CP-146 L’Homme entre dans la liberté de l’intelligence
“Lorsque l’Homme entre dans la liberté de l’intelligence, il apprend graduellement à se libérer des influences astrorythmiques de sa planète. L’être humain, de par sa composition, est sujet à l’influence des forces astrorythmiques de la planète Terre et …” BdM
En Français vous lisez la transcription manuelle de la conférence de BdM, dans une autre langue la traduction par une intelligence artificielle (AI) de cette transcription manuelle, donc le résultat est à interpréter avec discernement.
Lorsque l’Homme entre dans la liberté de l’intelligence, il apprend graduellement à se libérer des influences astrorythmiques de sa planète. L’être humain, de par sa composition, est sujet à l’influence des forces astrorythmiques de la planète Terre et il est aussi assujetti aux forces astrorythmiques qui font partie de l’organisation du système local et même des systèmes extérieurs.
Lorsqu’il devient conscient, et qu’il entre dans la liberté de son intelligence, le pouvoir rythmique de ces forces commence à diminuer et l’Homme s’aperçoit, au cours des années, que la courbe des montées et des descentes de ces énergies, tend de plus en plus à manifester une caractéristique continue, égale, où les maximums et les minimums se neutralisent pour donner à l’Homme, enfin, une caractéristique de vie, qui est régie par son mental, son intelligence, et de plus en plus libre des situations biopsychiques de son environnement, de sa planète.
Une telle libération, pour l’Homme, est essentielle, parce qu’elle représente un jeu de force, de circonstances, d’évènements, plus ou moins discernables à partir d’une mentation inférieure. Et ce jeu de force occasionne, chez l’être humain, des vicissitudes dans la vie, qui ont pour effet de diminuer sa concentration, neutraliser le pouvoir de sa volonté et aguerrir, d’une façon aiguë, les aspects neurologiques de son organisation matérielle.
Lorsque l’Homme entre dans la liberté de l’intelligence, il s’aperçoit, avec le temps, que les forces astropsychiques de sa planète, demeurent toujours présentes dans sa vie, mais qu’elles ont de moins en moins d’empoigne sur la vie de l’Homme conscient, parce qu’il a l’habileté, à ce stage, de déchiffrer le mouvement vibratoire de ces forces, à travers son corps émotionnel, son corps mental inférieur.
Donc l’Homme se voit, de plus en plus, dans une position de conquête, vis-à-vis des forces de vie. Et il commence lentement à prendre conscience de sa liberté, c’est-à-dire de cette capacité interne et extrêmement occulte de l’Homme, à déjouer la programmation actuaire de ces forces, la programmation astrologique de ces forces, et de s’instruire lui-même de la direction, de l’action qu’il doit prendre pour neutraliser leur effet, et ainsi continuer à demeurer au-dessus des conséquences possibles de l’activité de ces forces, s’il était inconscient de leur nature.
Pour l’Homme qui devient libre dans l’intelligence, autrement dit qui devient de plus en plus capable d’exercer l’intelligence dans sa liberté, la volonté dans sa liberté, ou l’intelligence et la volonté dans sa vie, nous découvrons un être qui commence déjà à posséder un soupçon d’homogénéité dans la construction totale de son psychisme et qui, à la fois, commence à tourner le dos à la programmation planétaire et aux forces nocturnes qui, pour une myriade de raisons, essaient d’obstruer la lumière en lui, essaient d’obstruer la volonté et l’intelligence en lui, afin de prendre, pour elles-mêmes, le contrôle de son centre mental, de son centre émotionnel et d’ainsi conditionner sa vitalité et sa physicalité.
Donc pour l’être qui devient de plus en plus libre dans l’intelligence, il est essentiel de prendre conscience de ces fluctuations dans la vie de tous les jours, et de réaliser que ces fluctuations peuvent être neutralisées, à partir du moment, dans sa vie mentale, où il est parfaitement conscient de leur existence, et parfaitement conscient d’être capable de les neutraliser à la base, c’est-à-dire là où dans sa vie psychique, elles pourraient avoir sur lui un certain contrôle.
