CP-183 Ouverture des circuits universels [fr]

CP-183 Ouverture des circuits universels

“Avec l’évolution de la nouvelle conscience humaine sur Terre, l’être humain pourra jouir de l’ouverture des circuits universels avec sa conscience. Les circuits universels sont des commandes télépathiques permettant à l’Homme ou à des Hommes, sur d’autres …” BdM

 

En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.


Avec l’évolution de la nouvelle conscience humaine sur Terre, l’être humain pourra jouir de l’ouverture des circuits universels avec sa conscience. Les circuits universels sont des commandes télépathiques permettant à l’Homme ou à des Hommes, sur d’autres planètes, de communiquer entre eux par voie de la conversation, à un niveau supérieur de conscience mettant en action des facultés jusqu’ici fermées, cachées, facultés qui font partie de l’activité électrique du cerveau éthérique de l’Homme.

L’être humain ne possède pas simplement un cerveau matériel. Il n’est pas simplement capable de vivre une pensée subjective, c’est-à-dire une pensée dont les circuits ne vont pas plus loin que ceux qui sont utilisés par le plan astral. L’Homme a nettement la capacité de communiquer avec les circuits universels, c’est-à-dire qu’il a la capacité d’entrer en communication télépathique au-delà du plan astral, c’est-à-dire avec les mondes du mental, de la lumière, ces mondes qui font partie de l’organisation cosmique des univers locaux et des univers beaucoup plus vastes que nous retrouvons au-delà de notre système solaire.

Mais pour que l’Homme puisse bénéficier de la communication avec ces circuits universels, il lui faudra pouvoir élever le taux vibratoire de sa conscience mentale, c’est-à-dire qu’il lui faudra pouvoir d’abord prendre conscience de la limitation psychologique de son moi, c’est-à-dire de l’incapacité chez lui de transposer sa conscience sur un plan d’action créative qui nécessite une dépersonnalisation totale de sa faculté de pensée subjective.

L’être humain est un être nettement capable de communiquer avec des niveaux d’intelligence supérieurement organisés et supérieurement évolués que ceux avec lesquels il a traité pendant l’involution, ceux qui font partie de ce que nous appelons le monde de la mort ou le monde de l’astral. Il a en fait la capacité d’entrer en communication avec des intelligences extrêmement évoluées et le fait d’être en communication avec ces intelligences, naturellement, lui permettra de jouir d’une plus haute intelligence, c’est-à-dire d’une plus haute faculté psychique qui remplacera, au cours de l’évolution, la faculté purement mentale, intellectuelle et subjective de son moi planétaire.

Ceci est une nouvelle avenue de l’évolution. Ceci permettra que l’Homme, finalement, ait accès à une banque d’informations concernant autant la matière que l’invisible, autant les systèmes planétaires que les systèmes sidéraux. Ceci permettra à l’Homme, éventuellement, surtout lorsqu’il aura accès à la conscience éthérique de son mental, de pouvoir se déplacer en esprit en dehors de son corps matériel, et de visiter des mondes qui sont très loin, spatialement parlant, du monde matériel auquel il appartient.

L’évolution de la conscience humaine est une évolution majeure dans l’évolution totale de la galaxie. Elle est majeure parce qu’elle promet que l’être humain, éventuellement, pourra avec très grande facilité participer à l’activité créative des mondes supérieurement organisés et ainsi bénéficier sur sa planète de cette activité créative. Mais le prix, naturellement, sera très lourd parce que l’Homme se verra obligé de transcender sa nature humaine, c’est-à-dire de dépersonnaliser complètement la réserve d’informations à laquelle il a accès et qui fait partie de l’organisation planétaire de sa mémoire égoïque.

L’être humain de la prochaine évolution découvrira, à un certain point de son évolution, la grandeur systémique de la création des mondes créés et des univers en évolution. Et cette réalisation lui apportera une très grande joie dans le mental c’est-à-dire finalement, une réalisation que la vie est très vaste, que le mental de l’Homme est très vaste et alors, que la conscience humaine aussi est très vaste. C’est cette réalisation qui en fait permettra à l’Homme de commencer réellement à étudier les lois occultes de l’univers, les lois cachées de l’univers, lois qui lui permettront de découvrir les principes de vie à tous les niveaux de la création jusque sur le plan matériel.

