencé à prendre la curve, elle sait qu’est-ce que c’est prendre la curve, elle en a réglé une partie de cette affaire-là”.
Puis ça se sent quand on a des pneus, ça se sent quand on a l’affaire du contrôle, “right” ? Hein ? Ça se sent, c’est ça ! Puis quand on ne l’a pas, ça se sent aussi ! Puis moi quand je rencontre des gens, puis je sais qu’ils l’ont pris le courant, c’est le “fun”, parce qu’après ça, je me dis : “Bon, ben, au moins, là ils commencent à vivre”. Ce n’est pas votre relation avec moi qui est importante dans la vie, c’est que vous autres, vous soyez capables de vivre, puis vivre une vie qui vous est de plus en plus agréable.
Ça, pour moi, c’est important là, je ne dis pas de ce que vous pensez de l’instruction, mais j’ai le plaisir de voir du monde qui “prennent” finalement… Ils la prennent la “curve”. Puis tout change quand ils prennent la “curve”, les femmes deviennent belles, les femmes s’arrangent, les hommes ont de la force, les hommes ont du peps. Il se passe quelque chose dans les corps subtils, la personne change, il y a une vivacité qui se crée, il y a une nouvelle synergie.
Mais la raison pour laquelle on ne change pas de pneus, c’est parce qu’on est dans l’illusion, on est dans l’illusion que les pneus vont changer avec le temps. Puis les pneus, ça ne se change pas avec le temps, il faut que ce soit nous autres qui les changions. Puis ce ne sont pas eux autres en haut qui vont les changer les pneus, c’est nous autres qu’il faut qu’on les change, les pneus !
Puis les changer, ça demande une sorte de volonté, dépendant de votre expérience là, ça demande une sorte de volonté, c’est-à-dire une capacité de nous désengager de la façon qu’on opérait avant. Si vous n’êtes pas capables de vous désengager de la façon dont vous opériez avant, vous restez toujours avec les mêmes pneus. Tu ne peux pas progresser, tu ne peux pas la prendre la “curve”.
Ce qui nous empêche de changer notre façon d’opérer avant, c’est parce qu’on ne se regarde pas. On regarde les autres, on regarde les circonstances, ce n’est jamais de notre faute, ce n’est pas nous autres qui avons fait l’erreur, c’est la vie, c’est les plans, c’est les forces, c’est l’autre. C’est toujours l’autre, mais ce n’est pas nous autres. Quand ça va être réellement vous autres qui avez fait l’erreur, autrement dit qui n’avez pas été intelligents, à ce moment-là vous allez commencer à changer vos pneus.
Mais tant que vous n’allez pas réaliser que c’est vous autres, le point faible dans toute la “matrix”, vous ne pourrez pas changer vos pneus, donc vous ne pourrez pas prendre la “curve”. Parce qu’il y a des grandes illusions dans cette incapacité-là, surtout quand on a une conscience occulte. Parce que quand on a une conscience occulte, on est conscient des plans, on a même une communication télépathique avec les plans.
Puis quand on a une communication télépathique avec les plans, on peut facilement “s’enfarger” (se faire trébucher), c’est-à-dire penser que ce sont eux autres qui nous créent les conditions, et puis c’est vrai, ils les créent ! Mais le point n’est pas là, ils les créent parce qu’on a des conditions énergétiques qui leur permettent de les créer. Ils utilisent notre énergie pour créer les évènements. Les plans utilisent toujours votre énergie pour créer les conditions de votre expérience, les conditions de votre existence.
Si vous êtes gênés quand vous rencontrez quelqu’un, ça, c’est en vous, ça fait partie de votre problème, ils vont vous créer des conditions qui vont refléter ça. Si vous êtes jaloux, ils vont vous créer les conditions pour refléter ça. Ça fait que ce n’est jamais les plans, c’est toujours nous autres, puis ce n’est pas évident la différence entre les deux.
Ce n’est pas évident la différence entre nous autres puis les plans, puis la preuve que ce n’est pas évident la différence entre nous autres puis les plans, c’est que quand on se parle, autrement dit quand on pense, on pense toujours en JE. Là, c’est plus facile de penser en JE, puis en TU, parce que ça se dépolarise le mental avec le temps. Mais pour l’Homme là, c’est en JE qu’il pense. Alors que si l’Homme était réellement conscient de la multidimensionnalité de sa conscience, il pourrait facilement… De penser en JE à penser en TU.