Le nouvel initié, l’Homme nouveau, possède un instrument extrêmement puissant, c’est-à-dire qu’il possède la capacité de s’interroger lui-même de la nature de ces phénomènes obscurs qui le convient à l’expérience de la souffrance. Il a la capacité de démasquer d’une façon froide et immédiate, et de façon créative, cette mécanique psychique qui formule l’action, et la mentation, et l’émotion de l’Homme, et qui lui enlève le privilège d’exercer sur la Terre le droit d’être libre.
Mais le nouvel initié doit apprendre à comprendre les technicalités vibratoires de son intelligence, s’il veut concrétiser, dans sa vie, le pouvoir de cette même intelligence, le pouvoir de cette même volonté, qui sont siennes, pour neutraliser les forces biorythmiques qui constituent le médium astral de la conscience planétaire.
Quelles sont ces technicalités de l’intelligence créative ? Elles sont simples, mais elles sont subtiles. Elles font partie de l’invisible mental de l’Homme, elles font partie de la capacité égoïque de l’Homme à traverser le mur de la pensée psychologique, pour commencer à investiguer l’infiniment grand de la pensée créative.
Or, le mur psychologique qui sépare l’Homme de la pensée créative est ce mur qui est constitué de ses habitudes de penser, de ses façons de penser, et qui l’empêche de prendre conscience qu’il possède un outil extrêmement puissant qui puisse le servir dans l’évaluation de la relation entre son ego et sa conscience supérieure.
Par exemple, si je demande à mon double, à mon être : Quelles sont ces forces astrorythmiques ?
Ce dernier me répond que la fonction des forces astrorythmiques, de ces forces occultes et invisibles, sont de représenter la conscience collective de l’Homme, le mental collectif de l’Humanité, filtrées à petites doses, à travers la conscience de l’individu ; ce sont les forces occultes et invisibles de l’Homme collectif, et ces forces sont toujours en activité, elles font partie de l’organisation psychique de l’Humanité, et l’Homme, faisant partie de l’Humanité, doit individuellement les supporter, les vivre, de sorte que l’individu, lorsqu’il est inconscient, participe à cette masse énorme de forces occultes et invisibles qui représente le mental collectif de l’Humanité. Et il se voit déchiré par ces forces, il se voit amené dans la rythmique de ces forces. Et à cause de ceci, perd son droit à la liberté dans l’intelligence.
Il continue et il me dit : Les forces astrorythmiques sont des formes d’énergie qui doivent être épurées par l’expérience individuelle, donc elles impliquent que l’être humain qui les vit, ces forces, est esclave de l’Humanité, c’est-à-dire qu’il est esclave d’une conscience communautaire, d’une conscience collective, et étant ainsi esclave, ne peut pas reconnaître en lui-même, la liberté de son intelligence, la liberté de sa volonté, la liberté dans sa vie et de sa vie .
Observer la phénoménologie de ces forces, c’est une chose, dire que ces forces existent, qu’elles sont vérifiables sur le plan statistique, sur le plan astrologique, c’est une chose, mais continuer à vivre de la biorythmie de ces forces, sans pouvoir les neutraliser quelque part dans le temps, c’est de l’esclavage. Et c’est ici que le chemin se sépare entre la pensée créative supramentale qui opte pour une liberté totale de l’Homme vis-à-vis de ces pulsations biorythmiques, astropsychiques de la Terre, et ceux qui optent pour l’étude comparative de ces forces, l’étude technique de ces forces, sans pouvoir jamais sortir de leur pouvoir d’emprisonnement et de contradiction.