Pour que l’Homme découvre la nécessité, éventuellement, d’entrer en communication avec les circuits universels, il lui faudra d’abord réaliser la nature imparfaite de son mental et aussi prendre conscience du blocage systématique qui existe sur le plan mental de sa conscience égoïque à cause des forces astrales en lui qui n’ont pas avantage, pour le moment, de lui donner la liberté d’expression, parce que ces forces, encore, doivent se nourrir de sa pensée subjective afin de maintenir l’équilibre dans leur propre monde parallèle.

Mais les clés à l’ouverture des circuits universels sont déjà sur la Terre. La descente de la conscience supramentale a déjà ouvert la porte vers l’infini et l’Homme, au cours de la prochaine évolution, pourra avoir accès à des données, à de l’information concernant la structure psychique de son moi, information qui lui permettra finalement de réaliser le grand rêve de l’Homme : celui qui lui permettra d’être en communication télépathique avec les différents paliers de la création et, en même temps, qui lui permettra éventuellement de visiter ces mondes à partir du mouvement de sa conscience éthérique.

Pour que l’Homme conscient réalise l’importance de l’activité communicative sur les plans universels, il lui faut absolument comprendre que ses pensées, aujourd’hui, sont extrêmement limitatives, et que pour évoluer plus loin dans la compréhension systémique de la création, il doit prendre conscience, c’est-à-dire réaliser que derrière ses pensées subjectives, existe toute une panoplie de forces en activité qui travaillent contre sa libération, contre sa liberté, en utilisant, à un niveau ou à un autre, différentes facettes du mensonge cosmique, c’est-à-dire de ces mécanismes occultes faisant partie de la conscience planétaire de l’Homme, mais aussi de la conscience invisible qui travaille à travers l’Homme sur le plan mental, en utilisant la totalité de sa mémoire, surtout cette mémoire qui est défigurée par l’émotivité et qui l’empêche de prendre conscience de sa propre lumière, c’est-à-dire de son propre pouvoir.

Il est évident que l’évolution future de l’Humanité représentera pour l’Homme une lutte contre le monde de la mort, lutte qui, éventuellement, permettra à son esprit de prendre sa place dans le cosmos, c’est-à-dire cette place qui permettra naturellement à l’être humain, sur le plan matériel, de totalement bénéficier du concours de son esprit dans son mouvement universel et éternel sur les différents plans et à travers les différents mondes de la création.

Ce n’est pas parce que l’Homme n’est pas capable de voir son esprit qu’il ne puisse pas bénéficier du mouvement de son esprit à travers les royaumes et les régions extrêmement vastes et infinis de la totale organisation systémique des mondes en évolution. L’être humain doit prendre conscience, au cours de la prochaine époque, d’un besoin profondément humain de percevoir en lui-même l’infinité qui n’est, en réalité, que le mouvement sans fin de son esprit à travers les différents espaces-temps qui concourent à la division des plans et à la séparation des mondes dans l’invisible, au-delà de la matière.

Lorsqu’un être humain se demande une question ou demande une question à son esprit, à son double, il doit recevoir une réponse. Autrement dit, le double n’empêchera jamais l’être humain de recevoir une réponse, au contraire. Que cette réponse soit conditionnée par le double, dans ce sens que le double en limite l’effusion, c’est normal, parce que l’être humain, à cause de sa nature émotive, ne doit pas savoir au-delà de ce qu’il peut supporter de savoir. Ceci est intelligent, ceci est normal, ceci est naturel. Mais que l’être humain se demande des questions profondes, des questions de vie, des questions de mort, des questions d’évolution, des questions d’Homme, c’est normal et il doit avoir réponse à ses questions, ceci fait partie de la normalité de la vie.

Si l’être humain ne peut pas avoir de réponse à des questions profondes, c’est parce que les forces astrales, en lui, contrôlent, interfèrent avec le mouvement évolutif de sa conscience, interfèrent avec le mouvement naturel de son esprit, donc interfèrent avec la conscience de l’Homme. Et ces forces, quelque part dans le temps, sur le plan personnel, doivent être neutralisées.

Nous avons donné des clés pour la neutralisation de ces forces. Nous avons même donné à une personne autre que nous-mêmes la capacité d’interpréter avec une grande précision l’information venant de l’astral, afin de faciliter notre travail, afin de permettre que d’autres, dans le temps, puissent travailler à une même échelle. Donc il existe déjà, sur le plan matériel, suffisamment de science, suffisamment d’information et aussi suffisamment de relations étroites entre l’Homme et le plan de l’esprit pour que nous puissions, dans l’avenir, bénéficier d’une science mentale étroitement liée avec le pouvoir de la lumière de l’Homme, au-delà des activités retardataires du monde de la mort, à quelque niveau que ce plan soit.