Il aurait de la communication, puis à ce moment-là, ben, il pourrait avoir une explication de son état. “Pourquoi est-ce que je suis jaloux”… ? À ce moment-là les plans pourraient lui dire : “Bon, ben, tu es jaloux pour telle, telle raison”. Il pourrait voir l’illusion, il pourra changer son pneu. Mais si l’Homme n’est pas capable pour le moment d’accéder à cette communication-là, autrement dit avoir une information sur son cas à partir des plans, qui est une information objective, à ce moment-là ça devient plus difficile pour lui de changer son pneu, parce qu’il n’est pas capable de s’imaginer être de même ou il ne veut pas se l’admettre.
Une personne qui est jalouse, elle ne va pas l’admettre facilement qu’elle est jalouse, c’est toujours l’autre qui la rend jalouse, hein ! C’est l’autre qui te rend jaloux, ce n’est pas toi qui est jaloux, ben, non, c’est l’autre qui me rend jalouse ! S’il ne sortait pas avec d’autres femmes, je ne serais pas jalouse. Mais si elle avait un contact avec les plans, elle irait par en dedans, puis elle dirait : “Bon, ben, je suis jalouse”… ? Les plans pourraient dire : “Oui, oui, tu es jalouse”. Puis si la personne voulait aller plus loin là dedans, elle pourrait dire : “Bon, ben, pourquoi est-ce que je suis jalouse là”… ?
Le plan pourrait dire : “C’est moi qui te rends jalouse”. “Puis pourquoi est-ce que tu me rends jalouse”… ? “Parce que j’ai déjà été ton mari dans une autre vie”. Ah là, ça commence à être clair et net ! Ça fait qu’à ce moment-là, ben, tu commences à changer de “tire”. Parce que ça va loin l’affaire du “tire”, puis changer de “tire”, puis comment est-ce qu’on peut changer de pneus, comment est-ce qu’on peut changer de façon de penser !
Ça va loin, ça va jusque dans l’occulte du moi, jusque dans l’occulte de la conscience, dans le tréfond des forces de l’âme qui nous manipulent constamment, parce que ça fait partie de l’expérience de l’âme. Ça ne fait pas partie de l’Esprit, ça ne fait pas partie de la présence de l’Esprit, il n’y a aucun Homme dans son Esprit qui peut être jaloux. Ça ne rentre pas dans l’Esprit ça, ça ne fait pas partie de l’Esprit ça, d’être jalouse ou jaloux.
Dans l’Esprit il n’y a pas de faiblesse, il n’y a rien que de la Lumière. Dans l’âme, c’est plein de faiblesses. L’âme c’est un computer, c’est plein de circuits dans la “patente” (le bidule) ! Dans l’Esprit ça n’existe pas ça, c’est global, c’est intégral de l’Esprit, c’est de la Lumière l’Esprit ! Ça fait qu’une fois que tu es rentré dans ton Esprit, c’est facile de pouvoir changer de “curve”. Prendre la “curve” c’est une affaire de rien.
Mais pour en arriver là, il faut que tu aies maté l’âme, il faut que tu aies pris conscience des mécanismes profonds qui t’enlèvent ta lumière, ton focus, et qui font de toi toujours un être en conscience expérimentale et qui, automatiquement, t’assujettissent aux forces dominantes, donc inquisitionnelles des plans. De là vient la souffrance humaine, puis la répétition qui n’arrête pas, de nos souffrances.
Puis regardez vos vies là, vous allez voir que la vie c’est une “track” (piste, voie), puis qu’on est sur cette “track-là” pour un bon bout de temps. Il y a du monde, ils sont sur la même “track” pour quinze ans, vingt ans, il y a du monde qui sont sur la même “track” pendant toute leur vie ! Ce n’est pas une “crisse” de “joke” d’être sur la même “track” toute ta vie. Ça, c’est comme d’aller de Montréal à Vancouver “forever”. C’est “plate” (ennuyeux), alors que l’Homme devrait constamment changer de “track”, changer de “track”, changer de “track”, puis ainsi de suite.