Nous avons tendance à penser, et ceci fait partie de notre aveuglement, que parce que certaines choses dans le cosmos existent, nous sommes obligés, de fait, de les vivre et de les subir. Lorsqu’en fait le but de l’évolution est justement d’amener l’Homme à un contrôle total et parfait de la lumière en lui, d’où jaillit la volonté et l’intelligence, afin qu’il puisse un jour passer à travers l’activité de ces fortes influences, contrôler sa vie, couronner sa destinée, et se donner, en tant qu’être humain, la mission de conquérir l’invisible.
Les forces biorythmiques ou astropsychiques sont la pollution astrale de la Terre, et elles emprisonnent l’Homme dans l’éther mental d’une conscience expérimentale. Ces forces prennent leur source dans l’incapacité de l’être humain à détourner les grands courants cosmiques qui peuvent énergiser toute sa nature et l’amener à se construire un véhicule de lumière et de feu. Ces forces régissent l’involution, organisent ou servent à l’organisation de la programmation individuelle et collective de l’Humanité et sont, somme toute, la totalité de l’impuissance de l’Humanité et de l’être humain.
Le nouvel initié, l’Homme nouveau, la conscience supramentale, tous ces mots représentent la quantification mentale de l’énergie cosmique dans l’Homme et l’application de cette énergie contre l’effet persévérant de ces forces astropsychiques sur le comportement total ou partiel de l’être humain.
La liberté dans l’intelligence va beaucoup plus loin que l’Homme d’aujourd’hui puisse considérer. Elle va aussi loin que la désintégration totale de sa matière, afin qu’il puisse vivre un jour, exécuter un jour, le déplacement à travers le cosmos de sa conscience immortelle. Mais tant que l’Homme n’aura pas conquis le pouvoir rythmique de ces forces, il n’aura pas compris l’étrange affiliation qu’il vit, en relation avec ces mêmes forces et ainsi, il sera obligé de demeurer prisonnier de leur activité.
Les forces astropsychiques de la Terre ne conviennent pas à l’intelligence libre de l’Homme nouveau. Elles ne conviennent pas à la conscience pure du nouvel initié, elles ne sauront jamais pouvoir donner à l’Homme une valeur quelconque de sa vie mentale, émotionnelle, vitale ou physique, parce que la valeur de la vie réelle de l’Homme nouveau se situe au-delà du partage de ces forces dans sa conscience avec les autres forces, plus grandes, en lui, qui sont celles de sa conscience supérieure.
C’est pourquoi la fonction des forces rythmiques, astropsychiques de la conscience planétaire, doit être neutralisée et ce n’est qu’avec le temps, que l’Homme pourra découvrir les secrets internes de sa conscience qui l’amèneront à la dissolution de ce pouvoir énorme que possèdent sur lui les forces astropsychiques de la planète, les forces astropsychiques de l’environnement planétaire, les forces astropsychiques de toute une myriade de systèmes, plus ou moins grands, plus ou moins puissants, plus ou moins pollués.
Lorsque l’Homme aura découvert les technicalités de son intelligence créative, il aura réalisé un grand bond en avant dans son effort de se libérer de ces forces, afin de se donner une vie, sur la Terre, plus libre, plus vaillante et plus créative. Mais la technicalité, ou les technicalités, de son intelligence, qui doivent être découvertes avec le temps, sont de son propre ressort, font partie de sa propre évolution, font partie de sa conscience individualisée.
Il n’y a pas de méthode, il n’y a pas de technique qui puisse amener l’Homme à découvrir, à connaître, à reconnaître les techniques de l’intelligence créative, parce que ces mêmes techniques de l’intelligence créative font partie de sa sensibilité mentale, font partie de la réorganisation psychique et vibratoire de ses centres d’énergie, autrement dit, font partie de sa transmutation, en tant qu’Homme, passant d’un stage de l’involution à un nouveau stage de l’évolution.