La communication de l’Homme avec les circuits universels est essentielle à la survie de l’Humanité. Elle est essentielle à l’évolution de l’Homme, elle est essentielle à la descente sur la Terre d’une science cosmique, elle est essentielle au contact de l’Homme avec des intelligences telles que lui, qui évoluent dans d’autres plans et dans d’autres mondes de la galaxie. Autrement dit, elle est essentielle à l’évolution de la totalité des systèmes puisque tous les systèmes sont intégralement reliés les uns aux autres.

L’évolution de la Terre est un des derniers aspects de l’évolution des systèmes et aucune force astrale ne pourra empêcher que l’Homme, un jour, sache où il en est vis-à-vis l’évolution de sa conscience, vis-à-vis l’évolution des mondes du cosmos, vis-à-vis la nature de l’invisible, vis-à-vis les différentes formes de vie qui évoluent sur différents plans, formes qui, sur les plans supérieurs, ont accès à la matérialité par matérialisation.

Donc le temps de l’involution est arrivé à un terme, dans ce sens que l’Homme sur la Terre aujourd’hui commence sa montée évolutive, que l’Homme sur la Terre est en train de retourner à la source, et pour ce, l’Homme doit commencer à pouvoir facilement communiquer avec les circuits universels, c’est-à-dire à pouvoir bénéficier d’une très vaste connaissance d’où il pourra puiser l’information nécessaire à la compréhension des lois invisibles qui sous-tendent l’organisation de sa corporalité.

Nous entrons dans un temps, dans une phase, dans une période, où l’être humain ne sera plus enchaîné. Mais là où l’être humain est enchaîné, c’est dans son mental. Donc c’est dans le mental de l’Homme que doivent se faire les premiers travaux, pour qu’il puisse se reconstituer une totalité, pour qu’il puisse découvrir son réel personnage, et finalement commencer à progresser sur les sentiers de l’évolution ; sentiers qui l’amèneront très loin dans le temps et aussi qui lui permettront de découvrir, au cours de sa vie, que la nature de la vie est réellement extraordinaire, et qu’elle dépasse de plusieurs lieux la moindre ou la plus osée des sciences-fictions.

Il est temps que l’Homme nouveau prenne conscience des blocages créés dans son mental par l’invisible astral de la mort. Il est temps que ce dernier comprenne ce qu’est la mort et qu’il ne la voit plus comme étant le produit d’une finalité dans l’expérience corporelle. Ceci est une très grave illusion. La conscience de l’Homme doit et devra se perpétuer au-delà de l’activité du corps matériel. Et l’Homme devra découvrir que la relation entre la vie sur le plan matériel et la vie dans l’éther est une relation extrêmement étroite qui le soustrait complètement de l’expérience involutive de la mort.

Mais rien de ceci ne pourra être donné à l’Homme, rendu à l’Homme, tant que ce dernier n’aura pas parfaitement compris, réalisé, que son mental inférieur est à la source de sa limitation, à la source de l’impuissance de sa conscience, à la source de la limitation de son intelligence et aussi à la source de la mort.

Les circuits universels font partie de l’organisation systémique de la création. Ils ont toujours existé, ils existeront toujours. La communication entre les plans est un ordre naturel, mais cet ordre a été dévisagé, défiguré par les entités qui font partie du monde de la mort et qui exercent sur l’Homme une totale domination à travers la coloration de sa pensée subjective. Donc l’Homme doit prendre conscience qu’il est nécessaire, chez lui, d’entraver cette activité astrale et de mettre fin à cette situation d’incapacité psychologique ou d’incapacité créative qui l’empêche d’avoir accès à des réponses intelligentes, créatives et soutenantes pour sa vie matérielle, tant qu’il est sur le plan matériel, tant qu’il n’a pas atteint encore le stage où il puisse évoluer dans l’éther.

Les pensées subjectives de l’Homme doivent être amenées à être dépassées par sa conscience nouvelle. Mais ces pensées ne le seront que lorsque l’Homme aura finalement compris que toute pensée venant vers lui qui ne lui permet pas d’accéder à de l’information réelle et créative est une pensée astralisée, donc contrôlée, quelque part dans l’astral, par une entité avec laquelle il a des liens vibratoires sympathiques. Donc que ces entités soient de haut ou de bas niveau, c’est absolument sans importance.