Puis il y a du monde, ils sont toujours sur la même “track”, c’est abominable d’être sur la même “track”, ça c’est de l’âme. Quand tu es de même, évidemment tu ne peux pas changer, tu ne peux pas prendre ta “curve”, puis tu ne peux pas changer de pneus, puis tu es réellement un “petit cul” “forever” ! Ça, on appelle ça des vies plates là… La petite vie, la télévision là, c’est ça ! Mais ce n’est pas rien qu’à la télévision qu’il y a la petite vie, on est dedans !
Ça fait que si on n’en arrive pas réellement à voir que c’est nous autres le problème, on ne changera jamais nos pneus, puis si on n’est pas capable d’accepter que des gens nous le fassent voir notre problème, ben là, on a réellement un gros, gros, gros problème. Que tu ne voies pas ton problème tout seul, OK. Mais quand quelqu’un te le montre, puis que tu ne le vois pas, là tu as un gros problème.
Puis vous allez dire : “Bon, ben, si je parle aux plans, les plans vont-ils me l’expliquer mon problème”… ? Pas nécessairement, d’abord ça dépend avec quel plan vous êtes en communication. Si vous êtes en communication avec une entité astrale, probablement qu’elle ne vous le dira pas, parce que l’entité astrale c’est très très cachottier. Une femme qui serait très très jalouse là, puis qui irait dans sa tête, puis qui dirait : “C’est toi qui me rends jalouse là, c’est toi qui me rends jalouse”… ?
Probablement qu’elle vivra du silence intérieurement, il n’y aura pas de réponse, l’entité essaiera de se cacher dans le silence. Puis les entités se cachent dans le silence, puis pas seulement les entités astrales se cachent dans le silence, même les entités de haut niveau. Puis je vais vous en parler de ça, je vais vous faire une conférence un jour sur la cachette là, le fait de se cacher dans le silence. Moi ils essaient ça avec moi de temps en temps, de se cacher dans le silence. Je te dis que je les sors de là, c’est pas long moi “crisse” !
Ça ne nous a pas parlé pendant toute notre vie, là ça commence à nous parler, ça nous rend conscient, puis quand on devient “smart”, puis qu’on commence à réellement les contester, ça retombe dans le silence encore. Je te dis que je leur brasse le cul moi, mon “sacrament” ! Parce que moi je ne traite pas avec eux autres comme vous autres, ce n’est pas de la petite fumée pour moi. Puis ça, ça fait tout partie de casser le caractère inquisitionnel qu’ils ont sur nous autres.
L’Homme devra toujours se méfier des entités, tout le temps. Se méfier des entités ça ne veut pas dire qu’elles n’existent pas, ça ne veut pas dire qu’on ne peut pas parler avec, ça ne veut pas dire qu’on n’a pas une relation avec, une liaison avec. Se méfier des entités, ça veut dire qu’ils ont un agenda différent de nous autres. Ils ont un agenda en opposition avec notre corps de désir. Ils sont là pour nous faire évoluer eux autres – on parle des hautes entités là – ils sont là pour nous faire évoluer.
Nous autres, on est là pour les dominer. Puis dominer notre vie, ça veut dire se dominer soi-même. Quand tu domines ton entité, c’est parce que tu te domines toi-même, tu domines les aspects de ta personne qui ne sont pas intelligents. Si l’Homme dominait les aspects de sa personne qui ne sont pas intelligents, l’Homme ipso facto dominerait l’entité en lui, même l’entité de haut niveau. Ça fait qu’à ce moment-là, vous vous sauriez intelligents, vous vous sauriez en vibration de conscience, vous vous sauriez en volonté, vous vous sauriez ceints (entourés) de votre propre Lumière.
Puis vous auriez de la communication avec l’entité dans la mesure où ça fait votre affaire, puis vous sentiriez de moins en moins la domination de l’entité, donc son caractère inquisitionnel. Pourquoi ? Parce que son job serait fait, serait fini. Mais se méfier de l’entité, c’est probablement la chose la plus difficile à l’Homme parce qu’on a tendance à les percevoir comme étant des êtres bénéfiques, mais dans le sens humain du terme. Ils ne sont pas bénéfiques dans le sens humain du terme, ils sont bénéfiques dans le sens cosmique du terme, ce n’est pas pareil !
Aucune entité n’est bénéfique à l’Homme dans le sens humain du terme, astrale encore pire ! Une entité de haut niveau comme un ajusteur de pensée, c’est la même chose, n’est pas bénéfique dans le sens humain du terme, mais dans le sens cosmique du terme. Le côté humain de la relation doit être développé et amené sous le contrôle de l’Homme. Et ça, ça fait partie du pouvoir de brisure du caractère inquisitionnel de l’entité.