Les forces astropsychiques détiennent le pouvoir de transmettre à l’Homme les vibrations inférieures de la conscience planétaire, autrement dit elles ont le pouvoir de transmettre à l’Homme, le mal planétaire et ce mal planétaire doit être compris, et il ne peut être compris qu’en fonction de la technicalité de l’intelligence créative qui est assise sur le roc solide de la sensibilité mentale supérieure de l’Homme à son énergie, c’est-à-dire à sa lumière.
Le mental supérieur de l’Homme est l’outil parfait lui permettant d’entrer en communication vibratoire ou télépathique avec sa propre énergie, et ce n’est que dans le transfert de cette énergie à travers son mental, dans un transfert parfait, que l’Homme peut découvrir la technicalité de l’intelligence créative, c’est-à-dire, la capacité de cette intelligence, de traduire en termes réels, d’exprimer en termes réels, les configurations psychiques, occultes et invisibles de sa structure psychologique humaine, conditionnée par les sphères qui l’entourent, ou la sphère sur laquelle il est en voie d’évolution.
Mais si l’Homme ne possède pas le courage de la perception extrasensorielle à travers le mental, perception qui lui donne la clé, minutieuse, précise de ce mouvement d’énergie astropsychique dans sa vie de tous les jours, il ne pourra jamais voir jusqu’à quel point il est manipulé par des forces qui ont le pouvoir d’éteindre en lui la liberté, et de continuer à le rendre esclave de la condition humaine et planétaire.
L’évolution de la conscience supramentale ne peut pas se dissocier de l’évolution de la liberté, ne peut pas se séparer de l’évolution de la conscientisation de l’intelligence. Et c’est pourquoi l’Homme, éventuellement, l’Homme nouveau, pourra prendre conscience exacte, de l’organisation des mondes invisibles et des énergies qui émanent de ces mondes, énergies qui construisent, dans sa vie, un mur, contre sa liberté d’expression, sa liberté de vie et sa libre évolution future.
Les forces astropsychiques de la Terre ont le pouvoir de donner à l’Homme l’impression qu’il est en harmonie rythmique avec le cosmos, de la même façon qu’elles ont le pouvoir de lui dénoter qu’il est en désharmonie rythmique avec le cosmos. Et dans les deux cas c’est une illusion, parce que bien que l’Homme soit en harmonie ou en désharmonie avec le cosmos, cette condition n’existe que par le fait qu’il ne possède pas une intelligence créative suffisamment éveillée pour traduire en réalité les termes obscurs d’une expérience biorythmique, ou d’une science biorythmique, qui ne fait qu’étaler statistiquement le comportement inconscient de l’Homme, plutôt que d’élever l’Homme au-dessus de la barrière des minimums et des maximums.
Si je demande à mon double : Pourquoi les forces astropsychiques ont une telle puissance sur l’Homme ?
Il me répond : Elles sont programmées dans l’être humain, avant la naissance, et elles font partie de son lien avec la mort. Ceci est très grave. Ceci est très sérieux pour l’Homme. Ceci est très sérieux pour la Terre. Ceci est très sérieux pour la race humaine entière. Et ce n’est qu’au cours de l’évolution future que cette situation, graduellement, individuellement, sera corrigée.
Mais ceux qui, aujourd’hui, commencent dans le monde à prendre conscience d’un autre niveau d’intelligence, ont l’occasion de commencer à veiller à ce que ces forces diminuent en eux, afin qu’ils puissent finalement prendre le contrôle de leur évolution et exercer sur la Terre leur liberté dans l’intelligence, c’est-à-dire leur liberté dans la vie, à travers l’intelligence créative, qui devient de plus en plus puissante, présente, en eux.