L’Homme doit être libre et il ne le sera que lorsque son esprit sera libre du monde de la mort, c’est-à-dire lorsque son esprit sera libre de se déplacer dans les éthers des mondes de lumière en dehors de cette sphère astrale et planétaire. Mais pour ce, il faut que l’Homme prenne en main sa propre condition, qu’il évalue sa propre situation, qu’il regarde de très près ses pensées et qu’il puisse aussi mesurer pourquoi et jusqu’à quel point il lui est impossible de recevoir de l’information intelligente qu’il peut facilement évaluer par vibration, afin de comprendre la vie et savoir où il s’en va dans la vie.

Mais l’Homme a été tellement conditionné par le passé, il possède une mémoire subjective tellement vaste et tellement colorée, qu’il n’est pas évident pour lui qu’il ait accès à de l’information qui transcende les sphères astrales de l’involution. Il n’est pas évident à l’ego qu’il ait accès à de l’information telle que la simple révélation, que le simple mouvement de cette information vers lui, ferait déjà de lui un être intelligent.

Nous affirmons aujourd’hui que le phénomène de l’intelligence ou la nature de l’intelligence ou la réalité de l’intelligence chez l’être humain conscient est simplement un mouvement d’énergie de son esprit à travers les plans éthériques de la lumière dans les plans ou dans les mondes mentaux. Autrement dit, nous affirmons aujourd’hui que le phénomène d’être intelligent représente, réfléchit la liberté qu’a l’esprit de se dissocier, de se séparer de l’astral involutif, ni plus et ni moins.

Mais il existe des conditions d’ordre émotif, d’ordre mental, d’ordre énergétique qui font que l’Homme, dans un temps, ne peut pas subir, à cause de son émotivité, à cause de sa mémoire, cette grande descente d’énergie en lui qui ferait de lui, s’il n’était pas préparé, un être incapable d’en supporter la puissance, la décharge. Donc il y a le temps, donc il y a les périodes, les phases de transmutation, mais au-delà de ceci, il y a la liberté de l’Homme.

Mais l’Homme doit regarder sa condition en fonction de ses pensées aujourd’hui. Il doit commencer à s’exercer, à vérifier jusqu’à quel point il peut recevoir de l’information ; vérifier jusqu’à quel point il peut se fier à cette information et, bien précisément, pouvoir évaluer toute information qui lui est donnée, parce qu’il est évident que le monde de la mort se fera passer pour le monde de l’esprit. Il est évident que les entités dans le monde de la mort laisseront croire à l’Homme qui débute naïvement dans la communication télépathique, que ces mêmes intelligences sont ou représentent son double, son esprit, sa réalité dans les mondes de la lumière. Et l’Homme doit pouvoir voir à travers ce jeu : rien ni personne ne peut le faire pour lui. Il ne peut qu’utiliser les outils qui lui sont donnés aujourd’hui, de par l’instruction de la conscience supramentale, afin de se protéger parfaitement contre les subtils voiles du mensonge cosmique dont ces intelligences, ces entités sont maîtres dans l’utilisation, depuis des millénaires.

L’évolution de la conscience supramentale sur la Terre permettra à l’Homme de réaliser que la conscience est en fait une dimension. Elle n’est pas simplement un état. Et lorsqu’il aura réalisé que la conscience est une dimension, il commencera lentement à vivre dans cette dimension. Et à partir de ce moment-là, la conscience ne sera plus simplement quelque chose qu’il vit sur le plan personnel. La conscience reflétera définitivement et avec parfaite authenticité la qualité intégrale de la conscience, de l’intelligence, du mental humain, libre et universel.

Lorsque l’Homme aura réalisé que la conscience est une dimension et qu’elle n’est pas simplement un état, il aura compris combien concret est l’invisible et combien il lui est possible de savoir de choses qui confirment la beauté de l’évolution et la complexité des systèmes qui la sous-tendent. Mais tant que l’Homme ne sera pas arrivé au stage de perfectionnement de son mental à cause de l’activité abrutissante de ses pensées subjectives, il ne pourra pas bénéficier de ce qu’il sait en esprit, de ce qu’il est en esprit et de ce qu’il peut faire en esprit. Donc il ne pourra pas bénéficier, sur le plan humain, de la mobilité de sa conscience, c’est-à-dire de la capacité de sa conscience à se décorporaliser pour entrer en mouvement dans des mondes parallèles où existent de fantastiques niveaux d’évolution de vie et de civilisation.