Ça, on appelle ça la fusion, l’intégration de la fusion, pas rien que la fusion, l’intégration de la fusion, l’équilibre entre l’Homme, entre le mortel puis l’entité. Ça, c’est l’évolution, ça fait partie de l’évolution, ça fait partie de l’évolution et du développement d’une race mentale, c’est-à-dire d’une race qui comprend parfaitement les mystères de l’Homme. L’Homme doit connaître parfaitement son mystère.
L’Homme connaîtra parfaitement son mystère, mais il faut qu’il se libère une fois pour toutes de l’affection, la moindre affection qu’il peut avoir pour une entité. Parce que pour une entité, l’affection humaine c’est encore une forme de spiritualité, alors qu’un être humain techniquement doit être très, très, très froid par rapport à une entité, c’est-à-dire ne lui offrir aucune émotion, aucune spiritualité, aucune faiblesse involutive. C’est une faiblesse pour une entité, la spiritualité. Je parle d’une entité cosmique là.
Puis quand on est en contact avec eux autres là… Je vous donne un exemple pour expliquer parce que ça devient un petit peu trop subtil. Supposons qu’un Homme a un contact avec une entité, puis il va dire : “Bon, ben, j’aimerais ça gagner à la loterie la semaine prochaine”. Je vous donne un exemple stupide pour expliquer simplement le problème. Puis la semaine prochaine, le gars il gagne à la loterie, je ne sais pas… Il gagne soixante-quinze-mille piastres ! La réaction instantanée de l’Homme, à cause de sa spiritualité, ça va être de dire : “Wouaaa ! T’es bien fin, je te remercie”. On peut aller même jusqu’à les remercier !
Dans l’involution on remerciait Dieu, dans l’évolution aujourd’hui, on peut même remercier une entité. Ça, ça fait encore partie de notre conscience spirituelle, tandis qu’un Homme qui est bien, bien, bien, bien avisé, qui connaît les lois occultes, va dire : “Mange d’la marde, il n’y a rien là, tu me le dois, mon plein d’marde”… Comprends-tu ce que je veux dire ? Je vous donne un exemple là, pour expliquer le fait qu’il ne doit pas y avoir d’émotion entre le mortel et l’entité, parce que l’émotion, ça fait partie de la subjugation des forces de l’âme au pouvoir de l’Esprit.
C’est un corollaire de ce qu’on appelle l’inquisition occulte contre l’Homme, puis testez-les, “checkez-les” avec eux autres après, ils vont dire : “Tu as entièrement raison”. Jamais je les remercierai, moi ! Qu’ils “mangent d’la marde” (qu’ils aillent se faire foutre), je les hais assez que, rien qu’à y penser, je change ma vibration. Jamais je les remercierai. Ça, c’est l’involution ça ! Ça, c’est le temps pendant lequel… Les années, les siècles pendant lesquels l’Homme était “petit cul” devant la création. Qu’ils “mangent d’la marde” !
Excusez là, si ça va en France ! (rires du public). C’est pour ça qu’il y a bien du monde, il y a beaucoup d’ésotéristes, puis de gens qui s’occupent des sciences occultes qui ne sont pas contents de moi, parce que je ne suis pas fin, t’sé ! Je suis allé dans une librairie dernièrement, je suis rentré là-dedans là, il y a de l’encens là-dedans là, des “gring-gring”, des triangles, des pyramides… “Sacrament”, tu rentres là-dedans là, je te dis que tu les vois les entités, elles sont toutes assises ! (rires du public).
J’ai dit : “Je ne pourrai jamais rentrer mes livres là-dedans, je vais énerver tout le monde”. Puis c’est réellement des places où mes livres devraient rentrer, ça fait que je ne les rentre pas mes livres. Et c’est onctueux là-dedans ! Puis ça touche à bien des régions. Il y a une petite femme, je ne peux pas vous dire où là, il y a une petite femme qui a un magasin, elle vient d’ouvrir un magasin d’aliments naturels là. La spiritualité, elle abonde tellement là, ça sort de ses oreilles, c’est incroyable !