Ces forces astropsychiques exercent un si grand pouvoir sur l’Homme parce qu’elles sont faites des matières dont lui est le constructeur, dont lui est aussi la victime ! Et le cercle est totalement et absolument vicieux, de sorte que l’Homme n’a aucune inclinaison à savoir, à comprendre, ou à pouvoir comprendre, que ce qu’il vit sur la Terre n’est que l’expression, sur le plan collectif que, de ce qu’il est, et ce qu’il est n’est pas réel. Donc ce qu’il vit n’est pas réel, donc les forces astropsychiques de la Terre vécues par l’Homme ne sont pas réelles, dans ce sens qu’elles pourraient être neutralisées, si l’Homme lui-même devenait réel, tel qu’il le deviendra au cours des siècles à venir.
Ces mêmes forces sont tellement présentes dans la vie de l’Homme, qu’elles influent même sur son sommeil, de sorte qu’il n’a aucune ouverture sur l’éther de son mental. N’est-ce donc pas normal que l’être humain ne puisse avoir aucune idée de ce que représente la liberté dans l’intelligence, ou de ce que représente la vie réelle, ou de ce que représente la vraie personnalité, c’est-à-dire cette personnalité qui n’est pas fondée sur le principe de la dualité, de l’émotion, et du mental ?
Les forces biorythmiques de la vie doivent être perçues par le mental humain éveillé, et souventes fois, le rêve nous les propose pour le lendemain. Mais pour que l’Homme puisse être conscient, éveillé, à cette biorythmie planétaire, il lui faut posséder une intelligence, une volonté, suffisamment ardentes et capables de contrecarrer l’activité émotive et mentale inférieure de ces mêmes forces.
C’est à l’Homme de voir, de sentir leur présence en lui et neutraliser leurs effets. C’est à l’Homme éveillé et conscient de voir leurs caractéristiques subliminales et ainsi se renforcir contre la mécanicité dont elles disposent contre son psychisme, contre ses habitudes, contre le mouvement normal et créatif de sa conscience.
L’Homme deviendra libre dans l’intelligence lorsqu’il aura compris, saisi, avec grande perception, l’actualisation de ces forces astropsychiques dans sa vie, et qu’il aura dompté leur courant alternatif et neutralisé leurs effets, positifs ou négatifs, afin de ne bénéficier que du concours vibratoire de son énergie créative, à travers ses propres centres d’énergie.
Sinon, il sera voué aux mouvements nocturnes et diurnes de ces forces. Il sera obligé, toute sa vie, de se substituer à une autre réalité, réalité qui n’est pas sienne, réalité qui n’a jamais été sienne, mais qui fait partie de l’inconscience collective de la civilisation humaine de notre planète.
Les forces biorythmiques représentent le fardeau mémoriel de l’Humanité, le fardeau que chaque individu doit vivre, supporter, parce qu’il fait partie de cette même conscience collective qui est celle de l’Humanité. C’est à l’Homme lui-même, individuellement, d’élever ses vibrations, de changer le taux vibratoire de son mental, s’il veut se libérer un jour de ce fardeau existentiel et planétaire qu’on appelle les forces astropsychiques, ou les forces biorythmiques de la vie.
L’Homme n’est pas une machine, l’Homme est un être. L’Homme n’est pas une puissance embryonnaire, il est une puissance développée. L’Homme n’est pas une créature, il est, en tout fait et en toute conscience, la représentation dans la matière de la lumière et de la vie.
Mais tant qu’il ne se sera pas libéré du fardeau mémoriel que contient le biorythmique, l’astropsychique, il n’aura pas résolu la grande énigme de l’Homme, celle qui veut que tout être humain, incapable de supporter le vide de la réalité, soit obligé de connaître le trop-plein de la mort.
L’Homme est un être puissant, il doit découvrir un jour sa puissance. Et il ne découvrira cette puissance qu’au fur et à mesure qu’il s’éveillera à la technicalité concrète de son intelligence créative, c’est-à-dire à l’apport que cette intelligence peut donner à la configuration psychique de son mental nouveau, élevé au statut universel et ascendant au-dessus du mémoriel humain qui fit partie de l’involution, mais qui, demain, fera partie de la queue de la comète.