Il est très important pour l’être humain de comprendre et de saisir objectivement ces paroles, parce que ces paroles ne viennent pas de l’Homme, elles viennent de l’esprit de l’Homme ; ces paroles ne sont pas le produit de la fantaisie psychologique de l’ego, elles sont le produit de la manifestation sur la Terre d’une pensée qui est supramentale, qui n’est pas humaine dans le sens purement planétaire, mais qui est humaine dans le sens cosmique du terme. Donc l’Homme, aujourd’hui, bénéficie d’une façon très minimale d’une science qui deviendra très vaste et qui ouvrira graduellement les portes de l’infinité et qui donneront à l’Homme, éventuellement, la possibilité d’immortaliser sa conscience, c’est-à-dire de se déplacer dans l’éther après l’utilisation finalitaire de son corps matériel.

Mais tant que l’Homme n’aura pas compris la nature de ses pensées et qu’il n’aura pas dépassé la congestion qu’elles créent dans son mental, il ne pourra pas bénéficier des circuits universels, c’est-à-dire qu’il ne pourra pas bénéficier du mouvement de son esprit dans des mondes qui représentent pour lui l’expérience, la science, la maîtrise et la conscience pure.

Une fois que l’Homme vivra un mental épuré, son esprit, dans son propre temps, sera libre d’ouvrir les portes de sa conscience. Et lorsque l’esprit de l’Homme ouvre les portes de la conscience de l’Homme, l’Homme vit sur le plan de son expérience, de son état mental, une pénétration dans les mondes et les plans parallèles. Lorsque l’esprit ouvre à l’Homme les portes de sa conscience, l’Homme voit, l’Homme pénètre, l’Homme rencontre et l’Homme se dissocie totalement de l’ignorance infâme de l’involution et commence à comprendre l’infinité de la vie, c’est-à-dire les mystères qui ont toujours été pour lui la porte close qu’il croyait découvrir ou pouvoir découvrir, au-delà de la vie matérielle.

Mais ceci est une illusion parce que même dans le monde de la mort, les intelligences, les entités sont incapables de savoir. Elles sont obligées d’évoluer selon une programmation qui fait partie du pouvoir des forces de l’involution sur leur état. Donc même les entités dans le monde de la mort sont englobées par les lois de ce monde, et ne peuvent et ne pourront jamais s’en sortir que lorsqu’elles seront déterminées à rejoindre la matière pour fusionner avec leur propre lumière au cours de l’évolution.

Donc l’Homme aujourd’hui est dans une situation favorable. Il est dans une situation ascendante. Il a la capacité, finalement, de s’instruire de lui-même, de s’instruire de son esprit selon le niveau d’évolution de son propre esprit. Mais l’esprit de l’Homme ne peut rien contre le monde de la mort, parce que l’Homme est un être angoissé. L’Homme est un être qui vit la crainte, l’Homme est un être qui vit constamment une réaction vis-à-vis son esprit, à cause de la manipulation de ses énergies à travers le mental et l’émotion, à partir de cette sphère astrale qui est la mort.

Donc si l’esprit de l’Homme, déjà sur la planète, a commencé à travailler pour instruire l’Homme, il y va de lui de prendre conscience de l’information occulte qui existe sur la Terre et de commencer lentement à regarder sa nature humaine, sa conscience personnelle, sa personnalité, ses pensées subjectives en fonction de cette nouvelle intelligence, de cette nouvelle lumière, de cette nouvelle science, de ce nouveau pouvoir de l’Homme.

Si l’Homme personnellement se refuse, s’il retarde, s’il vit trop en fonction de sa mémoire, cette transmutation, cette évolution sera plus lente et il ne pourra bénéficier que dans d’autres vies de ce qu’il pourrait bénéficier dans cette vie présente. Tout est en relation avec la mécanicité ténébreuse des pensées subjectives. Et une des choses que l’Homme nouveau devra apprendre, c’est celle-là qui lui permettra de contraster son intelligence réelle avec son intelligence subjective, de contraster son intelligence créative contre son intelligence purement réflective et subjective.