Puis quand tu rentres dans le magasin là, les yeux s’allument : “Bonjour mon p’tit monsieur”. Moi, je ne dis rien… “Bonjour mon p’tit monsieur”… ! Puis là, elle me sert de ce que je veux là, puis quand je pars, elle me dit : “Belle journée magique”… ! Je me retourne de bord !… “Belle journée magique”… ! Puis je ne peux pas lui dire, parce qu’il ne faut pas que je lui parle, c’est sa vie, c’est sa vie, puis je ne peux pas lui donner de chocs ! Mais c’est abominable ! Ça fait que ce monde-là, ils sont bien fins, mais il faut pas trop les brasser !
Je dois être bien satanique pour eux autres, je dois être abominable. Bernard de Montréal ? Ah ! Ça, ça les énerve. Pourquoi ? Parce que je leur enlève tout ça qui nous a sucé pendant des siècles, puis des siècles, puis des siècles, puis des siècles. Il va falloir un jour que l’Homme lui-même, individuellement, se sorte du système. Il n’y a personne qui va vous sortir du système, il faut que vous sortiez du système.
Alors ne vous demandez pas pourquoi est-ce qu’on est très très dominé par les entités, puis qu’on a de la misère à les contrôler, contrôler notre vie, ils sont très inquisitionnels quand on les connaît, parce que ça fait partie de notre aveuglement. (S’adressant à un participant) : “Toi, tu donnes des conférences, hein, rends-tu les gens conscients de ça dans tes conférences”… ? C’est bien important les gens comme vous autres qui donnez des conférences. Si vous devez donner des conférences à du monde, puis que vous avez déjà le pouvoir de la parole, il faut que vous soyez capables vous-mêmes aussi, de prendre conscience de tout ça pour aider l’Homme à se libérer des plans.
(Intervention d’un participant).
BdM : Effectivement, par contre il faut que vous soyez conscient de ces éléments-là pour… C’est évident que vous ne pouvez pas aider le monde plus qu’il s’aide, c’est évident, mais il faut que ça fasse partie de votre conscience, ça. Parce que si vous êtes des grands êtres, puis si vous avez une parole, puis si vous avez une belle conscience, il faut que cette conscience-là soit utilisée à son maximum, et ça, c’est pour libérer l’Homme. Pour libérer l’Homme. On a été trop dominé !
Puis on est chanceux au Québec, on a des gens comme lui, il y en a certainement d’autres qui sont capables de parler en public, puis d’amener, de rendre l’Homme conscient des trappes occultes. Il n’y en a pas assez de monde qui le font. C’est un petit pays le Québec dans le monde. L’inquisition des entités, ça fait partie de quatre plans ! Ça fait partie du plan astral, ça fait partie du plan mental, ça fait partie de la vision de ce qu’on appelle les mondes célestes, puis ça fait partie de la domination des Intelligences qui sont en relation avec l’Homme depuis l’incarnation et le début des incarnations. Ça fait que ça va très loin !
Le phénomène du mal, de la souffrance sur la Terre, le phénomène luciférien, satanique sur la Terre, le phénomène de l’amour non compris, le phénomène de la spiritualité sur la Terre, la condition existentielle planétaire du globe terrestre, le manque d’Intelligence universelle, cosmique, intégrée sur la Terre, est tellement vaste, tellement vaste que, jamais dans l’histoire physique de notre monde, l’Homme deviendra parfaitement libre. Ça ne se produira jamais, ça se produira sur les autres plans.
Et ce que l’Homme vit présentement, ce que l’Homme vit depuis des siècles, ce que l’Homme vivra avec les siècles à venir, ça sera simplement l’ajustement du taux vibratoire de sa conscience, de sa conscience planétaire, c’est-à-dire l’ajustement des forces de l’âme pour en arriver éventuellement à pouvoir bénéficier d’une intelligence qui est finalement libérée du connu. “Libérée du connu”, ça veut dire quoi ? Ça veut dire, libérée de ce que vous sentez.
Pas rien que le connu intellectuel, mais ce que vous sentez en tant qu’êtres, parce que ce que vous sentez en tant qu’êtres par rapport à l’invisible, vos réactions humaines, viscérales, émotionnelles, spirituelles, par rapport à l’invisible, ça fait partie du connu. Ça fait partie de ce que vous avez déjà expérimenté. Ça fait partie de ce que l’Humanité a déjà expérimenté, et l’Homme doit un jour se sortir complètement du connu, c’est-à-dire s’exorciser littéralement, littéralement du lien affectif qu’il exerce avec les entités, de quelque niveau que ce soit, à travers son émotion, c’est-à-dire sa conscience spirituelle.