Le grand danger des forces astropsychiques, biorythmiques, de notre planète, c’est qu’elles ont tendance à fossiliser l’énergie créative de l’Homme, à diminuer la puissance générative de ses forces, et à recanaliser ces mêmes forces vers le domaine du mémoriel humain, où la mort de la vie attend celui qui se veut inconscient, se veut infirme, se veut rempli de craintes, se veut incapable d’affirmer son identité devant la réalité extraordinaire d’une conscience planétaire qui utilise l’astropsychique pour condamner l’Homme à la maladie mentale, à la maladie physique, à la collusion des évènements, et à la désintégration possible d’une planète entière.
L’Homme est un être noble, l’Homme est un être créé à l’image de sa propre lumière, l’Homme est un être qui doit un jour prendre conscience, et il ne prendra conscience que lorsqu’il aura compris que la totalité des forces qui constituent, à travers son psychisme, la nature même de sa conscience existentialiste et expérimentale, que ces mêmes forces n’ont aucune valeur réelle pour lui, et qu’il possède, à l’intérieur de lui-même, d’autres forces qui sont à la fois suprêmes, à la fois supérieures, et à la fois parfaites.
Il n’a qu’à réaliser ceci, qu’à mettre en marche les aiguilles de son propre mouvement d’horloge, afin de pouvoir un jour réaliser la douzième heure, c’est-à-dire cette heure où l’Homme devient lui-même libre, grand, créatif, et libre des forces qui depuis toujours ont conditionné l’involution et programmé l’Homme, selon la rythmique de leur bioprogrammation, à une échelle extrêmement vaste et tellement grande que l’imagination du mortel serait obligée de plier bagage, si elle n’était protégée par les mystères de la vie, que seul l’Homme nouveau, l’Homme de demain, pourra comprendre avec grande facilité, étudier dans un grand calme mental, sans pour cela être bouleversé, quelle que soit la complexité, ou la dimensionnalité d’une telle réalité de la création de l’Homme.
Les forces astropsychiques enveniment le rapport entre l’Homme et sa lumière, troublent l’éther mental de l’Homme nouveau, elles diminuent le rendement du processus de fusion et d’intégration de l’énergie de l’Homme. Ces forces sont accablantes et l’Homme est accablé.
C’est pourquoi l’Homme nouveau doit comprendre que la distinction entre l’intelligence créative et l’intelligence humaine est une distinction, non pas de valeur, mais plutôt de présence d’esprit. L’Homme doit avoir de la présence d’esprit dans son intelligence, c’est-à-dire qu’il doit être présent en esprit, devant la phénoménologie événementielle déclenchée par les forces astropsychiques de sa planète, il doit être présent en esprit devant la contradiction, devant l’obstruction, devant l’interférence.
Et être présent en esprit veut dire être en permanence lucide dans son intelligence, c’est-à-dire libre dans son intelligence, dotée pour le meilleur de lui-même, pour le meilleur de la vie, pour le meilleur de l’évolution, pour le meilleur de l’Homme. Les forces astropsychiques de la planète ont le pouvoir de dissuader l’Homme de l’impression de sa réalité. Elles ont le pouvoir d’amoindrir sa volonté, son intelligence, à résister à leur travail, à leur fluctuation, à leur territorialité. Elles ont le pouvoir de créer dans l’Homme le doute. Elles ont le pouvoir de diminuer la lumière chancelante dans le mental de l’Homme.
Ces forces sont grandes, elles sont présentes, elles sont permanentes et seul l’Homme conscient, éveillé à lui-même, à leur mécanicité, à leur biorythmie, à leur activité incessante le jour et la nuit, pourra un jour se libérer de leur présence, sentir la liberté dans son intelligence et la capacité volontaire de faire naître sur la Terre, à l’intérieur de sa propre action individualisée, la liberté créative de l’esprit, c’est-à-dire de son intelligence, de son invisibilité.
mise à jour le 20/06/2024