Et lorsqu’il aura pris de l’expérience, lorsqu’il se sera graduellement limité dans cette timidité, lorsqu’il aura pris de plus en plus d’espace à l’intérieur de sa propre réalité, il verra que le jeu est très simple, mais que le jeu aussi est très étroit et qu’il sera obligé de se méfier constamment jusqu’au jour où il sera absolument certain de ce qu’il sait, de ce qu’il dit, de ce qu’il est et de ce qu’il sera.

La mort utilise les habitudes de pensée, les courants de pensée, pour garder l’Homme dans l’impuissance, pour le forcer à toujours retourner d’une façon référentielle, intuitive, à sa programmation mémorielle. La mort retourne toujours l’Homme à la mémoire. La mort utilise toujours la mémoire, et les habitudes de l’Homme sont les traces utilisées par la mort pour le garder en relation étroite avec cette mémoire qui est mécanique, planétaire, involutive, retardataire et qui bloque le mouvement de son esprit à travers son ego, sa lentille.

L’Homme apprendra à se méfier totalement de ce que l’on dit, totalement de ce qui est dit dans le monde, totalement de ce qui est rapporté dans le monde. Il sera obligé de ne vérifier sa connaissance, son savoir qui est universel, que par lui-même et en relation avec d’autres qui, comme lui-même, ont atteint un niveau d’évolution, de mental supérieur, afin de faire descendre sur le plan matériel une science créative de l’invisible.

Donc l’Homme doit apprendre à se libérer de ses attitudes et de ses habitudes mécaniques qui font de ses pensées un jeu pour les entités dans l’invisible. Et ces entités utiliseront ce jeu jusqu’à la dernière minute. Elles feront tout pour empêcher que l’Homme sache, parce qu’il y va de la domination de son esprit et de l’empêchement sur la Terre que l’Homme, un jour, soit suffisamment libre pour traiter lui-même de son évolution.

Et ceci, sur le plan personnel, c’est très grave, c’est très sérieux, parce qu’il y va de la vie de l’Homme, il y va de la vie de l’individu, il y va de son bonheur, de sa joie, de la plénitude de sa vie. Et l’Homme doit connaître une vie pleine, c’est-à-dire une vie qui n’est jamais interférée, entachée par l’activité subliminale des plans astraux de sa conscience subjective.

Si l’Homme aujourd’hui ne peut pas sentir qu’il est parfaitement bien dans sa peau, qu’il est parfaitement bien dans la vie, que la vie et lui sont étroitement en union, c’est parce qu’il y a en lui de la pollution quelconque, et il doit se donner, se créer la tâche d’investiguer la source de cette pollution, d’en comprendre le pourquoi et de réaliser les mécanismes qui rendent cette pollution insupportable à sa conscience sensible et intelligente.

Le monde de la mort n’est pas simplement un monde qui évolue en dehors de l’expérience de l’Homme ; le monde de la mort est un monde qui évolue par rapport à l’expérience de l’Homme. Donc il évolue par rapport à l’activité mentale et émotive de l’Homme. Et l’Homme doit prendre conscience, sérieusement, de cette condition, parce que c’est à partir de cette étude profonde de lui-même qu’il comprendra finalement les blocages qui ont été exercés pendant sa vie et qu’il pourra finalement se libérer de ces blocages, pour pouvoir commencer à vivre une vie libre qui l’amènera éventuellement à constater que l’invisible éthérique est plus près de la Terre qu’il ne le croit, et que ce même invisible fait partie du monde ou des mondes qu’il devra un jour visiter dans le but de faire connaître à l’Homme de la Terre une science nouvelle qui donnera en retour, à l’évolution de notre planète, une très grande expansion.

Le concept de la conscience supramentale est un concept nécessaire pour nous permettre de comprendre les aspects fondamentaux de la vie. Mais la conscience, que nous lui donnions quelque nom que ce soit, représente dans le fond, un mouvement de l’esprit de l’Homme, mouvement auquel l’ego, éventuellement, pourra participer au-delà de sa sensorialité mécanique. Donc le terme “conscience” ne veut pas simplement dire un état plus évolué, plus spirituel, plus sensible de la réalité. Le mot conscience, dans sa finalité, veut dire passage pour l’Homme d’un plan à un autre, donc passage d’une dimension à une autre, passage d’un espace-temps à un autre.