À partir de ce moment-là, l’Homme deviendra libre et il deviendra un exécuteur au lieu d’un exécutant, c’est-à-dire que lui, écrira sur la Terre, même dans son corps matériel, les lois cosmiques de la vie et les dispositions nécessaires pour l’Humanité à venir, en tant qu’individu, pour l’Humanité à venir, comment vivre, comment exprimer sa conscience, comment exprimer sa science et comment finalement rivaliser avec le monde astral, donc avec le plan de la mort !
Quand ce sera réglé ça, l’Homme sera libre, l’Homme aura une conscience morontielle et l’Homme ne retournera plus à la chair, et l’Homme n’aura plus besoin sur le plan matériel de la Terre, de vivre d’expériences. Mais pour ça, ça va lui demander une volonté infaillible, basée dans sa capacité de ne plus subir la domination des entités qui est réfléchie dans la caractéristique inquisitionnelle de leur mandat.
Elles sont toutes pareilles, il n’y en a pas une “crisse” d’entité qui n’est pas de même… (mini-coupure)… (Reprise en cours d’enregistrement) (…) Pas les erreurs des anciens initiés parce que les anciens initiés ont eu sur la Terre des mandats très importants à vivre et à faire, et à exécuter, mais l’erreur de l’Humanité, l’erreur des initiés en tant qu’êtres cosmiques sur une planète expérimentale, ça a toujours été d’établir avec les plans parallèles, des mécanismes de disposition qui favorisaient la présence de l’entité au-dessus de l’Homme.
Et ça, ça a créé les religions, ça a créé les spiritualités, ça a créé les affections que l’Homme a pour les mondes parallèles, pour les forces occultes, pour les Anges, pour les Guides spirituels, pour toute cette “gang” d’entités là, dont on ne connaît même pas encore aujourd’hui le mandat cosmopolitique sur la Terre. Autrement dit, on n’a aucune idée de ce que ça veut dire le terme : “Guide spirituel” ou ce que ça veut dire le terme : “Ange ou Archange” dans le “lexiqum” (lexique) fondamental de la politique cosmique universelle locale.
Si on le savait, si ça faisait partie de notre science, probablement que l’Homme instantanément serait détruit dans son corps physique et serait obligé de passer dans un autre temps, dans un autre espace, et venir en contact avec des Intelligences dont on n’est pas prêt encore aujourd’hui à reconnaître l’existence. Il faut que l’Homme en arrive un jour à constater par sa vibration, par sa parole, par sa science, que la nature des mondes n’est pas analogue à sa conception spirituelle, à sa conception imaginaire, que les mondes font partie de ce qu’on appelle les attributs matériels de la Lumière et que tous les mondes, à quelque niveau qu’ils soient, sont une évolution plus rapide que le monde qui, déjà, en pense la nature.
Ça veut dire ça, qu’un Homme qui pense à quelque chose, un Homme qui pense à un monde, un Homme qui pense à des entités ou à des intelligences, un Homme qui pense à des civilisations, déjà quand il pense à elles, ces civilisations-là sont déjà dans un autre temps. Un petit peu comme les astronomes réalisent que quand ils voient la Lumière, déjà les étoiles sont éteintes. Comprenez-vous ce que je veux dire ?
Et quand l’Homme comprendra ça, commencera à comprendre ça, puis commencera à saisir ça, l’Homme s’apercevra que la connaissance n’a aucune valeur pour lui, autre que si elle est vibratoire. Si elle est intellectuelle, si elle est dans une forme, si elle est contenue par un concept, elle fait partie de ses appétits humains, elle ne fait pas partie de sa puissance créative.
Si elle est vibratoire, elle est infinie, et elle est la somme totale de sa puissance et elle représente dans son expérience matérialisée, le statut universel de son être multidimensionnel, et dépendant de l’Homme, dépendant de son statut, dépendant du temps dans lequel il vit, dépendant de sa vibration, dépendant du niveau d’incarnation dans lequel il existe, dépendant de son niveau de matérialité ou d’immatérialité, cet Homme-là est déjà dans un autre temps. Bye ! (Applaudissements).
mise à jour le 23/06/2024