Et ceux qui vivent sur le plan simplement de la conscience psychique, ceux qui vivent simplement sur le plan de la conscience réflective, ne connaissent pas ce que veut dire “conscience” réellement. Ils n’ont pas d’idée de l’aspect concret de la conscience. Ils ne réalisent pas profondément que “conscience” veut dire mouvement de l’Homme à travers les sphères de la création, que ces sphères soient matérielles ou qu’elles soient invisibles. Et le tout de cette conscience est directement relié aux blocages psychologiques créés par ses pensées subjectives.

Donc l’Homme doit aujourd’hui commencer à évaluer ses pensées, commencer à contester ses pensées, commencer à forcer l’astral à rebrousser chemin. Il doit commencer à pouvoir mettre en œuvre, dans son mental, une force créative émanant de son esprit, de son double, qui lui permettra, éventuellement, de conquérir l’astral et finalement d’en sortir pour pouvoir bénéficier de sa fusion.

Et une fois que l’Homme connaîtra la fusion, sera dans un état de fusion, l’éther, l’expérience de sa conscience dans l’éther sera présente et il commencera à connaître l’infinité des mondes parallèles. C’est à partir de ce moment-là que l’Homme sera réellement un scientifique et sera réellement un être créatif et que la vie telle qu’il l’a connue n’aura plus jamais, pour lui, de conséquences. C’est là que l’Homme vivra à un autre niveau et que l’on dira qu’il est et qu’il partage la vie. Donc l’Homme doit sortir de son cocon, c’est-à-dire qu’il doit sortir de cette sorte de plénitude psychologique qui est en fait une limitation, pour entrer dans une plénitude réelle qui est à la mesure de sa capacité de percer à travers les voiles épais de sa pensée subjective.

Il doit finalement reconnaître que la vie de la conscience réelle et supramentale n’est pas simplement un roman feuilleton, mais que cette vie est effectivement une nouvelle étape dans la conscience de l’Humanité et qu’elle représente ce que l’Homme a toujours rêvé d’être, c’est-à-dire libre de la mort, de ses conséquences, de ses teintes qui, sur le plan de l’expérience, lui ont toujours donné ou créé une mesure limitative de son être. L’Homme doit un jour sentir qu’il n’a pas de limites. Et tout ceci est en fonction de sa capacité de bien regarder la nature de ses pensées et d’arrêter l’action dévastatrice de ses pensées subjectives, mais de le faire d’une façon réelle et non pas simplement d’une façon curieuse ou simplement philosophiquement investigatrice.

Il ne s’agit pas pour l’Homme d’investiguer philosophiquement l’invisible ; il s’agit pour l’Homme de pouvoir un jour y pénétrer. Il ne s’agit pas pour lui de traiter avec l’invisible pour en retirer une sorte d’information ; il s’agit pour lui d’arrêter, de mettre un frein à l’activité de l’invisible astral de sa conscience pour qu’il puisse ensuite bénéficier d’une expansion de conscience, c’est-à-dire d’un mouvement plus régularisé de son esprit avec son ego, mouvement que l’on appellera alors la fusion de sa conscience.

Elle est là la destinée de l’Homme – de l’Homme individuel – et elle sera là demain, au cours de la septième race-racine, la destinée de l’Humanité. Ceci fait partie des choses qui doivent prendre place dans notre système solaire. Autrement dit, aujourd’hui nous essayons de faire comprendre à l’Homme nouveau que l’évolution de la conscience supramentale est quelque chose de concret, quelque chose de très très concret, beaucoup plus concret qu’il ne puisse se l’imaginer, quelque chose qui va au-delà de son expérience matérielle, mais qui est directement relié avec l’harmonisation des forces dans sa vie matérielle.

Il n’y a plus pour l’Homme nouveau de voie autre que la percée à travers l’astral. Il n’y a plus d’autre voie, d’autre sentier pour l’Homme nouveau que la conquête de la mort. Il n’y a plus pour lui de recherche spirituelle. La vie de l’Homme, sans parler de sa conscience, est beaucoup trop importante pour la vie du cosmos, l’évolution du cosmos et l’intégration des différents niveaux de vie, pour que cette vie soit simplement reléguée à un statut d’étude spirituelle et de recherche spirituelle. La vie de l’Homme doit être directement reliée à la conquête totale du pouvoir de la mort à travers son mental. Et nous possédons aujourd’hui les outils pour le faire.

mise à jour le 20/06/2024

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